Fort Campbell

La 101e division aéroporté venait d'arrivé au Fort Campbell après un long voyage de 3 jours. Le 506th entre le premier dans le fort et obtient les baraquements 5, 7, 8 et 10. Il était 22h et les hommes avaient obtenu un permission de 2 jours.

Le capitaine Winters sorti de la jeep avec son équipement et se diriga vers le baraquement des officiers, lorsqu'un sergent l'interpella:

-Capitaine!

-Qui a-t-il sergent?

-Le commandant Sink veux vous voire dans son bureau dans 10 minutes.

-Merci sergent.

Quand Winters arriva dans le bureau, le Colonel Sink l'attendait.

-Colonel Sink: Capitaine, content de vous voir.

-Winters: Moi de même Colonel.

-Colonel Sink: Je voulais vous informer que nous allons être envoyé en Angleterre d'ici peu. Je veux donc que vos hommes soient en grande forme et prêt à se battre. J'ai reçu des information comme quoi la 101e division aéroportée va être parachuté au dessus de la France quelques heures avant l'opération Overload prévu pour le 2 juin. Voilà d'ailleurs le dossier que je dois vous remettre.

Le Colonel tandis un document de 8 pages. Le Capitaine le pris et l'examina rapidement.

-Winters: Très bien Colonel, les hommes seront prêt. Autre chose mon Colonel?

-Colonel Sink: Non Capitaine c'est tous. Rompez!

-Winters: À vos ordres!

Le Capitaine Winters salua le Colonel puis sorti. Il se dirigea d'un pas lent vers le baraquement des officiers en feuilletant un peu le dossier. Il y avait d'inscrit les unités parachutées, les divisions de débarquement, le nombre de navires impliqués, le nombre d'hommes pour chaque vague ainsi que les zones de débarquement et de parachutage de chaque unités.

Il était 22h30 quand le 2nd lieutenant Lewis Nixon arriva au Fort Campbell, il faisait beau mais le 2nd lieutenant était de mauvaise humeur.
Le regard de Lewis parcourut les environ en quête d'un baraquement spécifique, en vain. Il s'approcha d'un groupe de soldats en pleine discussion et interpella le premier d'entre eux:

Lewis : Soldat ..

Soldat : A vos ordres mon lieutenant ..

Lewis : Savez-vous où se trouve le baraquement des officiers ?

Soldat : Oui mon lieutenant avant-dernier baraquement de cette rangée en face.

Lewis : Merci .. Le capitaine Winters est déjà là ?

Soldat : Oui, Le capitaine est avec le colonel Sink au QG.

Lewis : Bien.. Merci soldat.

Le lieutenant Lewis s'éloigna du groupe en direction du baraquement des officiers.

*A peine arrivé, qu'il est déjà convoqué ... je sens qu'on ne va pas s'ennuyer ici ..*

Le capitaine Winters entra dans le baraquement des officiers. Il n'y avait personne encore à l'intérieur. Ses effets avaient été mis près de la porte. Il les prit et se dirigea vers un lit au fond du baraquement, puis y déposa son bardage. Il se dirigea ensuite dans un petit bureau déjà réservé pour lui. Il entra et s'assit dans une confortable chaise.

Ce bureau contenait une étagère, un bureau avec une chaise confortable, trois chaises en bois et un bon espace libre.

Richard ouvrit son dossier et se remit à lire les informations contenu à l'intérieur. Il finit par tomber sur les informations concernant la 506th. Il y avait d'inscrit leur point de larguage, leur point de rassemblement ainsi que leur objectif.

Une fois qu'il eu fini de consulter le document, il se dirigea vers la porte du baraquement et sorti. Il alla ensuite vers un soldat et demanda :

-Winters: Soldat, auriez vous vu les officiers de section de la 506th.

-Soldat: Oui mon capitaine. Le lieutenant Lewis est passé il y a quelques instants. Il a pris la direction des baraquements des officiers. Les autres sont partis avec les hommes de votre compagnie.

-Winters: Merci soldat.

Winters et le soldat se saluèrent et le capitaine Winters partit en direction des baraquements des hommes de sa compagnie. Il trouvera sûrement Lewis en revenant.

