Seconde Guerre Mondiale
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 Pablo Raben

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Andy Reiben
Stefan Spirle
Pablo Raben
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Pablo Raben
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Pablo Raben


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MessageSujet: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeVen 6 Nov - 12:46

Nom : Raben

Prénom : Pablo

Âge : 25 ans

Métier : Parachutiste

Grade : Le grade le plus bas, merci !

Histoire :
J'ai vécu mon enfance au Nouveau-Mexique, dans un village sur la « US Road 66 ». Mon village natal est à 120km au Sud-Est de « Albuquerque ». La « US Road 66 » traverse le centre de ce village. Il y a un peu près 400 habitants, grand maximum. Ma mère et mon père avait obtenu une maison en 1915, petite maison de quatre pièces, dans une rue adjacente à la « US Road 66 ». C'est tout ce que je me souviens. Car dès mes 15 ans, j'ai quitté mon village natal, et depuis, plus aucun souvenir.

Moi, je suis né le 7 Août 1919 à « Rio Rancho », à l'hôpital général de « Rio Rancho ». Enfin, c'est ce qui est noté sur ma carte d'identité, car en vérité, je ne me souviens de rien. Normal. Mon père est mort deux semaines après ma naissance. Je me souviens encore de ma mère qui m'expliquait comment je suis né dans cette ville. En fait, elle rendait visite à mon père, hospitalisé dans l'hôpital général de « Rio Rancho » il y a avait déjà une semaine. Il avait contracté une maladie très bizarre et inconnue, due aux gaz moutarde et aux obus remplis de chlore. Il avait eu cette maladie dès la « Bataille du bois Belleau » du 1er au 26 Juin 1918, alors qu'il faisait parti du 23e Régiment de la 2e Division d'Infanterie des États-Unis, la 2e DIUS. Il est décédé le 21 Août 1919 à 08h 30, alors que son cœur était infecté depuis 3 jours par les gaz. La dernière semaine avant son décès, il ne pouvait déjà plus parler.

Puis lorsque nous retournèrent dans mon village natal, que je ne me souviens toujours pas du nom, ma mère se maria avec son amant de 46 ans, avec qui elle couchait quand mon père était à la guerre. C'était un noir, et il était plutôt louche. En fait, il vendait de la contrebande. Il ne voulait pas de la maison où mes parents habitaient avant le décès de mon père. Mais ma mère ne voulait pas la vendre.

Lorsque j'eus l'âge d'aller à l'école, tout changea. Je devins méchant, agressif, paranoïaque. Tout ça à cause de mon beau-père et de ma mère. Car lorsque vous habitez un petit village où tout le monde sait tout sur tout, et que votre mère de 28 ans couche avec un noir pas très honnête de 46 ans, les critiques sur vous et votre mère vous tombent dessus tout les jours. Bon nombre de fois, ma mère fut convoqué parce que j'avais tapé mes camarades qui se moquaient de moi. Je crois bien que je n'avais pas d'amis. Mon niveau scolaire était pitoyable. Mes moyennes frôlaient les zéros sur vingts. Mes notes, je préférais les déchirés pour ne pas me faire taper par mon beau-père.

Lui, il me détestait, et toutes les occasions étaient bonnes pour me taper. Moi, je le détestais aussi, mais je ne pouvais rien faire, à part m'énerver et pleurer par impuissance. Il aurait été capable de me tuer, mais il y avait ma mère. Quoique, je me demande si elle aurait fait quelque chose, car elle pensait plus à son homme qu'à moi. Enfin, selon moi, mais je pense avoir raison. Je la traitais comme une prostitué, comme les mexicaines qu'on trouve à la sortie du village.

Après mes 12 ans, ma scolarité fut terminé. Pour la première fois, je cru que mon beau-père voulait faire quelque chose de bien pour moi. Mais non, je me trompais. Il m'avait proposé du travail, contre quelques sous. Mais ce travail, c'était de faire passer des bouteilles d'alcool de la porte Nord à la porte Sud du village. Je devais donc passer par un chemin étroit, longeant des barbelés rouillés d'un ancien camp d'étape militaire, me blessant parfois, puis je devais récupérer une dizaine de bouteilles d'alcool, souvent de la Tequila, chaque jour, et les amener à la porte Sud, à 1km. Je ne devais pas me faire voir, donc je passais par des chemins à la limite de l'impraticable, me blessant là aussi parfois. Si je cassais une bouteille, il me tapait.

Une fois, alors que j'avais quinze ans, j'ai cassé une bouteille en tombant d'un mur. Et il m'avait vu. Il se lança à ma poursuite et lorsqu'il me rattrapa, il me plaqua au sol et me donna des coups de pieds. Ce jour là, ma bouche était en sang et j'avais perdu une dent. Lorsqu'il s'en alla, je décida d'en finir une bonne fois pour toute. Je fis de la bouteille cassé une arme tranchante, et j'allai le voir. Il traînait avec une bande de bourrés. Alors qu'il était cuit, je le jeta dans les poubelles et je lui transperçai le ventre. Je crois bien que j'avais porté le coup à l'estomac. Alors qu'il se vidait de son sang, une rage m'emplis, et je ne pus m'empêcher de mettre mes mains dans son sang. Je ne savais pas ce qu'il m'arrivait, j'étais bizarre. Mais je dus partir quand deux autres gars arrivaient.

Une heure plus tard, il était bien 18h, j'étais écœuré par ce que j'avais fais. Je décida donc de plier bagage et de fuguer pour rejoindre « Albuquerque ». J'avais un simple petit baluchon, avec de quoi manger pendant trois jours et de quoi me vêtir. J'avais aussi la somme de 30 dollars, que j'avais économisé de mes 12 ans à mes 15 ans, soit 3 ans d'économie. 30 dollars, c'était déjà beaucoup. Comme nourriture, j'avais quelques pommes de terre, quelques bananes et quelques poires récupérés dans le jardin.

J'entamai une longue marche pour atteindre « Albuquerque » qui était à 130km de là. Mais au bout de 30, 35km, j'étais trop épuisé pour continuer. Je tombai et je m'endormis en pleine chaussé. C'est un paysan qui allait à « Albuquerque » qui me récupéra. Une journée entière c'était passé. Lorsque je lui demanda de m'amener à « Albuquerque », il cru que j'avais de la famille là bas, et il m'y amena. Une nouvelle vie commençait pour moi...

Autant vous dire que ma vie dans cette ville était minable. Je dormais là où je pouvais, j'essayais de récupérer de l'argent pour vivre. Je mangeai comme un clochard, je fouillais les poubelles. Mais j'ai libre, et loin de ma mère, cette crasse. Je m'étais acheté avec mes 30 dollars une guitare. Au côté un vieux, j'avais appris à jouer un peu. Les gens me donnaient un peu d'argent, et je m'efforçais de vivre avec. Les années passaient...

Bientôt, j'avais 17 ans, quand un homme d'une trentaine d'années vint m'écouter. J'avais acquis du talent et de l'expérience. Cet homme était en gars de « Richmond » qu'on m'avait dit. Il était en fait un artiste guitariste qui recherchait un jeune qui avait du talent. Et des jeunes qui jouaient de la guitare, dans cette ville, ça courait pas les rues. J'étais un des rares. Qui plus est, pauvre. Mes vêtements étaient vraiment déchirés, je n'avais pas pris de douche depuis trois ans !

Lorsqu'il reconnut mon talent, il décida de m'amener à « Richmond ». Nous prîmes le train à la gare d'« Albuquerque ». Puis, nous arrivâmes à « Richmond » environ une semaine plus tard. Une nouvelle vie, plus luxueuse s'offrait à moi...

Ma nouvelle vie débuta à la gare de « Richmond ». Là, une voiture de luxe, une Chrysler Airflow modèle 1936, le tout dernier modèle, couleur bordeau vint nous chercher. Elle était superbe. A l'arrière du véhicule, il y avait une roue de secours intégré dans une malle. J'avais déjà vu des modèles 1934 à « Albuquerque », mais pas un aussi beau modèle. Je restai scotché devant ce superbe véhicule. Puis, un chauffeur personnel m'invita à monter à bord.

