Opération Husky (1943)

Il avait une chaleur épouvantable sur la colline de la ville de Vittoria. Voila 24h que le débarquement allie avait eu lieux et toute les compagnies, régiments et divisions présent sur le sol Sicilien devaient rejoindre le sud au plus vite. La 12 ème Stug compagnie du Oberfeldwebel Von botryche était stationne dans un village assez près du débarquement. Erwin avait reçu l'ordre du haut commandement de partir au plus vite rejoindre le secteur de la ville de Vittoria. Après quelques heures de route, la compagnie avait pue prendre position en haut de la colline. Erwin regardait avec ces jumelles l'horizon. Aucun mouvement ennemie était a signalé dans la petite ville. Il se retourna et avança vers ses hommes.

- Messieurs, vous monterez le camps. Nous avons reçu l'ordre d'attendre ici et c'est se que nous ferons en attendant les renforts. Gefreiter Tyrman vous prendrez notre SdkFz 251 et vous irez en ville. Je veux que vous soyez en liaison radio avec mon pc. Si vous voyez des mouvements ennemies, vous me le transmettez et vous reviendrez ici. Je fais appelé le centre du haut commandement. Messieurs Rompez les rangs!.

Voila une heure que le Gefreiter Tyrman était de retour, la ville était calme d'après les informations qu'il avait vue, aucun ennemie n'avait été signalé. L'Oberfeldwebel s'inquiétait, mais ou étais les américains que l'état-major lui avait signalé. Avaient-ils été rejeté à la mer ? Non! L'état-major l'aurait signalé et toutes les radios du Reich auraient sauté sur l'occasion pour dire que les forces de l'Axe n'étaient pas encore vaincu! Non les américains étaient quelque part mais ou ? Voila la question que Erwin se posait depuis une heure. Il décida d'appeler son état-major:

- "Oberfeldwebel Erwin Von Botryche de la 12 ème Stug compagnie au pc du 81eme Panzer régiment, répondait! Ha Heer Hauptmann, aucun mouvement ennemie à signalé dans le secteur de la ville de victoria. J'ai envoyé une patrouille de reconnaissance fouillé la ville, elle ne m'a pas signalé d'ennemie dans le secteur. Qu'elles sont mes ordres Heer Kommandant ?"

- "Oberfeldwebel, Restait avec votre compagnie sur les hauteurs de la ville, des renforts font arrivé très bientôt. Votre seul ordre de mission et d'attendre les renforts et de me signalé si vous voyez du mouvement devant vous; Bien reçu !! ? "

- "Jawohl! Herr Hauptmann!!"

Erwin sortit de son panzer et avança dans la plaine, il prit cet jumelle et regarda au loin, il vit de la poussière au loin. Il regarda bien et il vit un drapeau a croix gammée, Oui!!! Les renforts!!!

Les SdkFz de la compagnie avancait,la poussière était soulevée par l'avant et par les chenilles sur les côtés,elle nous lacérait le visage.
La chaleur nous faisait suer dans nos uniformes et était étouffante.
Le véhicule de ma section était le quatrième.

On se rapprochait de la position a tenir,les hauteurs de Vittoria.
Une compagnie de Stugs nous attendait la-bas d'après le Hauptmann.
On remarqua enfin les Stugs en haut,on arrivait enfin!

En arrivant en haut,les pilotes arrêtèrent les véhicules,les mitrailleurs sautèrent par-dessus les parois et les pilotes s'enlevèrent de leurs postes pour sortir aussi.
La porte de mon véhicule s'abattit et je criait a mes hommes pour surplmober les bruits de moteurs.

-Alfred:Section...sortez du véhicule!!!

Les autres véhicules firent la même chose et l'on se rassembla vers le le Leutant Petrik qui allait donner les démarches a suivre.

-Petrik:Bon,le peloton est affecté avec les blindés de la 12ème.
Mais vous creusez quand même des trous de combat a quatre-cinq mètres en avant de leur Stugs.
Chefs des sections,avec moi pour allé rencontrer leur dirigeant.

Les autres sous-officiers et moi-même suivirent le Leutnant.
J'enleva mon casque lourd pour ensuite m'essuyer le front d'un revers d'avant-bras.
J'accroche ensuite mon casque a mon barda,pour sortir mon calot et me le caler sur le crâne.
En arrivant,le Leutnant se présente et l'Oberfeldwebel le salut dans les règles.
Le leutnant lui tend plutot la main amicalement,pas conforme venant d'un officier,mais le leutnant était comme ca.
On salua l'Oberfeldwebel de derrière Petrik,d'un léger salut de la main,on se foutait un peu du respect complet de la discipline prussienne du temps des casernements.