Il arriva près de ses hommes et demanda aux officiers des trois sections de l'accompagner à ses quartiers, car il devait leur parler. Ceux-ci le suivirent jusqu'à leur baraquement.

Pendant ce temps , une jeep pilotée par un MP entra dans le fort et s'arréta devant un batiment dans un crissement de pneus . Le MP sauta du vehicule et aida à descendre la passagère qui était assisez a l'arriere ..... C'etait une tres jolie femme , dans la quarantaine, vêtue d'une courte jupe noire et d'un corsage qui moulait parfaqitement ses seins.....

Arrivée a la porte du bâtiment , un autre MP lui demanda ce qu'elle voulait

- Femme : Je désirerai voir le colonel Sink . Voici ma convocation

Elle tendit un documenbt au MP..... Celui ci lut :*Nancy Corby , correspondante de guerre* . Il dévisagea la jeune femme

- MP Attezndez ici , Miss

Puis il disparu fdans le bâtiment. Cette femme lui paraissait louche . *Peut etre une espionne , pensa-t-il*

Le capitaine Winters passa avec ses officiers pas très loin de l'entrée quand ils aperçurent la femme arriver dans une jeep.

*Étrange, depuis quand laisse-t-on un civil entrer dans un fort militaire??*

-Winters: Messieurs, trouver Nixon et aller m'attendre dans le baraquement des officiers. Je vais voir ce qu'elle fait ici.

Les hommes partirent en regardant le capitaine se que le capitaine allait faire. Winters se dirigea droit sur le MP qui était à l'entrée. Il se plaça face au MP entre celui-ci et la dame. Il s'adressa d'un ton normal à l'homme:

-Winters: Que fait cette dame ici, une civile, dans un fort militaire?

-MP: Capitaine, elle a supposément un rendez-vous avec le colonel Sink.

-Winters: Surveillez bien ce qu'elle fait et ne la laisser seule un instant. Elle est votre responsabilité si toutefois ses papiers sont corrects!

Sur ce le capitaine salua la dame et s'éloigna. Il était intriguer par le fait qu'elle est réussit à obtenir une telle autorisation ici.

Sur ces entrefaites, le second MP ressortit du bâtiment . Apercevant le capitaine à l'instant même ou il s'éloignait il le salua puis il se précipita vers la jeune femme

-MP : Ainsi, vous prétendez vous appeler Nancy Corby et etre correspondante de guerre ?

-Martine : Je ne prétends pas , je suis !

La jeune femme avait répondu sur un ton courroucé. Le MP chuchotta quelque chose a so collegue Celui-ci regarde Martine

-MP : Le colonel Sink est absent, Miss

-Martine : Tres bien, je reviendrais

-MP : Non , Miss, nous vous gardons . Pour interrogatoire

Martine pâlit . Il allait falloir lui jouer serré * Sinon , tu es bonne pour le peloton , ma fille*

Le MP invita la jeune femme a mettre ses bras derriere son dos . Les menottes claquerent sur ses poignets.
Puis Martine fut entrainee a l'interieur du bâtimennt.....

Winters rejoignit le baraquement des officiers où ses officiers l'attendaient. Quand il s'en approcha, il se retourna et put voir que la femme venait d'être arrêtée par les MP.

*Eh bien, les Allemands s'essaient encore...*

Il entra et trouva les hommes qui discutaient de ce qui venait de se passer à l'entrée du Fort. Quand Winters entra, les hommes se mirent au garde-à-vous.

-Winters: Repos! Allons dans mon bureau, j'ai des documents à vous montrer.

Les officiers le suivirent et s'installèrent autour d'une carte placée sur le bureau. Elle indiquait la région de la Normandie en France et indiquait les positions de divisions allemandes ainsi que des ordres d'attaques pour les troupes alliées durant un débarquement, probablement un à venir puisqu'aucune troupe alliée n'était en France en ce moment. Winters s'adressa aux hommes présents :

-Winters: Messieurs, voici le plan de débarquement prévu pour le 1er juin de cette année...