Les sièges étaient d'un confortable ! Ils étaient en cuir noir. L'intérieur était blanc crème. Le guitariste, qui se nommait Allan, monta à côté de moi. Mais ce n'était que le début. Lors du trajet, je pus admirer cette ville, qui était très belle. Puis, l'automobile s'arrêta devant la maison personnelle d'Allan qui était très grande. Elle était faîte de briques, peinte en blanc, avec une toiture merveilleuse. A côté, il y avait un grand garage où deux autres véhicules, une Fiat 525 couleur marron et une Maybach Zeppelin DS8 couleur rouge. On m'installa dans une chambre d'ami, très luxueuse.

Puis, on me vêtu d'habits de luxe, noirs. On m'amena ensuite chez un tailleur très important pour me faire commander un smoking sur mesure noir et blanc. Je vivais vraiment dans un luxe que peu peuvent s'offrir.

On m'expliqua que dans cinq jours, je donnerai une représentation musicale avec Allan sur du Blues et du Jazz. Je dus m'entrainer pendant cinq jours sur des morceaux de Blues et de Jazz, connus ou inconnus.

Le Grand Jour arriva enfin. C'était un Samedi soir, dans une soirée très importante. Tout mon après-midi avait été illustré par des répétitions. Puis, à 20h, la soirée commença. Tout de suite, le groupe musical composé entre autre de Allan comme chef d'orchestre et d'autres guitaristes plus vieux que moi. J'avais une superbe guitare de luxe, acheté la veille de la soirée. Allan plaçait beaucoup d'espoir en moi, je pouvais le ressentir. Lors de cette soirée, nous jouâmes jusqu'à 03h ou 04h du matin. La soirée ce finit vers les 05h du matin, quand les invités s'en allèrent tous. Nous, nous rangeâmes la salle loué pour l'occasion, avec tous ceux qui avaient organisés la soirée.

Puis, en un mois, les soirées s'enchaînèrent. Bon nombre de fois, je dus jouer dans l'orchestre jusqu'à des heures comme 01h, 02h, 03h. Bon nombre de fois j'étais mort de fatigue. Je ne comptais plus les nombres d'heures passés lors des soirées et en répétitions, tellement j'avais accumulé d'heures.

Jusqu'à ce terrible jour de 31 Juillet... J'avais bientôt 18 ans, quand, on découvrit au beau matin une voiture calciné dans une Avenue. C'était la Fiat 525. Dans la voiture, il y avait Allan, mort par balles. Il avait été touché par une Thompson M1928. La Mafia était donc peut être impliqué. Ce serait-il impliqué dans les affaires de la Mafia ? Avait-il des dettes à la Mafia ? Tant de questions passèrent dans mon esprit, mais une seule réponse « je ne sais pas ! ». Et je ne serai jamais, car l'affaire fut « classé » et on ne la rouvrit jamais. Trop honteux pour continuer la guitare, j'avais empoché 1 000 $ de son héritage, comme il le voulait. Pourquoi ? Je ne le saurai jamais.

Avec cet argent, je pus me payer un billet de train direction New York. Mais j'avais trop honte de cet argent. Une fois là bas, je m'acheta un appartement très petit, à 2 ou 3 pièces et je donna le pauvre reste à une association pour les anciens combattants, en l'hommage à mon père. Ensuite, je devins photographe dans un quartier de Queens. Mon patron se nommait Mister Browt, un homme d'une cinquantaine d'années. Il avait une certaine classe, comme tous les chefs d'entreprise.

Depuis que j'avais débuté mon travail, M. Browt m'avait pris en affection. Je l'ignorai jusqu'en Janvier 40. J'avais maintenant 3 ans d'expérience, depuis mon arrivée en 1937. J'étais encore « déconnecté » des évènements qui se passaient en Allemagne, mais j'allais bientôt être un des plus « connectés » au évènements, mais je ne le savais pas. En ce Lundi 10 Janvier, je découvris une photographie d'un homme me ressemblant de loin. Par curiosité, je regardai l'arrière de la photo, où il était inscrit : « John 17 ans, 1936. »

Il avait donc le même âge que moi. Mais, lorsque je regardai la photographie une deuxième fois, mon sang ne fit qu'un seul tour. Cet homme, me ressemblait vraiment. Pas comme un jumeau, mais presque. J'en conclus donc pourquoi mon patron m'avait pris en affection.

Deux jours plus tard, je vins demander un congé à M. Browt. Je voulais juste deux jours, mais je doutais qu'il accepte, vu que la saison arrivait bientôt. Mais il me donna 2 semaines. J'en étais tout étonné, surpris. Lui, il me regardait avec un sourire et me disant ça. Il m'avait vraiment pris en affection, j'en étais maintenant sûr.

Donc, je décidai de placer mes deux semaines de congés en début Mai. Mais où irai-je donc ? A la côte Est ? En Californie ? Je ne savais pas encore. Mais, lorsque j'entendis une conversation entre mon patron et un client Anglais, qui parlaient de l'invasion Allemande en Pologne et la déclaration de la guerre, je voulus me rendre en Europe. Voilà, j'irai en Europe !

Et puis, mon intuition me poussait à aller là où les choses risquaient d'arriver, et, en plus, ce serait sans doute une aventure sympathique ! J'envisageai déjà à prendre de très beaux clichés. J'avais un laboratoire sous la main, et, j'avais assez économisé pour m'acheter un appareil. J'espérais que ça serai une belle occasion. J'en étais même impatient...

Je dus réserver un billet maritime pour ma toute première fois. Je devais prendre le train jusqu'au port de Corpus Christi mais je n'étais malheureusement pas assez riche pour me payer un billet d'avion, je perdrais donc trois jours à atteindre l'Angleterre. Mais une fois en Angleterre, je devrais bien aller quelque part...

Je regardai donc dans un vieux « Reader's Digest » pour voir les côtes proches de l'Angleterre. La Belgique et la France... Mais, je voulais un pays neutre, étant donné que notre beau pays était neutre. Je devais choisir entre la Hollande et la Belgique. Mon choix fut difficile, même si j'avais décidé de raisonner par différences, et avantages et désavantages...

Même si la France étais un beau pays, et que les souvenirs des photos sur la ligne Française « Maginot » étaient intéressantes, photos ramenés par un Américain qui avait pu photographier un édifice à Hatten, revenaient en moi.

Je me rappelle encore où j'avais pu voir les photos. Dans un reportage écrit sur un journal de New York. J'avais lu ce journal chez Nasir, le coiffeur du quartier. Un sympathique noir d'une trentaine d'années, toujours des blagues à balancer. Il y avait toujours les meilleures revues et les meilleurs journaux là bas. Il devait certainement être de mèche avec Mister Dawyne qui étais le gérant du kiosque à journaux du coin...

Il m'arrivait même de me demander certaines fois si son salon étais plus un salon de lecture, où seul les bruits des ciseaux de ceux qui venaient se faire rafraîchir la nuque perturbaient la lecture silencieuse.

Je ne savais pas du tout comment ce reporter avait fait pour prendre ses édifices en photos. Mais, une envie incroyable de faire pareil me venait à chaque fois que j'en parlais. J'imaginais des techniques inimaginables pour faire de même. Il devait être très discret...

Et puis, en fin de compte, j'avais jeté mon sort sur la Belgique. Je dus faire quelques recherches à la bibliothèque à quelques pas de chez moi. J'épluchais sans cesse les journaux mondiaux, en essayant de collecter le plus d'infos possibles sur ce pays... Au final, j'avais mis jusqu'à Avril pour connaître tout. J'avais appris les rudiments du français et du néerlandais, grâce aux dictionnaires de la bibliothèque.