Quand Erwin vit les renforts, il courru jusqu'a ses hommes:

-Messieurs, Garde a vous! En rang serez! Gefreiter Tyrman choisissait un homme qui restera près des panzers et qui regardera le secteur de la ville.

Quand la compagnie des renforts fut assez près, les hommes descend ire de leurs véhicules et les officiers et sous-officiers avancèrent vers l'Oberfeldwebel. Après quelque saluent et une poignez de main que Erwin n'avait pas l'habitude de faire avec un officier supérieur, il prit la parole:

- Oberfeldwebel Erwin Von Botryche, commandant de la 12 ème Stug compagnie à votre service Heer Leutant! Je pense que vous prendrez le commandement des opérations maintenant ? Je tenais juste a vous signalez que aucun mouvement ennemie n'a encore etait signalé, nous devrions peut etre envahir la ville avant qu'elle ne soit occupé par les enemies, ne pensez vous pas ? Je laisserais ma compagnie ici avec le reste de vos hommes? Je suis a vos ordres Heer Leutant!

J'écoutais depuis un muret sur lequel je m'étais placé pour fumer.
L'Oberfeldwebel prit la parole:

-Erwin:Oberfeldwebel Erwin Von Botryche, commandant de la 12 ème Stug compagnie à votre service Heer Leutant! Je pense que vous prendrez le commandement des opérations maintenant ? Je tenais juste a vous signalez que aucun mouvement ennemie n'a encore etait signalé, nous devrions peut etre envahir la ville avant qu'elle ne soit occupé par les enemies, ne pensez vous pas ? Je laisserais ma compagnie ici avec le reste de vos hommes? Je suis a vos ordres Heer Leutant!

-Petrik:Leutnant Petrik,je ne dirige que mon peloton,la compagnie est dirigée par le Hauptmann Kert.
Ma section a été affectée avec votre compagnie Oberfeldwebel,donc je les poste quelques mètres devant vos blindés,mais au moindre probleme,je pense qu'on suivra vos chars.
Je vous laisserais diriger vos hommes a votre guise,mais je resterais en contact avec vous.

Le Hauptmann Kert arriva justement a la fin des paroles de Petrik.
Je me mis au garde a vous rapidement en faisant claquer les talons.
Les autres en firent autant a la même rapiditée.
En arrivant a hauteur des officiers,il salua rapidement de deux doigts a la visère de casquette,comme le faisait les officiers envers leurs subalternes.
Le leutnant Petrik rendit un salut impeccable,claquement de talons et petits doigts longeant la couture de pantalon.

-Kert:Messieurs,la 4ème section,la votre Petrik,se placera donc ici même,avec votre 12ème Oberfeldwebel.
Le reste de la 5ème compagnie se placera dans la ville,le QG sera placé dans l'église.
Je ne sais pas encore si d'autres unités viendront,surement une compagnie de canons anti-chars,nous verrons bien.
Messieurs a vos postes et restez sur vos gardes!

-Petrik:Jawohl herr Hauptmann!

Sans attendre Kert repartit,entra dans sa voiture et partit en direction de la ville qui était déja entrain de se faire barricader par la 5ème compagnie.
Je m'avancait vers mes hommes qui avaient creusés leurs trous de combat.
La MG42 était placée dans le trou a droite du mien.
Je placa mon Kar98 sur la bordure du trou,la Mp40 était-elle a côté.
Le schutze a mes côtés se mit en position pour surveiller,a mes ordres.
Je placa l'étui du masque a gaz sous ma nuque,mes mains derrière ma tête.
Ma baionnette dans mes mains au cas ou,je dormais,mais que d'un oeil,peur de se faire réveiller par un ennemi pour se prendre une balle dans la nuque.
Peur apparue sur le front russe.