Winters parla durant un bon quart d'heure avant d'avoir fini d'expliquer le rôle de sa compagnie durant cette opération surnommée « Opération Overload ».

Pendant ce temps la soi- disant Nancy Corby avanca, escortée par les MP .Les différentes personnes que Martine croisa sur son chemin la regardèrent avec un regard de gêne. Les MP continuèrent leur route et ils s'arrêtèrent ensuite devant une porte en fer. Un sergent entra une clé dans la serrure et la porte s'ouvrit avec un grincement sinistre...

Un long couloir se dessina alors. Les soldats entrainèrent Martine dans ce couloir qui lui sembla infini. Après quelques minutes de marche, ils s'arrêtèrent et ouvrirent une seconde porte.
Là, une cellule apparut dans laquelle la belle espionne fut poussée . Une petite pièce de 5m sur 3m... Il y avait un lit et un coussin. Une petite toilette délabrée à l'extrême gauche....Un petit miroir sur un mur et une toute petit fenêtre,en barreau, qui laissait à peine passer la lumière du soleil.

Ensuite, le Sergent ferma la porte et Martine put entendre le bruit des clefs qui tournaient dans la serrure.

Martine ne su pas combien de temps elle avait attendu dans cette cellule sombre , lorsque la porte s'ouvrit... Les MP inviterent Martine a les suivre

Peu de temps apres Martine fut introduite dans un bureau.......La elle aperçut un Colonel , grand et svelte Le Colonel fixa la jeune femme

Colonel : Je suis le colonel Hudson.....Et vous Miss Corby ?

Martine : Oui Nancy Corby

Hudson : Miss, vous vous etes introduite dans un Fort militaire . C'estt un acte d'espionnage caracterisé...

Martine : Je suis reportter de guerre...

Hudson : Je suis désolé Miss, mais je dois vous faire fusiller.... MP ramenez Miss Corby en cellule.....

Des que Martine fut sorte, le colonel decrocha son telephonne

Hudson : Allo ! .... Captain Winters ? .... Y ES dans mon bureau tout de suite....

Soudain le téléphone du bureau du capitaine Winters sonna.

-Winters: Winters.

-Hudson: Allo ! .... Captain Winters ? .... Y ES dans mon bureau tout de suite....

-Ah vos ordres colonel!

Le capitaine laissa ses hommes aux bons soins de Nixon qui n'avait pas parler depuis un bon moment. Il sorti et se dirigea d'un pas rapide vers le bureau du Colonel Hudson. Dehors, une fine pluie commençait à tomber et le Winters se dépêcha d'entrer dans le batiment où se trouvait le colonel. Il se dirigea jusqu'à sa porte et cogna.

-Hudson: Entrer!

Winters entra et le colonel l'invita à s'assoir.

HJ: (Martine c'est à toi et désoler du temps avant la réponse, mais mes cours m'occupe beaucoupp ses temps si.)

Le colonel, comme a son habitude, en vint directement au fait. D'un dossier qui etait sur son bureau. Il en retira une photo qu'il présenta aWinters La photo représentait une tres joliejeune femme , dans la quarantaine.

Winters : Mais….. C'est la femme que j'ai vue tout a l'heure aux prise avec des MP. Une correspondante de guerre je crois….

Hudson : Un pretexte pour s'introduire dans le fort ! En fait c'est une espionne allemande qui se nomme Martine Arou….

Winters : J'ai cu entendre le MP l'appeler Nancy Corby…..

Hudson : Non , en fait elle s'appelle Martine Arou et a usurpé un autre nom pour s'introduire ici….Bref, elle a été démasquée et est enfermée dans une cellule.

Le capitaine, tout en écoutant son supèrieur , se demanda pourquoi le colonel l'avait convoqué…Le colonel vit son trouble

Hudson : Cette femme sera fusillée demain 04 juin à l'aube. Et c'est vous qui serez chargé de l'organisation de l'execution

Winters ; A vos ordres mon colonel

Hudson : Vous choisirez six de vos hommes pour former le peloton , Winters…. N'oubliez pas qu'il s'agit de fusiller une fort belle femme

Le colonel indiqua que l'entretien était terminé.
Winters quitta e bureau. Tout en pensant a cette affaire, il se dirigea vers les quartiers de ses hommes. Il devait leur parler et en choisir six……….