J'avais appris que les Belges avaient eux aussi un fort situé à l'Est de leur pays, bordant le canal Albert fini en 1939, touchant la frontière Hollandaise et tout proche de l'Allemagne. J'avais donc à partir de ça un but. J'espérais être assez discret pour prendre le fort de loin, et ne pas être considéré comme un espion mais c'était assez excitant. Je n'en parlais à personne... pas même à mon patron...

La veille de mon départ, alors que j'avais tout préparé pour partir à 08h 20 le matin, je fermais la boutique. Mon patron était parti deux heures plus tôt, à cause d'un incident. Une surprise vint troubler mon calme. Là, sur la table de l'atelier, un petit paquet noir orné d'un ruban blanc, avec un petit mot dessus « bon voyage ».

Mon cœur battait à 200 à l'heure... J'ouvrais délicatement le paquet et je découvris, non sans une grande joie, un appareil Kodak, le « Retina type 117 », sorti juste 3 ans auparavant, tout neuf, avec quelques pellicules noir et blanc 24x36, de 36 vues ! J'étais au comble de la joie... J'étais... aux anges. Je criais de joie, je m'excitait comme une puce. Je cherchais mon patron pour le remercier, mais il était parti...

Les trois jours de voyages se passèrent bien. J'avais pu travailler encore plus mon français lors du voyage. Enfin, nous arrimèrent à « Dover ». C'était une très belle ville. De là, je pris un autre navire en direction de « Blankenberge », une ville de la région flamande.

Une fois à « Blankenberge », je dus prendre le train en direction de « Visé », ville à 10km du fort d'Eben-Emael. Une fois là bas, je louai une « Renault KZ » pour aller au plus près du fort d'Eben-Emael. Je pus prendre un grand nombre de clichés sur l'extérieur de ce fort, mais pas sur l'intérieur. Du moins, pas avant le 7 Mai 1940. Là, j'avais reçu une autorisation du gouvernement de prendre des clichés de l'intérieur du fort.

Lorsque je revins le 8, j'y restai tard la nuit. Tellement tard que les bombardements des allemands m'empêchèrent de repartir. Je pus me cacher le matin du 9, et devenir un spectateur de l'attaque allemande. Mes clichés sur la stratégie d'attaque allemande étaient impressionnant. De dus partir après l'assaut de peur d'être vu.

J'allais ensuite à Liège, échappant aux bombes qui explosaient dans les villes et les villages par lequel je passais. J'étais surpris de cette attaque soudaine. Lors de ma course contre la Wehrmacht, mes clichés sur les familles détruites ou échappant à la mort étaient surprenants. Enfin, je pus me ravitailler à Liège et repartir pour la frontière française.

Là bas, je pus prendre en photos les troupes françaises et anglaises, principalement les troupes motorisés. Je pus faire la connaissance d'un « Kerr », gunner dans un char anglais. Puis, je pus prendre des clichés d'un édifice de la ligne Maginot, le « Four à Chaux », sacré édifice, comprenant quelques dizaines de cloches avec des canons de 75mm , des mitrailleuses, et des lances-grenades. Certaines parties étaient à plus de 100 mètres sous terres, protégés par des dizaines et des dizaines de millimètres de blindages et de béton armé.

Et puis, je dus partir pour Paris. Là bas, je pus appeler mon patron. Je lui expliquai ce qui m'étais arrivé, et ce que j'avais pris en photo. Il me pria de rester sur place, et que je devrai le contacté quand la guerre sera fini ici... J'avais une mauvaise intuition. Je ne savais pas pourquoi, mais, je sentais que la France allait perdre, dans peu de temps. Et je retournais au plus proche de la Ligne de Front, ayant acheté des pellicules de rechange auparavant.

Mes photos sur les combats étaient très jolies, et elle montrait très bien l'horreur de la guerre. Les combats de rues, les combats sur paysages ouvert, les combats côtiers, les combats urbains, les combats aériens. J'avais pris des photos de presque tous les types de combats.

Orléans en feu. Paris occupé. Des ponts explosant pour empêcher les forces Allemandes d'avancer. Des troupes françaises en déroute. De longues files de prisonniers. Des évacuations rapides des troupes françaises et anglaises pour empêcher les Allemands de les capturer. Des villes avec des emblèmes nazis. Voilà ce que j'avais pu photographier.

Enfin, lorsque l'Armistice fut déclaré, je pris des photos sous les deux jours suivants l'Armistice. Des français et françaises pleurant, ne sachant plus quoi faire. L'exode... Enfin, après deux jours passés à prendre des centaines de clichés, je pus m'en aller, à bord d'un petit navire, pour rejoindre Londres. Là bas, je me rendis à l'ambassade américaine pour demander à contacter mon patron. On accepta. Je pus contacter mon patron pour tout lui expliquer. Il m'avait trouvé un journal qui accepterai de créer un article. Mais je devais rester à Londres jusqu'au 27 Novembre 1941, car les navires étaient réservés militaires.

Je pus donc, lors de ce long délai, photographier les anglais qui se préparaient à la guerre. Les forces anglaises de défenses, la « Home Guard », les civils qui créaient des abris, se préparaient en cas de famine ou de bombardements. Bref, voilà ce que je pouvais prendre comme clichés. Les immeubles détruits, les raids allemands de nuit comme de jour, la DCA et la RAF anglaises. C'était tout à fait impressionnant...

Et puis, lorsque le 27 Novembre 1941 arriva, je dus me rendre dans une ville du Pays de Galles pour prendre un navire anglais de ravitaillement militaire. C'est tout ce que l'ambassade américaine avait pu me trouver pour repartir.

Je rentra donc au pays le 30 Novembre 1941. Tout de suite, je dus me rendre à l'agence du journal qui avait accepter de créer un article. Lorsque je posa les 50 pellicules, on me regardai avec de gros yeux. Pourtant, une fois les photos développés, l'article serait très très bon.

Dans la semaine précédant le 7 Décembre, je participai à des expositions de mes photographie. Mais lorsqu'on me donna la somme d'argent que j'avais gagné avec cet article, je restituai plus de ¾ à mon gain à mon patron, car sans lui, rien n'aurait été possible.

Et puis le 8 Décembre, alors que j'écoutai la radio, on parlait subitement de la Déclaration de Guerre et de la Mobilisation Générale. Je fus concerné, car, un jour plus tard, je reçus une convocation dans un Fort Militaire pas loin de New York. J'intégrai donc un régiment d'infanterie. Mais nous ne partîmes pas au Pacifique, comme beaucoup d'autres régiments. Nous fûmes affectés à la défense de New York.

Mais en 1942, on me proposa de rejoindre la 82e Division d'Infanterie Aéroportée, une nouvelle division composés de soldats paras. J'acceptai, et, comme j'aimai les avions, c'était une bonne opportunité. J'intégrai le 504th Parachute Infantry Regiment.

Nous allâmes en Afrique du Nord où nous nous entrainâmes pour une prochaine opération. Les entrainements étaient composés de sauts, d'épreuves de tirs, de test physiques et psychologiques et de cours sur la stratégie militaire.

Enfin, le soir du 9 au 10 Juillet 1943, nous fûmes parachutés en Sicile, dans le cadre de l'opération Husky. Nous atterrîmes dans un village tenu par des Italiens. Nous dûmes tenir le village jusqu'au lendemain matin, où une compagnie d'Infanterie devait arriver.

Trop épuisés pour continuer, nous dûmes nous reposer une journée avant de reprendre les combats en devant opérer une jonction avec une autre compagnie de parachutistes bloqués dans le village d'Adanti. Ensuite, nous dûmes nous battre comme des sauvages face à des troupes italiennes qui contre-attaquaient avec des chars.

La contre-attaque fut poussé jusque dans un village où les combats stagnèrent pendant une semaine. L'aviation adverse nous bombardait, et notre artillerie les bombardaient. Enfin, le dernier jour de la semaine, nous pûmes avancer après avoir anéanti les dernières poches Italiennes. Puis, nous avançâmes toujours plus, jusqu'à ce que nous fûmes bloqués dans une ville, tenue par des Allemands et des Italiens. Ils nous avaient pris en tenaille. Grâce à un lourd effort de l'aviation, nous pûmes remporter cette bataille.