La nuit arriva sur les hauteur de la ville. Oberfeldwebel était assied sur son Panzer, fumant quelques cigarettes. Il regardait la ville de Victoria, elle était peu éclairé, on ne voyait que des mouvements venan de l'Église. Erwin fini sa clope et avança vers la 4eme section qui était en avant de ces chars. Il marchait, en le voyant certains hommes qui ne dormait pas le saluèrent et Erwin leur rendit leurs saluent. Il avança encore de quelques mètres quand il vit un drôle de Unteroffizier qui dormait, sa baionnette à la main, Erwin trouva sa vraiment drôle. Il s'avance en silence puis dit:

- Unteroffizier! Nous ne sommes pas sur le front russe ici! Vous pouvez dormir sur vos deux oreilles, les américains n'attaqueront pas cette nuit, comme nous ils sont un endroit pour dormir, hihi!! , dit Erwin le sourire au lèvre alors que Unteroffizier le regardait les yeux endormie. Je rigole bien sur! Comment vous appelez vous ?

Je me fis réveillé de nuit par un homme souriant,je ne le reconnut pas tout de suite.

-Erwin: Unteroffizier! Nous ne sommes pas sur le front russe ici! Vous pouvez dormir sur vos deux oreilles, les américains n'attaqueront pas cette nuit, comme nous ils sont un endroit pour dormir, hihi!!

Je me releva un peu et cala mon dos sur la tranchée,puis regardant l'homme de bié,je reconnut l'Oberfeldwebel des Stugs,qui me demandait comment je m'appelait.
Toujours le regardant,je placa une clope au coin des lèvres et l'alluma,a la lueur de la cigarette,ma plus grosse balafre rougissait.
Je rendit le sourire a l'Oberfeldwebel en lui tendant une clope.

-Alfred:Salutations Oberfeld',répondis-je sans me soucier qu'il étais mon supérieur,je le salua juste a la manière des officiers,ce qui était une marque d'irrespect.Je suis l'unteroffizier Alfred Kalb,et même si les sibériens ne risquent pas d'arriver,les angliches sont pas des tendres,les polaks nous haissent,et les canadiens sont réputés être les pires.
De plus,dans les débarqués,il y a des bridés ramenés du Pacifique et les ricains ont un très bonne équipement.
Il y aura certainement pas mal de bleusailles qui se feront massacrés,mais les vétérans du Pacifique ou de l'Afrique,vont nous en faire voir de toutes les couleurs!
Z'en ont marre des jungles et ils ont maint'nant pleins de katanas,y veulent nos casques lourds,des drapeaux et nos camouflages maint'nant.
D'ailleurs,on sait si y z'ont débarqués ces foutus salopards?

MJ

Alors que nos deux compères bavadraient , un tir se fit entendre et la fenetre fut tapissée de sang ...
Un soldat hurla

Sniper !! A couv ...

La cervelle du soldat explosa et un Lieutenant saisis le téléphone

Ici le Lieutenant Grozi , nous sommes attaqués et nous ...

Une balle déchiqueta la gorge du pauvre Italien ...

Erwin regardait se curieux personne, on aurait pue le croire pour un fermier, Mais Erwin le trouvait sympa. Avant que Oberfeldwebel est pue répondre a la question du Unteroffizier des coups de feu se firent endentent. Le Prussien se mit à terre, il regarda Alfred dans les yeux et lui répondit le sourire au lèvres:

- Petit conversation, on en reparlera après petit fermier! Bonne merde.

Il se leva et couru à toutes jambes en directions de ses panzers, Il grampa dans le sien et prit son casque:

- "12eme Compagnie au rapport!!! Préparez-vous au combat messieurs!! Hourra!!!! "

Et en coeur, ces chefs de char répondirent:

- "Jawohl Heer Kommandant!! Hourra!!!!"

L'Oberfeldwebel allait répondre quand des tirs commenca et que des radios dans les blindés nous firent comprendre que des snipers étaient présent.
Il se jeta a terre avec le sourire aux lèvres.
J'attrapait rapidement mon Kar et vérifia rapidement l'extérieur.

-Erwin:Petit conversation, on en reparlera après petit fermier! Bonne merde.

-Alfred:Pas un fermier moi,un putain de vétéran,c'est tout!
Et fais gaffe dans ton cercueil ambulant,c'est pas les plus résistants.

Je tourna ensuite mon regard dans les directions des quatres autres trous,ou étaient positionnés deux hommes par planque.
Je leur fit signe de se terrer.

-Alfred:Planquez-vous!Serre a rien de tirer,on voit rien et ils nous auront sans qu'on les voit!
Vérifiez de temps en temps que ca chie pas trop en bas,faut que la MG serve de point de couverture au type d'en bas.