MJ: Évite de faire parler un autre joueur sans son accord, car il pourrait décider de dire ou faire autre chose. C'est bon pour se message. Et de plus ce ne peut pas être le 4 juin si tu lit un peu avant tu peux voir que le débarquement est prévu pour le 1 juin... disons plutôt le 4 avril...
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Winters quitta le bureau et prit la direction des baraquements de la compagnie. La pluie tombait plus forte et il s'abrita lorsqu'il le pouvait. Quand il arriva finalement aux baraquement de ses hommes et les rassembla et s'adressa à ceux-ci:

-Winters: Soldats, aujourd'hui, une femme est entrée dans la base en essayant de se faire passer pour une journaliste. Elle a été arrêtée sur le champ et enfermée. Le colonel Hudson vient de me dire qu'elle serait fusiller demain par six de mes hommes. Des volontaires pour le peloton d'exécution?.... Aucun? Janovek, Guth, Luz, Dukeman, Cobb, Heyligher merci d'être volontaire. L'exécution aura lieu à 12h demain un peu avant le départ pour l'Angleterre alors soyez prêt.

Winters sorti et retourna à ses quartiers. Certains des officiers dormaient, d'autres jouaient aux cartes et d'autres encore s'occupaient. Quand il entra dans le baraquement, les hommes présents le saluèrent d'un signe de tête. Winters alla se coucher.

Tout le monde ne se coucha pas en même temps que le Capitaine …..
A l’extrémité sud du Fort une intense activité régnait dans une sorte de grande cour herbue entourée de hauts murs aux pierres sombres. Devant l’un des murs, sous la pluie battante et sous l’éclairage pûissant des phares d’un Dodge, deux terrassiers finirent de caler avec de grosses pierres la longue traverse en bois clair qui avait été plantée devant le mur…. Puis ils s’assurèrent de sa solidité, montèrent dans le Dodge et quittèrent les lieux….

Agrippée aux barreaux de sa cellule, Martine regarda la pluie tomber…..
Le claquement des gouttes contre les murs l’empêcha d’entendre les pas dans le couloir…….Aussi fut elle surprise lorsque la porte s’ouvrit et qu’entra un jeune officier…

-Jeune Officier : Je suis le lieutenant O’Grady….. Je viens pour…… Soyez courageuse, Miss….

-Martine : C’est pour quand ?

-O’Grady : Demain a 12 h, Miss…. Avez vous des questions ?

-Martine : Oui ! Est ce vous qui commanderez le peloton ?

-O’Grady : Non , Miss ! C’est le captain Winters qui est chargé des formalités . Il passera vous voir demain matin…..

Le jour était deja levé, ce 04 avril 1944, lorsque le capitaine Winters se trouva, comme a son habitude, fin prêt, rasé et habillé…..Il regarda sa montre : 08.00 am . Dans quatre heures se déroulerait l'execution….En attendant, il avait une journée chargée. Il lui fallait d'abord aller voir la condamnee pour fixer avec elle les modalités de l'execution….

Dans la cellule 314, Martine se leva elle aussi…. Elle avait peu dormi…. Martine s'étira, ce qui fit jaillir ses seins nus…. Elle regarda le jour qui se levait…… Elle compta le temps qui lui restait a vivre…..

Winters arriva a la prison et les deux MP qui etaient a l'entrée le saluèrent…… Puis ils se dirigérent vers la cellule 314.

Martine, vetue d'une simple culotte , attendait, assise sur son lit

Winters entra dans la cellule de la future exécutée. Il l'a regarda 5 secondes avant de faire entrer un soldat qui portait plusieurs affaires. Winters s'addressa alors à la jeune femme.

-Winters: Madame Martine Arou, sur ordre du colonel Hudson, vous serez fusillée aujourd'hui à midi. Ce soldat à ordre de vous préparez avant l'arrivée d'un prêtre. Vous serez habillée de vêtements de votre choix trouvés dans une de vos valises. Vous avez une heure avant l'arrivé du prêtre.