Suite à mes bonnes actions, je devins « caporal ». Mais trois jours plus tard, alors que nous étions en permission, c'est la Police Militaire qui m'avait retrouvé ivre. Je fus rétrogradé au rang de 1ème classe.

Après cette dure permission où j'avais passé deux mauvais jours, nous retournâmes au front en attaquant des positions d'artillerie Italiennes qui défendaient un village tenu par une section blindée allemande. Une fois les positions d'artilleries détruites, nous pûmes avancer et prendre la section blindé par l'arrière.

Malheureusement, nous dûmes passer par des endroits rocheux, et notre progression fut retardé d'un jour. Ensuite, quelques jours plus tard, nous dûmes défendre un char bloqué en pleine place d'une mairie, dans un village. L'artillerie allemande avait fait écraser un bâtiment sur lui. Il était juste endommagé et son canon ne fonctionnait plus. Nous dûmes défendre le char pendant 24h sous les assauts des troupes allemandes.

Enfin, le 17 Août 1943, c'était la jonction avec les forces britanniques. Là on étaient heureux, car on avait enfin fini dans cette merde rocheuse. Mais nous n'allâmes pas en Italie. Nous dûmes nous rendre dans un port, direction l'Angleterre pour des entrainements. Pourquoi on s'entrainaient encore ? Pour une nouvelle opération militaire en Europe.

Enfin, la veille du 6 Juin 1944, nous fûmes parachutés dans un village Normand. On devait le sécuriser puis progresser pour opérer une jonction avec un groupe qui devait s'occuper de deux batteries allemandes près des plages. Quand nous arrivâmes, il n'y avait plus que des allemands. La section entière avait été massacré. Nous dûmes nous occuper de détruire la présence Allemande dans ses batteries. Et puis, une fois les canons détruits, nous pûmes rejoindre une section coincé vers une église. Ils devaient détruire un pont à 150 mètres de cette église.
Une fois les Allemands morts, nous aidâmes la section à détruire ses ponts. Et puis, le matin arrivait. Nous devions opérer une jonction avec une autre compagnie. Nous passâmes par une position allemande, et, une fois la position détruite, nous pûmes opérer la jonction. Maintenant, il fallait attendre que les troupes d'infanteries US arrivent...

Caractère :
Je ne peux oublier ceux avec qui j'ai bien sympathisé lors de ma carrière de photographe. Même après mon suivi par un psychologue, mes nuits sont toujours hantés par les images de morts, de ceux que j'ai tués et de ceux que j'ai vu tués. J'ai vu beaucoup de mes amis tomber, et j'ai toujours une peur de tomber moi aussi, et de ne pas me relever.
Même si on me dit bon élément et courageux, je me sous-estime beaucoup, parce que je sais qu'au fond de moi, tout cela, ce n'est rien. Et dès fois, il m'arrive de haïr la guerre et de me poser la question "Pourquoi on se bat ?". Certaines fois, notamment lorsque je vois des civils morts, la colère monte en moi et j'arrive très difficilement à me contrôler. Des rages entrent en moi, et sortent difficilement. Je résiste très peu à l'alcool. Et à la tentation aussi. C'est pour ça que je me suis fait prendre une fois par la Police Militaire.
Je n'ai jamais fait de grandes écoles, pourtant j'en avais envie. Je suis très bon tireur grâce à une très bonne vue qui me vient de mon père qui était d'ailleurs tireur d'élite. Mais ses deux qualités sont aussi des défauts, car, ils me permettent de me haïr moi même, et mes actes accomplis. J'adore mon métier et ma nation cependant, et je ferai tout pour elle.

Je suis aussi assez musclé, sportif, et plutôt grand. Mais c'est le mélange de base pour être bon parachutiste. Physiquement, je suis très résistant. Avant, j'était très faible psychologiquement, mais lorsque j'entra dans un régiment d'infanterie pour la mobilisation, on qu'on me poussa à bout, je devins plus agressif, et surtout plus fort psychologiquement, faisant plus confiance à mes amis, préférant plus tuer mes adversaires. Je devins solidaire, fort, bref, psychologiquement, je changeai vraiment. Et c'est grâce à ça que je pus intégrer le 504th PIR . J'adore l'air (le ciel), les sauts, et le sport. Je suis d'origine hispanique, les yeux bleus, les cheveux normalement bruns voir noir. Mon visage fait très hispanique d'ailleurs.

Armée : Américaine

Division : 82e Division Aéroportée

Régiment : 504th PIR

Compagnie : Compagnie Easy

Mot : Pas assez dit ?


Dernière édition par Pablo Raben le Sam 21 Nov - 14:06, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeVen 6 Nov - 19:39

avec une photo pareil, tu fais de l'airsoft !
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 7 Nov - 5:25

... ... ...

Sinon j'ai édité mon régiment ^^
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 7 Nov - 10:27

Bienvenue Pablo

Bon, on va commencer par les choses qui fâchent ^^ :

Histoire :

Nous partîmes vivre dans le Texas, dans un village très petit. Je fus éduqué ici. J'avais dès petit une adoration pour l'armée, les avions et l'air. Tout d'une carrière d'aviateur.

J'espère pour toi que dans ce "petit village", on ne connaît pas la situation familiale de tes parents...car dans les bourgs et villages de l'époque, on ne plaisantait pas avec la morale (vu ton passif familial) + tes origines hispaniques ?? Cela peut être un barrage à intégrer une école supérieure ! et oui...les barrières raciales existaient encore à cette époque, nombre de soldats "non-blancs" étaient affectés à des tâches de logistiques ou au mieux à des unités de DCA et les rares chanceux...pilotes !

http://www.5thplatoon.org/notable.html

Ce que j'aurais souhaité, c'est te voir écrire, tes difficultés d'intégration dans un bled où tout le monde se connaît et sait tout sur tout le monde !! A l'époque, les distractions sont rares et les ragots sont la première source d'info surtout lors de réunions privées entre "dames de bonne famille", la mère de ton perso (sans vouloir lui jeter la pierre), ne rentre plus dans ce critère moral.


En 1926 (erreur de date ! tu voulais dire 1936 ?) , alors que j'avais 18 ans (faux 17 !), diplômé, (déjà ?? et de quoi s'il te plaît ?) je rejoins l'école de l'air d'une grande ville (école pour pilotes civils ?). J'y restai deux ans, avant de vouloir entrer dans l'armée américaine.

On me proposa de rejoindre une division "expérimentale", une division aéroportée. Intrigué j'acceptai l'offre et la semaine qui suit j'intégrai la 82 Division Aéroportée Américaine, les "Alls Americans". Donc, le 19 Juillet 1928 (1938 ?), j'entrai dans le métier de parachutiste combattant (FAUX, la 82ème aéroportée n'existe en tant que telle que depuis le 15-08-42).

Nous nous entrainâmes jusqu'en 1941 où nous furent déployés vers Pearl Harbor à cause d'une rumeur d'invasion nipponne (rumeur qui fut réellement déclaré dans les dossiers historiques au président américain en Avril 1941.) Et toi comment finis-tu par le savoir ? Travailles-tu dans le cabinet de Roosevelt ou dans les Services de Renseignements US ? Rien à l'époque n'indiquait que Pearl allait être attaqué !