[ici, je ne serai que Feldwebel, et non pas encore Leutnant]

-- Une chance que le général nous a envoyés ici que pour confirmer que c'était une diversion. Sinon, il n'aurait jamais voulu qu'on vienne s'amuser dans le coin!

J'étais, avec les 4 hommes que j'avait sous mes ordres, à ce moment-là dans une maison, au coeur du village. Les fenetres étaient ouverte pour profiter de la fraîcheur du soir.

-- Au moins, nous, on peut dormir dans une maison, et pas par terre.

-- Mais ce seront eux qui vont avoir la visite en premier, nous on va devoir attendre en...

Alerte! Sniper!

Tout les hommes s'écartèrent des fenetres en même temps

--Sa y est, sa a commencer. Venez, on va leur montrer ce qu'on sait faire.

Les 5 hommes sortirent ensmble et, tout en restant le plus possible dans les zones d'ombres, ils se rendirent auprès du premier officier qu'ils appreçurent.

-- Que ce passe-t-il? Où sont les tireurs? Il n'y a aucun coup de feu ici

--La 12e Stug est sous le feu juste a coté de la ville. Les américains arrivent!

-- Enfin! On y va. Klaus, en tête, Kriss, sur la gauche. Au pas de course, et en silence.

Le groupe arrivèrent jusqu'au campement, sans jamais rencontrer d'adversaire. Des coups de feu se faisait entendre par à-coup, mais ils provenaient tous de l'autre côté du camp.

-- Rester derrière, je vais aux nouvelles. Kriss, Klaus, commencez a vous préparer : je crois que vous allez bientôt faire une promenade dans le noir.

Je continua donc seul, courant d'abri en zone d'ombre, jusqu'à ce que atteingne une série de trou creusé devant les blindés, dans lesquels étaient planqués des hommes de l'infanterie

-- Hello! Edouard "Der Schütze". Vous avez besoin d'un coup de main?

Les tireurs ennemis faisaient leur besogne et des hommes tombaient.
Je vis quelques hommes du peloton tomber,heureusement,pas de ma section.
Ca bougeais en ville,des coups de feu étaient arrivé a leurs oreilles,et les tirs avaient commencés par la-bas,mais maintenant,c'était nous qu'ils visaient,surement les équipages de panzers qui les intéressaient.

Tout a coup,des types arrivèrent dans nos trous.
Un sauta a mes côtés,je sortit mon Nagan et lui ficha sous les narines en lui sautant sur le ventre.

-Edouard:Hello! Edouard "Der Schütze". Vous avez besoin d'un coup de main?

Je m'enlevai de lui et rengea mon Nagan,puis reprenant mon Kar,je me replaca dans ma position en lui réondant.

-Alfred:Désolé pour la réaction.Z'êtes tireur nan?Vous pourrez peut-etre faire comme eux,qu'ils se barrent,on peut rien faire avec nos armes d'infanteries,ils sont planqués et il fait nuit.
Mais les tirs viennent peut-etre du bois la-bas,il est pas surveillé.
M'enfin,je suis pas sur,y sont pas cons,ils utilisent pas des tracantes.
A vous de juger...heu...Feld'!
Au fait moi c'est Unteroffizier Kalb,mais surnommé le légionnaire!

Je vérifia une nouvelle fois devant moi,en sortant rapidement mais surement la tête.
Je ne voyait toujours rien.
J'espérait que quelqu'un tirerait une fusée,pour qu'on puisse enfin juger la situation.

Désolé pour la réaction.Z'êtes tireur nan?Vous pourrez peut-etre faire comme eux,qu'ils se barrent,on peut rien faire avec nos armes d'infanteries,ils sont planqués et il fait nuit.
Mais les tirs viennent peut-etre du bois la-bas,il est pas surveillé.
M'enfin,je suis pas sur,y sont pas cons,ils utilisent pas des tracantes.
A vous de juger...heu...Feld'!
Au fait moi c'est Unteroffizier Kalb,mais surnommé le légionnaire!

Pas de trouble, c’était a moi de prévenir avant.
Dans le bois, hein? Sa sera pas long, je reviens.

Je parti sur ces belles paroles rejoindre les autres hommes. En m’avançant un peu trop près d’un spot lumineux, je senti une balle me frôler la taille, alors je me lança de l’autre coté. Plus de peur que de mal, une chance.