Winters se retourna et fit entrer le soldat charger de quelques vêtements.

-Winters: Occupez-vous d'elle. Vous avez une heure, puis quitté la pièce.

-Soldat: Bien capitaine!

Winters salua la dame et sorti juste à l'extérieur pour s'adresser aux deux MP présent.

-Winters: Surveillez la et veillez à se qu'il n'y ait aucun problèmes ou se sera votre responsabilité.

Le soldat avanca et deposa les vetements sur la chaise. Puis il regarda Martine, toujours assise sur son lit, la poitrine nue.....

-Soldat : J'ai recu l'ordre de vous preparer pour l'execution, Miss, de repondre a vos questions... et de satisfaire vos volontes si possible

-Martine : Merci ! Combien y aura t il de tireurs?

-Soldat : Six, Miss.... Tous des tireurs confirmés...

-Martine : Je desire qu'ils ne visent que la poitrine

-Soldat : Bien, Miss Je transmettrais

-Martine: Et qu'ils tirent au coeur....

Et avant que le soldat ait eu le temps de reagir, la jeune femme saisit sa main et la posa sur son sein gauche....

-Martine : C'est la....

Surpris, le soldat sentit sous sa paume un sein rond et dur et le battement d'un coeur.... Il retira sa main....Et repris ses esprits

-Soldat : Autre chose, Miss?

-Martine : Je ne veux pas de bandeau sur les yeux....

-Soldat : Je transmettrai.... Je vous laisse vous preparer, MISS

Puis le soldat sortit et se planta devant la porte

Martine s'avancaa alors vers la chaise...Elle choisit des bas de soie trs fins couleur chair, une minijupe grise et un chemisier blanc, tres ajuste, en coton tres fin avec des petits boutons de nacre.....Elle laissa sur la chaise son soutien gorge....Martine enfila soigneusement ses bas, puis elle passa sa jupe.....En dernier , elle enfilale chemisier, qu'elle ne boutonna pas..............Martine fit juste un noeud sur son ventre avec las pans.................

Martine, malgre son courage, sentit alors un rien de peur monter en elle ....Elle songea au pretre qui allait arriver....Elle n'avait pas l'intention de se confesser, mais de lui demander de l'aider a mouir courageusement...
Martine se prepara mentalement.......Elle se tint droite devant le petit miroir et bomba le torse au maximumm...Ses seins tendus ecarterent les pans du corsage....

A cet instant la porte de la cellule s'ouvrit...

Jospeh était passé par le QG du capitaine Winters et il avait reçu l'autorisation de se rendre directement à la cellule d'une détenue qui était s'était faite passée pour américaine alors qu'elle était une espionne allemande. Il marcha dans un long couloir où plusieurs portes bien gardées étaient enfoncées dans la roche. Il arriva quelques instants devant la bonne porte et deux soldats se mirent en garde-en-vous.

-Jo Liebgott: Caporal Liebgott, je viens voir la prisonnière.

-Premier soldat: Avez-vous reçu une autorisation caporal ? Avec ce qui c'est passé, on préfère être méfiant maintenant...

-Jo Liebgott: Oui, tenez.

L'un des soldats prit le bout de papier et après l'avoir lu attentivement, il regarda par une minuscule fenêtre pour voir où était la prisonnière et il ouvra la porte. En entrant dedans, Jo salua la prisonnière.

-Jo Liebgott: Caporal Liebgott, je suis nouveau dans le régiment et j'aimerais connaitre des détails sur cette arrestation et sur quelques points si sa ne vous dérange pas.

MJ:

Quelques instants après que Jo soit entrée, Un aumônier entra dans la cellule.

-Aumônier: Je suis le capitaine Marcel Orley, aumônier protestant de l'armée des États-Unis. Je viens pour recevoir vos confessions, vos demandes sur la mort et autres demandes de votre part madame.

L'homme remarqua alors qu'un caporal était présent. Il le salua aussitôt.

-Aumônier: Qui êtes vous caporal?

Le capitaine regardait un après l'autre le caporal et la dame.