Lors du jour de l'infamie, nous étions dans les avions en vu d'un atterissage sur l'île de Pearl Harbor. Les avions de transports arrivèrent trop tard et nous durent sauter dans le port pour voir si il restait des survivants, sur ordre du gouverneur. C'était notre premier saut en zone portuaire.
(partie peu crédible...A vérifier selon sources historiques mais à mon humble avis, il n'y a jamais eu de paras déployés lors de l'attaque de Pearl)

Plus tard, lorsque le SAS sera créé, il s'inspireront de ces actes pour créer des régiments parachutistes de marines. (des fusiliers marins paras ?? ça n'existe pas...A moins que tu ne me donnes une info là-dessus et me prouve le contraire)

La guerre était donc déclarée. Nous, nous étions dans le secteur Pacifique. Nous furent largués à plusieurs reprises notamment sur Wake, Midway, Guadalcanal. Vers la fin de Guadalcanal, mon régiment (lequel ?)vu annyhilé (2 fautes) et je fus capturé. En début 1944, un groupes de soldats virent nous délivrer.

Guadalcanal a été une victoire pour les USA, les Japonais ont évacué l'île avant 1944. Wake et Midway étaient tenus par les US, donc pas de largages mais des débarquements...sûrement !

Attention, là, c'est la "cerise sur le gâteau" !

On me proposa de rejoindre un régiment dans le Pacifique où sur le front de l'Ouest. J'accepta d'aller au front de l'Ouest. Un avion devait m'emmener jusqu'en Angleterre, passant par l'URSS et l'Allemagne. Je ne sais pas pourquoi passer par là. Vu que j'avais été emmenné dans une île à 20km des côtes Chinoises, peut être que le chemin était plus court ? En tout cas, l'avion s'écrasa en plein front entre Russes et Allemands, descendu par les Allemands. Je pus survivre et les Russes m'emmennèrent dans un de leurs camps où ils me soignèrent pendant 3 semaines. Il était Février 1944 quand je fus opérationnel. Je dus me battre avec les russes pendant une ou deux semaines car l'avion qui devait me chercher ne pourrait atterir que dans un aérodrome proche du front, mais que les Allemands contrôlaient. Grâce à cette courte expérience, je pus sympathiser avec des Russes, notamment un "Dimitri Perkstrov" de 34 ans, fier défenseur de son pays. J'appris quelques phrases et mots de la langue russe lors de mon "séjour" mais je dus m'habituer au froid...

Cette partie-là n'est pas du tout crédible, du moins présentée comme tel, si tu veux rencontrer des Russes, il fallait choisir l'aviation stratégique par exemple (pour aller bombarder les exploitations pétrolières en Roumanie), être descendu par la flak et rejoindre, par exemple des résistants Roumains communistes, qui eux, t'auraient fait évader par la Russie. Là, ça aurait été possible et CREDIBLE !, ou faire partie de la 69ème D.I U.S (celle qui a la jonction avec les Russes sur l'Elbe en 45)

Lorsque l'avion vint me chercher, nous allèrent en direction de l'Angleterre, et cette fois nous y arrivèrent. Là bas, je fis connaissance avec ceux de mon nouveau régiment. Et puis, nous nous entrainâmes jusqu'au jour J. La veille de ce jour, nous fûmes parachutés en France...

Caractère :
Pour un simple soldat, je suis très bien instruit (quelle école ? université ? spécialité ? Qualification ?). Je connais un peu, grâce à mes séjours notamment lorsque j'était prisonnier mais aussi survivants, le japonnais et le russe. Je sais dire les "bases" comme "s'il vous plaît", "merci", "bonjour", "arrêter", "enfoiré", "sale Nazi", "sale Nippon", etc...

Je suis très sportif, mais quand on est parachutiste il faut être sportif et costaud. Le feu ennemi, je l'ai bien connu. Je suis grand d'1 mètre 90 à peu près, je pèse vers les 80 kilos, et je pense être assez musclé. J'aime bien les armes. J'ai les cheveux bruns, enfin j'avais car depuis mon service c'est crâne rasé. Je suis malheureusement un peu craintif du froid, mais je dois m'habituer. Je suis aussi très rancunier.

Armée : Américaine

Division : 82e Division Aéroportée

Régiment : 25th Parachute Infantery Regiment (25th PIR, existant de 1926 à 1943) / 900th Parachute Infantry Regiment (900th PIR)

Compagnie : Compagnie Able (du 25th PIR) / Compagnie Easy (du 900th PIR)

> le 900th est un régiment de DCA et non de PIR.

Voilà les divisions aéroportées US
http://www.ww2-airborne.us/division/82_overview.html



Mot : Je crois que je l'ai assez marqué non ? > pas contrôlé ça

Voilà ce qu'il y a à corriger...Ce qui est déjà pas mal ! Moralité >si vous ne voulez pas vous faire fouetter en public :

1) Vérifiez vos infos (on ne le dira jamais assez...)
2) Vous voulez faire un perso original, c'est votre droit mais donnez des détails sur sa vie qui rendent le tout plausible
3) Attention aux fautes
4) Aurais-je affaire à Merc ? (dont il me semble reconnaître le style "touche-à-tout" et plagiat en plus ? Raben = Reiben ?)

Sinon Bienvenue !

Last thing : il n'y a pas de "coalition alliée", c'est un terme employé depuis la 1ère guerre du Golfe (en 1991) mais on parlait des Alliés tout court.
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeDim 8 Nov - 12:42

Bon alors je vais vite me facher parceque tu déforme mes propos et j'aime pas ça.

Où tu a vu que j'ai des origines hispaniques ? Mon soldat est blanc

Pour les dates je peux me tromper ça existe

Quand mon perso parle, il parle alors qu'il est vieux, pas comme s'il était dans le moment.

Officiellement la 82e Aéroportée est apparue en 1942. Mais les trois premiers régiments "expérimentaux" de parachutistes ont été créés en 1934.

Pour les dates je crois m'être trompé;

Pour les paras à Pearl, oui il y a eu une section mais l'avion avait été attaqué par les Zéros. Donc j'ai un peu changé mais au final ils ne feront pas une action armée et là ils atterissent après l'attaque donc = peu important.

Oui le 1er RPIMa dispose d'unités RAPAS qui sont spécialisés Fusiliers Marins Paras.

Pour le régiment je parle du 25th PIR.

Les Japonnais ont évacués avec moi, et oui mon régiment à été exterminé à la fin de Guadalcanal ça existe. (compagnies exterminés petit à petit, sans renforts, puis dislocation)

Si tu lis bien, j'explique que lors du trajet qui mene mon gars en Angleterre l'avion s'est fait descendre par la flak (mobile).

T'es chiant avec tes écoles

ON A LE DROIT D'INVENTER UN REGIMENT DONC TU ME LAISSE MON REGIMENT !

Pour Raben je pensais pas à Reiben c'est juste que j'avais un perso US qui s'appellait comme ça donc j'ai repris le prénom et le nom

Et oui tu a affaire à Merc !
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeDim 8 Nov - 12:52

baston ! baston ! baston !

PS : bonne histoire je trouve Smile
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeDim 8 Nov - 17:08

Eh bien j'suis pas déçu de ma visite mensuelle la.

Merc tu vas te calmer illico, le ton que tu emploies face a des remarques justifiées (bah oui j'ai déjà lu) est inadmissible. Et t'en est pas a ton coup d'essai j'en ai peur.

Ensuite tu vas suivre les remarques de Reiben, ou en tout les cas modifier ta fiche de newsupermerc!! EN VITESSE!!!

Mac

PS: et tant qu'a faire tu me change ton avatar; bien que l'airsoft ne soit pas interdit au mineurs, la vente par des professionnels de répliques dépassant le 0.07J elle l'est. Je me fiche de comment tu as obtenu cette réplique si c'est toi sur la photo: elle dégage!
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeDim 8 Nov - 22:05

Tu peux râler tant que tu veux Merc...tant que tu ne me fournis pas de références historiques facilement vérifiables, tu resteras cantonné en attente de validation.

Pour te répondre "point par point", je dirais ceci :

Merc/Pablo : Où tu a vu que j'ai des origines hispaniques ? Mon soldat est blanc
Andy : Oui avec un prénom comme « Pablo » ça fait très « blanc » avec une grosse nuance Sud du Rio Grande (LOL). Quoiqu'il existe bien des noirs "albinos" ou lors de métissages, des "blancs" ou "blanches" qui n'ont découvert que bien plus tard que leurs aînés étaient noirs...Par exemple...