Klaus, Kriss, j’ai une mission pour vous. Vous voyez ce bois là? Ils croient que les tirs viennent de par là. A vous d’y aller. Une fois rendu, trouver quelque chose pour faire de la lumière. Mais faites gaffe, les gars sont extrêmement nerveux à soir. Et si on tire une fusée éclairante, vous vous planquez et vous essayez de tirer de là. Fred et moi on va vous couvrir d’ici. Hans, fait passer le mot a ceux qui tirent que deux des notre vont dans le bois, qu’ils fassent attention si possible. Apres, tu ira voir la radio ou l'artillerie, qu'ils tirent une fusée. Mais donne quelque chose comme 5 minute a Klaus et Kriss pour qu'ils atteigne les bois avant de tirer.

Fred et moi, on partirent se chercher des endroit d’où on pourrait voir les 2 K arriver a destination. Il se choisi un cabanon d’où la vue était belle, et je pris un fossé quelques mètres sur sa droite. Les quelques instants qui nous fallu pour prendre place nous suffi à perdre la trace des 2 autres hommes, tellement ils étaient efficace à se déplacer dans le noir. Je réussi enfin à retrouver Kriss, et a partir de ce moment là, je peut voir le chemin qu’il allaient emprunter. Commença alors l’angoissante recherche de cible ennemi.

Erwin était dans son stug, il était en communication avec le Hauptmann Kert:

- "Heer Hauptmann! Troupe ennemie dans les bois. D'après se que j'ai pue voir, se son des paras, ils ne doivent pas avoir d'arme lourde. J'ai vue des hommes de votre compagnie partir en direction des bois. Mes stug sont pret a ouvrit le feu et a détruire se petit bois, les ennemies ne seront pas a l'abri de mes obus de 75 Heer Hauptmann. Quels sont mes ordres ?"

- "Oberfeldwebel, Ne tirait pas sans avoir reçu mon ordre, il faut que vous attendez qu'il est de la lumière dans ses bois pour pouvoir détruire les positions ennemies. Attendez!! "

Erwin parla a sa compagnie:

- Soyez pret a ouvrit le feu à mon signale, on va enflammé ses bois!

Sa faisait déjà 5 minutes qu'ils étaient partis, et toujours aucun signe de vie de leur part. Les coups de feu continuaient d'être tirés depuis la forêt. J'avais même réussi a repéré un des alliés, mais je n'avais eu aucun moyen de savoir si je l'avais toucher ou pas.
Soudainement, dans le coin gauche, une petite lueur rougeatre apparu. Elle grossi rapidement, jusqu'à ce que les flammes apparurent.
*Tiens, on dirait qu'ils ont enfin trouvé comment éclairer le bois *
Assez rapidement, des silouettes commencàrent à apparaître dans les bois. Je pris soin de ne pas tirer sur la silouette la plus proche des flammes. Mais les autres par contre. Je pris soin de faire une prière à chaque coup pour ce que ne soit pas l'un des deux autres. Je ne fut pas le seul a profiter du début d'incendie pour voir sur qui tirer. C'està ce moment que l'artillerie choisi de tirer sa fussée éclairante. Ils n'avaient plus de chances

Avec l'apparition des lumières, les tireurs ennemi cessèrent rapidement de tirer, ne voulant probablement pas risquer inutilement leur vie. Leur travail était accompli.
Cessez le feu!! Ils sont partis.
Des cris de joies résonnèrent un peu partout au camp. Je vis certains hommes sortir de leur cachette pour aller voir qui avait été touchés. Soudain, un autre tir retenti, et nous perdirent un autre soldat.
AUX ABRIS, ILS SONT ENCORE LÀ!
La nuit fini ainsi, sans nouveau coup de feu, mais avec tous les hommes tendus au possible. Avec le lever du jour, nous comptèrent le nombre de blessés.

Le soleil venait tout juste de se levé, le Oberfeldwebel avait éloigné ces panzers du bois, il ne voulait pas risqué de perdre un de ces chars pour rien. L'ennemie était toujours la, mais aucun tire n'avait été tiré depuis plus d'une heure. Erwin avait donné l'ordre à sa compagnie de se reposé un peu dans leur char en attendant les ordres de son supérieur direct. Le temps lui semblait long... Il décida d'appelé le Hauptmann Kert:

"Heer Hauptmann, ma compagnie a été éloigné du front comme vous m'en avez donné l'ordre. Voila plus d'une heure que mes hommes attendent votre prochain ordre... Hauptmann Kert m'attendez vous ? Hauptmann Kert!!! Non de non mais qu'eusse qui se passe!!! ? Merde!!!! "

Erwin sortit de son stug et se diriga vers son SdkFz. Le Gefreiter Tyrman était a moitié endormie quand le Oberfeldwebel arriva a hauteur du SdkFz, Tyrman sursauta et se leva aussi vite qu'il le put:

" Je ne dormais pas Oberfeldwebel, je..."