-Aumônier: C'est vous qui deviez vous occupez de la prisonnière? Vous ne deviez pas être parti avant mon arriver?

L'aumônier attendit la réponse du caporal et les paroles de la prisonnière. Il était patient et avait encore devant lui 2h45 avant qu'elle se soit amener jusqu'au lieu de son exécution.

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Le capitaine winters avait rejoins ses hommes devant les baraquements des soldats.

-Winters: Messieurs, j'espère que vous êtes prêt. N'oubliez pas que nous partirons après l'exécution de la prisonnière qui aura lieu à 12h juste, soit à 13h. Pour ceux qui ont été désigner pour le peloton d'exécution, soyez sur place une demi-heure avant l'exécution pour la préparation.

Le capitaine reparti alors en direction de ses quartiers pour préparer ses dernières affaires et pour organiser le départ du régiment.

Jo fut interrompu par l'ouverture d'une porte. Il se retourna et à l'allure du nouvel arrivant, sa façon de s'habiller, il en déduit que c'était l'aumonier pour la prisonnière. Celui lui parla pendant un moment jusqu'à ce qui remarque la présence du caparol Liebgott.

Jo Liebgott: Caporal Jo Liebgott mon capitaine. Excuez moi pour le dérangement mais j'ai pensé pour mon premier jour en tant que chef d'une petite section venir m'informer de ce qui c'était passé avec prisonnière allemande mon capitaine.

L'aumonier regarda Jo avec sévérité. Manifestement, il desapprouvait sa facon de faire….Il lui demanda de sortir…..Jo se dirigea vers la porte….

-Martine : Merci de votre visite caporal… Nous nous retrouverons sue le lieu d'exécution…

Le caporal quitta la piece… Martine s'assit sur son lit. Sa minijupe remonta dévoilant la totalité de ses cuisses. Cela ne choqua nullement le capitaine…. Il en avait vu d'autres…..Le capitaine prit place a coté de Martine.

-Aumônier : Vous désirez vous confesser, ma fille?

-Martine : Non, merci mon père. Je souhaite plutot parler avec vous de la mort, de ce qui va se passer apres…..

Alors, le capitaine Orley et la prisonniere discuterent longuement du sujet, de la mort en général…..Le temps passa…..2 h 45 c'est à la fois long et court…..
Il était 11h (en fait 13 h) lorsqu'ils eurent terminé…..Dans une heure on viendrait chercher Martine….. Le capitaine se leva

-Aumônier : Avez-vous des questions ou des dernieres volontes?

-Martine : Oui une ! J'aimerai écrire une derniere lettre .

L'Aumonier appela un soldat et lui transmis la requete…… Celui-ci partit et revint quelques minutes apres avec du papier et un crayon qu'il posa sur la table..

-Aumônier : Je reviendrai tout a l'heure. Je serai avec vous jusqu'au bout

Puis il quitta la piece et ordonna aux soldats de ne laisser entrer personne hormis lui et Winters….
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11.30 am Lieu d'execution

Le capitaine Winters rejoignit les six membres du peloton pour préparer l'exécution…..

Il était 11h30 du matin et Jo avait du sortir de la geôle de la prisonnière allemande sur la demande de l'aumonier. Il comptait à faire partir du pleton d'exécution mais les places devaient être toutes prises par des soldats confirmés. Il se retrouva devant le bureau de Winters et demanda aux soldats si ils pouvaient entrer.

Soldat: Avec les raisons de votre venue, vous pouvez entrer caporal.

Jo pénétra dans le bureau de Winters et se mit en garde en vous. Une fois que le capitaine l'ai mis en repos, il prit la parole.

Jo Liebgott: Mon capitaine, avec votre permission, j'aimerais participer à cette exécution qui va avoir bientot lieu si sa ne vous gêne pas.

Pendant que Jo effectuait sa demande aupres du capitaine Winters, Martine posa sur la teble le crayon et elle relu la lettre qu'elle venait d'écrire....