Si tu es blanc et que tu portes un prénom hispanique, on est tenté de
croire que tu as le teint bi et que tes origines sont plutôt au Sud du Texas, enfin...ça c'est un détail secondaire.

Merc/Pablo : Pour les dates je peux me tromper ça existe
Andy : et pas qu’une fois !! Tu n’édites jamais ??? Tu ne te relis pas non plus ? J'oubliais...C'est fatiguant

Merc/Pablo : Quand mon perso parle, il parle alors qu'il est vieux, pas comme s'il était dans le moment.
Andy : Alors tu es retraité ?? Quand on commence ce jeu, on est sensés commencer lors de la seconde guerre mondiale (juste après ses classes ou avant une bataille majeure) pas quand on rentre à l’hospice…

Merc/Pablo : Officiellement la 82e Aéroportée est apparue en 1942. Mais les trois premiers régiments "expérimentaux" de parachutistes ont été créés en 1934.
Andy : Aux USA ? FAUX (voir le lien + bas)...Par contre, je sais que l’Urss, la France et d’autres pays comme l’Allemagne avaient fait leurs premières expériences en la matière et je peux le prouver…

Merc/Pablo : Pour les dates je crois m'être trompé;
Andy : tu te répètes…

Merc/Pablo : Pour les paras à Pearl, oui il y a eu une section mais l'avion avait été attaqué par les Zéros. Donc j'ai un peu changé mais au final ils ne feront pas une action armée et là ils atterissent après l'attaque donc = peu important.

Andy : Des références stp…Tu dois bien l’avoir su de quelque part…Si tu as une info utile, vas-y

Merc/Pablo : Oui le 1er RPIMa dispose d'unités RAPAS qui sont spécialisés Fusiliers Marins Paras.

Andy : Le RPIM est-il une unité US…Je crois bien que non, Français bien sûr !
Au lieu de parler d'unités Françaises (avec tout le respect que j'éprouve vers nos militaires), interesse-toi aux unités lors de la WW2 !

Merc/Pablo : Pour le régiment je parle du 25th PIR.
Andy : Je t'ai fourni la liste des VRAIS régiments de paras

+ http://www.usairborne.be/ORGANISATION/organisation.htm

Merc/Pablo : Les Japonnais ont évacués avec moi, et oui mon régiment à été exterminé à la fin de Guadalcanal ça existe. (compagnies exterminés petit à petit, sans renforts, puis dislocation)

Andy : No comment

Merc/Pablo : Si tu lis bien, j'explique que lors du trajet qui mene mon gars en Angleterre l'avion s'est fait descendre par la flak (mobile).

Andy : Là, j’ai adoré ce passage…si vrai, si riche en détails que j’y ai tout de suite cru…A part l’expédition de Doolittle pour bombarder le japon, jamais je n’avais vu une telle épopée possible ! Alors qu'il était plus sûr de te rapatrier par la côte Ouest puis l'Atlantique...vers l'Angleterre.

Merc/Pablo : T'es chiant avec tes écoles
Andy : J’ai beaucoup aimé ; « je suis très instruit »…sans passer par aucune école, uniquement instruit par le Saint-Esprit ??

Merc/Pablo : ON A LE DROIT D'INVENTER UN REGIMENT DONC TU ME LAISSE MON REGIMENT !
Andy : C’est vrai, ça te permet d’inventer n’importe quoi !

Merc/Pablo : Pour Raben je pensais pas à Reiben c'est juste que j'avais un perso US qui s'appellait comme ça donc j'ai repris le prénom et le nom
Andy : no comment

Merc/Pablo : Et oui tu a affaire à Merc !
Andy : Ah…Je me disais bien...J'ai reconnu le style "superman", "sans peur et sans reproches (ou presque)"

------------------------------------------------------------------------

Ce qui m'ennuie avec toi :

1) c'est que tu essaies de "passer en force"

2) sans apporter l'essentiel qui ferait de ta fiche une bonne présentation

3) avec des fautes en +

4) sans arguments potables avec un "background" complètement bancal, j'ai adoré le long périple jusqu'à l'URSS, ça m'a bien fait rire...

5) puisque tu te permets d'être grossier (en +), peut être qu'on va utiliser ta fiche comme exemple pour que les nouveaux venus, ne fassent pas les mêmes erreurs. J'appelle ça, du recyclage utile afin d'illustrer par l'exemple, ce à quoi, une fiche de perso ne doit pas ressembler.

On appellera ça : "Pilori"...comme l'ancien supplice où le condamné subissait la désapprobation populaire et son exemple servait aussi d'averto aux autres. On laissera peut être même les joueurs lancer une belle tomate ou un oeuf scriptural (bien vieux pas comme s'il était dans le moment), s'écraser sur une fiche qui n'aura...jamais servi ? Toi, tu pourras lire tout ça mais pas y écrire...

C'est ce qui te pend au nez Merc...

Je continue ??

En ce qui me concerne, tu n'es pas validé et bien sûr, Richard aura, le dernier mot sur tout ça...

Je vois que tu aimes brouiller les pistes mais cette fois-ci, ce sera une course d'obstacles, pardon...un parcours du combattant. C'est plus approprié.
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeLun 9 Nov - 0:17

Merc, tu rectifies, tu prouves et tu surveille le ton.

Andy, le point 5 est sur le même ton que Merc, n'entre pas dans son jeu.

Mac, désoler que tu reviennes pour voir ça....

Merc, je suis en mesure de scanner le forum pour tes multi-comptes et si ça continue, je le ferai. Tu comprendras, j'espère, ce qui suivra ce scan.


Alors, on se calme et on suit les directives des MJ.
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeLun 9 Nov - 6:32

Ok pour moi Richard, je baisse d'un ton...
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeLun 9 Nov - 13:12

Mac Gregor >> La vidéo vient de Google Images et le gars à plus de 18 ans.

Edit : Modifié
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeMer 11 Nov - 15:23

Modifié !
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeVen 13 Nov - 13:01

Pas trop mal, néanmoins un certains nombre de point me font tiquer, et c'est pas bon du tout.

- Tu parle d'un grade de sergent avec ses résultats. Puis tu rajoute qu'il est hispanique, ce qui est très improbable mais bon...
Non en fait le grade de sergent d'entrée de jeu comme ça, sans raison particulière n'est pas possible tout simplement. Les meilleurs devenaient première classe, mais pas sergent. C'était au fil des entrainements et des combats que l'ont gagnais ces grades. Ou alors avec un dossier particulier et une formation particulière.

- Ensuite tu parles de SS dans les batteries ==> un "NON" catégorique, il n'y avait pas de SS au début des combats en Normandie.

- Sur ton profil physique maintenant; tu dis qu'il est résistant physiquement, puis après tu te contredits en disant que sa barrière physique est vite dépassée, faudrait savoir.

- Enfin sur le profil psy' tu insiste sur le fait qu'il soit bon tireur, oui mais pourquoi? C'est un don? A la suite de ses entrainements? Autre?

- Enfin une université de photographie, ou je me trompe, ou ça ne doit pas exister. De toute manière pour être photographe a l'époque on apprenait sur le tas.
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeVen 13 Nov - 16:45

Edité !
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeVen 13 Nov - 19:12

Il y a du mieux, il faut le reconnaître...Pour l'école de photo, il en existait une à New York (créee en 1910) : http://www.nyip.com/about/ bien que nombre de photographes ont effectivement commencé "sur le tas"...Je n'ai pas encore vérifié ailleurs...Puisque tu as vécu dans le sud du pays (Texas ?), il faudrait pouvoir retrouver une école de ce type là-bas, sinon...modifie ton histoire pour te rapprocher de la Côte Est.

De plus, au vu de ton vécu, tu as du travaillé tôt car aller dans une pareille école n'est pas gratuit.