" Taisez-vous Tyrman! Je veux un contact radio avec la 4eme section de Petrik!******** Petrik?? Vous m'attendez ? Bien! Je n'arrive plus a joindre le Hauptmann Kert! Il se passe quoi en ville non de dieux! ???...."

La nuit passa,sans trop de problemes,la 4e section était tranquille,aucun mort dans le peloton de Kalb,ni dans la section entière d'ailleurs.

Pour la compagnie,il y avait eu quelques dégats,mais rien de grave,aucun ennemi signalé dans la ville,ni autour.
Le Hauptmann Kert,n'était pas a côté de la radio.
Il était avec les troupes,a attednre en première ligne l'assaut ennemi.

Un SdkFz de la 12e Stug arriva a la 4e et le pilote ne sortit se dirigeant vers le leutnant Petrik.

Celui-ci ne le laissa pas finir quand il se mit a parler du Hauptmann qui ne répondait pas.

-Petrik:Ecoutez Gefreiter,premièrement vous calmez vos ardeurs,sinon vous comprendrez rapidement,deuxièmement,le Hauptamm Kert est lui en première ligne avec ses hommes,a attendre l'arrivée de l'ennemi.
Dites a votre supérieur que vous pouvez revenir,mais vous avez le temps c'est tranquille.
Disposez de suite Gefreiter!

L'homme n'eut qu'a saluer et repartit.
Le soleil était tout de même long a se lever,et il était orange a l'horizon.
Tout a coup,profitant de la torpeur des allemands,une masse d'hommes sortit de la forêt d'ou étaient partis les tirs.
Des masses d'hommes commencèrent a surgir a l'entrée de la ville,ce que l'on pourrait appeler la première ligne justement,emplacement de Kert.

Une bonne compagnie ou deux était tout de même sur le côté de la ville,en contre-bas de la hauteur de la 4e section.

La MG42,dans le trou a droite de Kalb se mit a cracher des rafales peu efficaces.
Les Karabiners crachaient,les quelques MaschinenPistole aussi.
Les troueps ennemis avancaient en direction de la villes,toujours les deux compagnies,mais l'une des deux commenca a se planquer en contrebas,dans des fourrés et le caniveau.
Une troisième s'avance a moitié a l'extérieur du sous-bois,et commence a se déplyer pour faire un tir de couverture pour les deux compagnies.
Petrik attrapa la radio,a côté du cadavre de celui qui s'en occupait.

-Petrik:4e a la 12e Stug,assaut de masse ennemi,vous nêtes pas a côté maintenant,et ca vous prendra un peu de temps de revenir,mais foncez vers le sous-bois de cette nuit,ennermis déployés sur ce lieu.D'autres entre en ville,et une bonne compagnie compte se charger de nous,ceux la on s'en charge.Occupez-vous de ceux au sous-bois,sinon nous ne pourrons pas tenir et la ville subira aussi.
Il doit surement y avoir des ennemis vers la première ligne,ou se trouve le Hauptmann,mais ils tiendront,j'en suis sur.Terminé!

Après deux ou trois minutes,qui parurent une éternité pour les gars de la 4e,quelques tirs se mirent a surgir en contrebas,pêu efficaces.
la MG tentait,mais les deux bleus peu expérimenté en batterie ne faisait aucun dégat.

Le légionnaire sortit de son trou et courru les quelques mètres le séparant de la mitrailleuse,suivit par l'autre vétéran qui était avec lui dans son trou de combat.

-Kalb:Dégagez de la les bleus-bite!!!On s'en charge,allez dans mon trou et préparez-vous a en chier avec l'assaut des Marines bientot proche!

Alfred calla la crosse a son épaule droite,puis fit claquer la culasse,en placant sa main droite a la gachette et l'autre a la crosse,callant sa joue contre celle-ci pour viser.
Son camarade attrapa de ses mains gantées la bandoulière,tout en rapprochant un peu la caisse de celle-ci.

La,un grand "LET'S GO MARINES!HOURRA!!!" retenti,suivit d'un grand "HOURRA" al'unisson,les Marines sortirent des taillis,baionnetes au canons des M1 Garand voir des M1 Carbine.