Citation :: Mon chéri

Quand tu rentreras de captivité à la fin de cette maudite guerre, tu trouveras cette lettre de moi...... datée du mois d'avril 1944.....
A l'instant ou je t'ecris, mon chéri, il ne me reste environ plus que trois quarts d'heure a vivre.....
La, aujourd'hui a midi ma vie va prendre fin. J'ai été condamnée a être fusillée.....
Je tomberai fiere et droite, ma poitrine offerte aux balles du peloton d'exécution......
Je penserai tres fort a toi et à notre fille que je vais rejoindre.....

Adieu, mon chéri...... Je t'aime.....

Martine

Martine plia la feuille en quatre , la mit dans l'enveloppe grossiere qu'on lui avait apportée et inscrivit dessus une adresse. Puis elle la posa sur la table et attendit.....

Le capitaine Winters accueilli le caporal. Celui-ci le salua et Winters lui retourna.

-Winters: Vous voulez faire parti du peloton d'exécution?

Le capitaine lui indiqua une chaise. Il prit alors son dossier qu'il venait de recevoir.

-Winters: Bonne maîtrise de son arme.... fait ses preuves... bon tireur...

À se moment, un sergent entra se présenta au capitaine.

-Sgt: Capitaine, je viens vous informer que le soldat Luz vient de recevoir une balle perdu au bras. Il est à l'infirmerie et devrait s'en remettre rapidement.

Le sergent reparti. Le capitaine Winters observa un instant le caporal. Très bien, j'ai besoin d'un remplaçant. Vous l'êtes. Le capitaine sorti avec le caporal et se rendirent ensemble au lieu de l'exécution pour préparer les hommes.

Au même instant, un homme vêtu d’une blouse blanche se présenta devant la cellule de l’espionne. Il présenta son laisser passer et un soldat lui ouvrit la porte….

Martine sursauta : on venait la chercher. Elle consulta sa montre : il n’était pas encore 11 h 30…… Elle regarda le nouveau venu, un homme grand et sec mais au visage jovial . Martine remarqua les galons qu’il portait sur sa blouse et le dossier qu’il tenait.

-Médecin : Je suis le médecin major Steve Austin , Miss . Je suis chargé de vous examiner , Miss

-Martine : M’examiner ? Pourquoi ?

-Médecin : Pour vérifier que vous n’êtes pas enceinte, Miss . Dans ce cas, vous ne seriez exécutée qu’apres la naissance du bébé….

-Martine : Non je ne le suis pas ! Mais faites donc votre travail

Le médecin major examina la prisonnière et constata qu’elle disait vrai.

-Medecin : Tres ben, Miss. Vous pouvez etre fusillée

-Martine : Merci ! Vous avez terminé ?

-Medecin : Presque ! Je dois determiner l'emplacement exact de votre coeur pour le peloton...Vous desirez presenter votre poitrine nue au feu des fusils ?

-Martine : Oui si c'est autorisé...

Le medecin fit signe que oui. Puis il examina la poitrine de Martine et traca un cercle rouge sur son sein gauche, a l'endroit exact ou battai son coeur

-Medecin : Voulez vous une piqure de narcotique ? Ca vous rendra somnolente le moment venu

-Martine : Non, merci

Le medecin salua la prisonniere et quitta la cellule

Le capitaine Winters l'avait invité à s'asseoir pendant qu'il lisait son dossier qui semblait même très bon pour qu'il accepte sa requête. L'arrivée d'un sergent allait arranger les affaires de Jo pour l'exécution de la prisonnière. Une fois que le capitaine l'ai informé qu'il participerais, il le remercia et le salua. Celui-çi prit congé de Winters et il marcha jusqu'à l'endroit où était enfermé l'espionne.

Jo Liebgott: Garde, l'heure est venue pour la prisonnière d'être exécutée et comme tout ce qu'elle a demandé a été fait, je pense qu'il est temps maintenant qu'on l'emmène. Surveillez au cas ou elle s'échapperait.

Garde: Oui caporal. John, met toi à l'écart et couvre le ! Es ce que vous avez encore besoin de parler ou de quelque chose ?

Jo entra dans la cellule à présent ouverte et salua la prisonnière en se présentant.

Jo Liebgott: Miss, veuillez m'excuser mais il est bientot l'heure d'y aller.

» Earl Campbell