Pour ton incursion photo en Hollande avec les troupes Allemandes...certes les USA étaient neutres mais je pense sincèrement qu'il est peu probable que la Wehrmacht te laisse prendre en photo, leur matos, techniques de combat, ils sont d'ors et déjà en guerre !!

Si tu veux vraiment voir les Allemands "à l'oeuvre", à ta place, je me serais situé chez les Belges, pour un reportage sur le Fort d'Eben-Emael, du côté de Liège, deux ou trois jours avant l'attaque. Tu serais devenu le spectateur involontaire de l'assaut, de la nuit et journée du 09-05 au 10-05-40 lors de l'assaut sur la forteresse.

Placé "au bon endroit, au bon moment" pour un photographe et là, tu aurais vu les techniques All. d'assaut qui ont neutralisé un site "imprenable"...ça, cela aurait été un "scoop" et photos à l'appui !!

J'aurais enchaîné sur une fuite de la ville de Liège pour échapper à l'invasion Allemande et pousser jusqu'à la frontière Française avec une auto "réquisitionnée" ou volée, puis décrire les forces motorisées Fr. et G.B allant à la rencontre des envahisseurs...les premiers raids des Stukas, l'inégalité entre forces aériennes Belges et All...Epaulées ensuite par les forces Alliées Fr. et Anglaises...

Cette course-poursuite t'aurait amené jusqu'à Paris ou une grande ville pour que tu puisses téléphoner pour un article aux USA...Voilà ce qu'aurait fait un reporter ! C'est comme ça que ça se passait à l'époque, les journalistes se jetaient sur le premier téléphone venu et à l'autre bout du fil, une secrétaire prenait le corps de l'article.

Peut-être que le journal US qui aurait accepté ton article, t'aurait demandé de rester sur place et de faire une chronique quotidienne, dans le cas contraire, rien ne t'empêchait de repartir aux USA...

D'autre part, un photographe ne prenait pas les armes ! D'autant plus que tu fais "feu" sur des soldats d'une nation neutre !! Shocked Shocked
Bref, à moins que tu ne sois "germanophile" ou que tes ancêtres All. aient débarqués en Amérique, quelques décennies plus tôt, je trouve cette anecdote maladroite. No

Je sais qu'il y avait des Américains qui partageaient les idées Nazies ou qui avaient de l'estime pour un parti qui avait ramené un pays entier dans le "droit chemin", notamment le grand aviateur Charles Lindberg mais très vite, l'opinion U.S a vite changé d'attitude face à leur agression envers de petites nations neutres comme la Hollande, la Belgique et le Luxembourg, sans oublier le sacrifice de la valeureuse Pologne.

Deux solutions : réecrire ou supprimer ce passage.

Dernière chose : Il y a des contradictions FLAGRANTES qui ne sont pas en accord avec ton futur perso, exemple...

Tu as dit : Physiquement, je suis très résistant, mais psychologiquement, je suis très faible.

Crois-tu que lors des tests de sélection dans les paras US, on pouvait garder quelqu'un qui allait craquer quand les choses iraient mal ? Je précise que faire partie de ces divisions d'exceptions n'étaient pas une simple formalité, il y avait des tests, des entretiens psy etc...ils auraient très vite vu que tu ne faisais pas l'affaire.

Crois-tu que tes camarades de combat pourraient te faire confiance avec une telle lacune ? (sans vouloir être méchant)

La réponse est : Non

Rien ne t'empêche d'écrire que l'entraînement, la necessité de l'ordre, de la propreté, de la discipline, les efforts accomplis ont fait disparaître cette faiblesse psy. pour te transformer en un nouvel homme. Plus on fait une chose, plus on la connaît, mieux on la maîtrise, c'est ça, qui développe la confiance en soi.

Un exemple de "conversion psy négative" est celui du soldat "Baleine" dans "Full Metal Jacket", traumatisé par la punition collective de ses camarades.
Une punition injuste mais necessaire car il fallait qu'il libère son potentiel agressif pour une meilleure efficacité individuelle servant à son unité et pour lui-même (pour des questions de survie) !

S'il n'avait pas "craqué", il aurait dépassé ses camarades en terme d'efficacité et c'est ce que le sergent Hartmann lui précise d'ailleurs ! Dans sa bouche, c'était presque un compliment ! ^^

Une équipe au combat est solidaire car chacun de ses membres connaît le potentiel des uns et des autres (ainsi que leurs faiblesses atténuées par la dureté de l'entraînement, d'une discipline éprouvée et d'un fort sentiment de solidarité).

Comme disait mon général favori (Patton) : "Chacun de vous est le maillon d'une chaîne, il faut que vous soyez solides" et John Rambo ajoute que : "la meilleure arme d'un guerrier est son esprit" Pablo Raben Icon_wink

J'espère t'avoir éclairé Pablo Raben Icon_sunny

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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 14 Nov - 15:21

Pfoua après lectures des Andy... (rooh on peut pas dire comme pour Roucas et ses Roucasseries!^^), enfin tout ce qu'a dit Andy, ainsi que Mac (mais surtout Andy Very Happy ), et ben j'ai mal aux yeux.

Et tant qu'on est dans les citations, vu que je ne suis pas Modo, je peux donc dire que cette fiche "c'est pas guerre!" ( What a Face )

Bonne continuation a tous. (Clin d'oeil a ce cher Andy qui est toujours en forme pour pondre une fondue de détails qui te laisse une plombe sur la page.^^)
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 14 Nov - 16:09

Voilà maintenant je crois que c'est bon.
Sinon merci que les conseils Andy !
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 14 Nov - 19:16

De rien...On est là pour ça ! C'est mieux, faudrait juste que ça soit un peu plus fluide, un peu plus aéré dans les paragraphes, surtout là où tu racontes ton épopée Belge jusqu'à la frontière Française, sinon, il y a une nette amélioration.

C'est comme tout...tu as le savoir, certaines connaissances mais pas encore la "méthode", si tu maîtrises ça, c'est moi le premier qui te félicitera sur la qualité de tes post.

Voilà comment je procède :

1) Je plante le décor (description des lieux ou psychologie d'un perso)

2) Je lui donne "vie" avec des détails que je justifie, par des traits de caractère, personnels ou historiques (donc je fais des recherches)

3) Je rends ma lecture agréable à un oeil étranger, en faisant attention aux fautes (je me relis plusieurs fois !).

4) J'écris par paragraphe et je fais de sorte à ce que ça s'enchaîne naturellement, sans accumuler une série d'actions à la suite de manière délirante, c'est comme la musique, faut marquer le rythme !

-------------------------------------------------------------------------------------

Démonstration : Depuis que j'avais commencé à travailler dans le studio, le patron, Mr Brown, m'avait pris en affection, je n'avais pas compris pourquoi au début. J'ai pu le réaliser le jour, où j'avais vu une photo tomber de la poche de sa veste. Je m'empressais de la remettre en place et je n'ai pas pu m'empêcher d'y jeter un oeil, c'était la photo d'un adolescent. Au dos, il était écrit : "Jimmy 15 ans, 1936, Houston"

[mise en place du décor et explication des relations du perso et d'un perso secondaire important, ici, "Mr Brown"]

Ce qui me frappais, c'était surtout la ressemblance avec moi, pas comme un jumeau mais de loin, je faisais illusion...Pourtant, je ne lui connaissais pas de famille, peut être lui rappelais-je son fils...Quoiqu'il en soit après deux ans sans absence aucune, j'osais enfin lui demander un congé. Il m'accorda deux semaines de vacances avant la saison estivale, je n'y croyais pas !! Je choisis donc le mois de mai ! Qu'allais-je faire de tout ce temps libre ? Aller sur la Côte Est ? La Californie ?