Le légionnaire ajusta calmement et efficacement la MG42,puis il commenca a balancer des rafales courtes terriblement douloureuses.
A chaque rafale,deux-trois hommes tombèrent,et Kalb commenca a balancer de plus longues rafales de vingt a trente balles.

Les américains touchés s'affalent directement ou tombent en guelant de douleur,l'estomac troué et les intestins sortant.
Mais les amerloques réussisent a grimper la pente et vont arriver aux trous de combat,la le combat allait être rude et horrible.
Heureusement,Kalb,ainsi que les autres avaient fait un gros travail aux armes a feu,et l'ennemi aurait maintenant qu'un léger avantage de supériorité.

Erwin avait reçu l'appelle radio de Unteroffizier Kalb. Il avait directement donné l'ordre à sa compagnie de se mettre en marche. Après plusieurs heures, la 12 ème Stug compagnie arriva sur les lieux. Erwin sorta de son char et regarda dans ces jumelles. Les combats faisaient rage! L'ennemie était partout. L'Oberfeldwebel réfléchie quelques secondes puis prend sa radio.

- 4, 5 et 2 stug, Vous vous dirigez vers les sous-bois, vous attaquez les positons ennemies! Comme a l'entraînement Messieurs!! 3 et 6 stug, vous restez avec moi sur la petite colline au dessus des sous-bois. Quand l'ennemie aura vue nos Panzers, nous ouvrirons le feu vers les sous-bois. On Bombarde les positions ennemies. On y va Messieurs! Pour l'Allemagne!

Les stug de l''Oberfeldwebel se lancèrent a l'attaque. Il se dirigèrent sur les positions ennemies comme on leur avait expliqué quelques mois plutôt. Erwin et les deux autre stug se placèrent sur la colline et ouvrirent leur feu! Les ennemies qui étaient dans les sous-bois se mirent à l'abri. Quand les soldats allemands plaçaient devant les sous-bois virent les Panzers s'avançaient vers les bois, il hurlèrent de joie et foncèrent derrière les stug. Les combats furent terrible! Les soldats américains tombèrent comme des mouches. Les stugs et les hommes du Hauptamm Kert firent du bon travail. Après plusieurs heures de combats, l'ennemie nu d'autre choix de se retirait...

MJ:

Après la retraite des américains lors de la première offensive, les renforts canadiens vinrent et un support de la 11th artillery de compagne canadienne l'accompagnait. Les marines US ainsi que les canadiens reformèrent leurs formations et se préparèrent à lancer un second assaut sur les positions axes qui semblaient ne pas vouloir céder.

Après deux heures de préparation, la 23th blindé arriva avec un effectif de véhicules légers comprenant 3 jeeps armés de .50 mm, de 8 chars Stuart et de 2 chars Sherman DD. Le tout se déploya dans une colonne prête à foncer au signal de l'infanterie.

À 15h00, la 11th ouvrit le feu sous la surveillance de 8 observateur dissimuler dans les restes d'arbres et sur la colline au sud de la position allemande.

Les U.S Marines arrivèrent enfin aux premiers trous de combat de la 4e.
Mais ils furent accueillit par une salve de Karabiner qui n'eut rien a envier a celle des colons.

La les combats a la baionnette,aux poings et a la pelle commencèrent.Les terribles corps a corps dans la fureur,la souffrance et le sang.

Kalb et son camarade virent ca de suite et,les Marines encore visible en-dehors de la mélée passèrent sous les rafales de la MG du petit légionnaire.
Celui-ci canardait en chantonnant entre ses dents "Viens douce mort,viens",un sourire de dément et des yeux froids encrés sur un visage terriblement abimés d'un vétéran.

Après cela,voyant la vingtaine de camarades galérer dans la mélée,Les deux gars attrapèrent leur Kar98,placèrent les baionnettes,prenant soin de prendre une autre arme de corps a corps par sureté.
Ils se levèrent devant leurs camarades encore dans les trous du haut,tentant de tirer les Marines reconnaissablent dans la mélée.
Ceux-ci a la vue du légionnaire et de l'autre suivirent le pas.

Ils chargèrent,biaonnettes luisantes aux bouts des canons,sous le cri de guerre de Alfred Kalb.
"Allah-el-Akhbar!!!Vive la Légion!!!!!!"
La le choc fut terrible,les baionnettes transpercèrent la chair américaine.
Kalb arriva en trombe et entra completement sa baionnette dans l'estomac d'un gars,qui fut emporté dans la rapidité de la course,les deux chutèrent plus loin dans un trou,ou les combats étaient tout aussi présent.