[motif du déplacement en Europe et enchaînement]

L'actualité brûlante me fit penser à l'Europe, les clients en discutaient pas mal avec Mr Brown et je les entendais à travers la porte du laboratoire. C'était décidé, j'irais en Europe ! Mon intuition me poussait à aller là où des choses risquaient d'arriver et puis, ce serait sans doute une belle aventure, je pourrais sans doute rapporter de formidables clichés, j'avais un laboratoire sous la main après tout et puis j'avais économisé pour m'acheter un appareil, du moins, j'espérais m'offrir une belle occasion !

Je réservais alors un billet maritime pour la 1ère fois, je devais en plus prendre le train jusqu'au port de Corpus Christi mais je n'étais pas assez riche pour me payer un billet d'avion, je perdrais au moins trois jours pour atteindre l'Angleterre. Je regardais un vieil atlas scolaire dans un "Reader's Digest" et les côtes les plus proches étaient la Belgique ou la France.


Etant donné que nous étions neutres comme la Belgique et la Hollande, je m'interessais davantage à ces deux pays même si je me souviens de photos sur la ligne de défense Française grâce à un reportage de l'un de nos compatriotes qui avait pu photographier quelques éléments impressionnants de celles-ci, d'énormes casemates de béton renfermant de lourdes batteries.

[justification de la prise de connaissance des ouvrages fortifiés d'Europe de l'Ouest]

J'avais vu ça chez Harry, le coiffeur de mon quartier, il avait toujours les meilleures revues du coin, je crois qu'il devait être de mèche avec Mr Dawson qui tenait le kiosque à journaux ! A tel point que parfois, son salon ressemblait plus à une salle de lecture où seul le bruit des ciseaux perturbait la lecture silencieuse de ceux qui venait se faire rafraîchir la nuque !

[une petite note d'humour en +]

Je ne sais pas comment ce reporter a pu procéder mais j'avais terriblement envie de faire pareil !
Sûrement que son appareil était très discret...

[explication du choix du pays neutre et corrélation avec le choix du site militaire, par imitation]

J'avais jeté mon sort sur la Belgique puis je me décidais à faire quelques recherches, à la bibliothèque. J'épluchais les journaux internationaux et esayais de collecter le plus d'infos possible sur ce petit pays que je ne connaissais pas lors de mes pauses déjeuner. Cela m'a pris quasiment tout le mois de mars 1940 et j'en profitais pour apprendre quelques rudiments de français et de néerlandais, le soir, grâce aux dictionnaires de la bibliothèque municipale.

[ajouts de détails justifiant le déplacement du perso en lui donnant de la profondeur]

J'appris par ce travail de patience, que les Belges avaient eux aussi un fort situé à l'Est de leur pays, bordant le canal Albert, touchant la frontière Hollandaise et tout proche de l'Allemagne. J'avais désormais un but ! J'espérais seulement être suffisamment discret pour prendre le fort de loin et ne pas être considéré comme un espion mais c'était une idée excitante aussi. Je n'en parlais à personne même pas à Mr Brown !

[le personnage se met dans la "peau" de ce qu'il veut être : un reporter reconnu, compétent et "pro"]

La veille de mon départ, je fermais la boutique puis je voulus prendre ma veste, je trouvais sur la table de l'atelier, un petit paquet noir orné d'un ruban jaune, un petit mot dessus "bonnes vacances".

Mon coeur battait fort, j'ouvrais délicatement le paquet et je découvris avec joie un superbe appareil Kodak, un "Retina type 117"* sorti trois ans auparavant, tout neuf avec quatre pellicules
noir et blanc 24x36, de 36 vues ! J'étais aux anges, je criais, je chantais...Je cherchais Mr Brown pour le remercier mais il était déjà parti !

[Il fallait expliquer le cadeau de l'appareil par l'excellence du travail accompli par le perso + l'implication d'un élément privé. Le perso ressemble au fils du personnage secondaire]

* http://christophe.carriou.free.fr/mainpages/declic_jaune_appareil_ancien_kodak.php?id=119

[on sait maintenant à quoi ressemble l'appareil ! Il correspond tout à fait aux normes tech. de l'époque = crédible]

Fin de la démonstration

-----------------------------------------------------------------------

Ce qu'il faut retenir de tout cela :

TOUT PERSONNAGE EST CONSTITUE PAR UNE TRAME HISTORIQUE, PSYCHOLOGIQUE QUI S'ARTICULENT AUTOUR DE VOTRE ECRITURE.

POUR VOUS DONNER UN MAX DE CHANCES, IL FAUT :


> JUSTIFIER
> ILLUSTRER
> COMPLETER
> ENRICHIR

> BIEN PRESENTER

VOTRE PROFIL !!

C'est comme un "garde-à-vous" et une cantine bien rangée, cela doit être impec ! sinon cela donne ça :

https://www.youtube.com/watch?v=6VjEodfI3qA&feature=player_embedded

J'espère de tout coeur vous avoir aidé à y voir plus clair !

P.S : ET NE PAS POMPER LES INFOS DONNEES PAR LE MJ DANS VOTRE PRESENTATION OU RP !

P.S : Merci du compliment Earl.


Dernière édition par Andy Reiben le Dim 22 Nov - 15:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 21 Nov - 7:09

Ne vous inquietez pas pour la biographie, elle arrivera bientôt, c'est juste que je bosse comme un dingue dessus...
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 21 Nov - 9:30

Andy... affraid mais comment tu fais pour écrire des pavés comme ça et supporter de te répéter a longueur de journée... Enfin c'est tout a ton honneur.

Je pense qu'on devrait mettre certaines (presque toute) de tes explications sur mon aide pour faire une fiche planqué par Richard après le modèle de fiche en html.
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 21 Nov - 10:30

Si on mettait tous ses pavés sur un seul et même topic, voir même une seule page, je crois bien que nos ordinateurs ne supporteraient pas la taille de la page a ouvrir et rendreraient leurs âmes avec de belles étincelles. lol!
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 21 Nov - 13:51

Merci à vous mais je préfère me répéter, il n'y a que comme ça que ça rentre...Regardez l'entraînement des soldats, refaire la même chose, des centaines de fois, jusqu'à ce que ça devienne automatique ! J'ai toujours en mémoire les scènes de l'entraînement et la formation des marines avec le sergent Hartmann, c'est mon modèle, ma référence !

Bon, on va peut être arrêter le flood, c'est la fiche de présentation de Pablo Raben quand même ^^ !
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 21 Nov - 14:07

Voilà, j'ai terminé l'histoire de Pablo Raben
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeSam 21 Nov - 20:43

Après une (longue lecture, j'ai l'impression de me relire ^^), il y a une grande amélioration, notamment dans les racines historiques du perso et son vécu.

J'ai bien aimé le côté "artiste-chanteur", ce qui est original et Pablo a du se battre très tôt pour survivre et progresser durant sa prime jeunesse.

Ce que je n'ai pas aimé : c'est que tu as recopié mes idées ! Evil or Very Mad notamment sur son épopée photographique. Quand je donne des pistes d'écriture, c'est pour l'inspiration, pas le recopiage. Néanmoins, je n'en tiendrais pas compte car tu as fait un gros effort de réecriture.

Le côté psy. de Pablo est encore un peu instable mais l'entraînement militaire l'a endurci malgré ses blessures passées (enfance malheureuse, violence familiale, vagabondage, manque de stabilité, perte de son mentor artistique...).

Ce qui m'a fait un peu tiquer, c'est les 50 films que tu as fait ! N'est-ce pas un peu exagéré ? Certes, la période couverte est assez longue mais tu aurais du ajouter que tu les developpais au fur et à mesure sur place ou que tu envoyais tes films par courrier spécial jusqu'aux USA. Je suis sûr et certain qu'en choisissant un journal US qui avait un bureau à Londres, cela aurait pu convenir.

Un peu "brouillon" sur la fin, dommage...Sinon, ok pour moi.

Je vais apprendre, de mon côté, à faire plus court car si je vous inspire, je dois aussi être plus bref.
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MessageSujet: Re: Pablo Raben   Pablo Raben Icon_minitimeLun 23 Nov - 15:40

Donc je modifie ?
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