Le légionnaire se releva et attrapa sa pelle de combat aiguisée,accrochée dans son dos,arme de sureté on pourrait dire.
Il chargea un type et lui sauta dessus,lui fracassant le crane jusqu'a en faire une bouillie indistincte.
Un Marines arriva vers lui,M1 Carbine avec la baionnette au bout,il tenta de le planter,mais le baroudeur du Maroc esquiva en frappant de sa pelle sur le côté,la tenant de ses deux mains gantées,ils s'avanca sur le type,le faisant chuter en faisant pénétrer sa pelle de tranchée,aiguisée pour le combat rapprochée,en dessous du sternum du jeune Marines criant de douleur a en rendre fou n'importe quelle personne pas habituée a l'horreur de ces combats.

Les combats durèrent quelques minutes,les Marines,pourtant habitués a ces horreurs,furent décimés,cranes fracassés,estomacs transpercés,intestins sortants,gorges tranchées,poumons perforés....
Voila ce qui restait sous les yeux de la 4e section,un peu moins de quarante survivants expérimentés,voila ce qui restait des Marines et allemands tombés.

Les hommes de la 4e dégagèrent les corps des américains jusqu'en bas de la descente,pour ne subir l'odeur de la mort que le plus tard possible.
Les leurs furent enterrés rapidement,dans un trou commun.

Trois ou quatre heures passèrent quadn un tir d'artillerie tomba sur la ville ainsi que quelques obus sur la position de la 4e section.
La Kalb vit sauter les deux gars qui l'avait envoyé dans son trou,ainsi que quelques autres camarades,mais le tir fut concentré sur la ville.

Vorak était dans l'avion-cargo qui le transportait, lui, son équipe, son obusier, son canon AA, 10 autres équipes de la 514th compagnie (un total de 20 équipe + une centaine de petites, toutes petite équipe de réserve) . l'avion atterrissa, puis un camion blindé vint chercher l'équipe de Vorak. cela pris 45 minutes à mettres les deux canons dedans, le voyage dura 30 minutes, et 30 minutes supplémentaire pour sortir les canons. en sortant, Vorak alla voir l'homme qui les avait apparament appelé.

-Installer les canons, je revient tout de suite.
-êtes-vous l'Oberfeldwebel Erwin Von Botryche? Je suis l'Obergefreiter Vorak Violashen. je dirige l'équipe que vous avez voulu qu'ont envoit. quel sont les ordres?

Botryche était à coté de son Panzer, les jumelles au yeux. Il regardait les combats qui se déroulé dans la ville... Quand un Camion Blindé arriva, un soldat sortit et vient a sa rencontre... L'homme lui parla:

"êtes-vous l'Oberfeldwebel Erwin Von Botryche? Je suis l'Obergefreiter Vorak Violashen. je dirige l'équipe que vous avez voulu qu'ont envoi. quel sont les ordres?"

Erwin le regarda... Il n'aimait pas les soldats qui ne saluaient pas leur supérieur et qui parlaient sans en avoir reçu l'ordre... Mais bon nous étions en guerre, il n'avait pas de temps à perdre avec se genre de chose...
Oberfeldwebel lui répondit:

" Bonjour Obergefreiter!! Oui je suis belle et bien Oberfeldwebel Erwin Von Botryche... C'est l'état-major de la Wehrmacht qui vous a fait venir et non moi! Mais nous avons bien besoin d'aide... Je ne suis pas le chef des opérations ici... Vous devriez vous adressez au Hauptamm Kert, il vous dira ou vous placez et vous donnera vos ordres de Missions. Regardez! Voila ou son les Américains, sur toute cette ligne... Ils nous ont attaqué part la mais nous les avons repoussé... Voila plus d'une heure qu'ils s'attaquent la ville. Mais Hauptamm Kert les a déjà plusieurs fois repoussé... Je pense pas qu'ils arriveront à prendre la ville. J'ai pue apercevoir un Char de leurs coté... Mais il est caché et je ne peux risqué d'allé aidé les soldats dans la ville et ne plus défendre se secteur... Je pense que l'Hauptamm Kert aura bien besoin de votre aide pour canardé la ligne de front des Américains! "

MJ:

15h30

L'artillerie canadienne cessa son tir de barrage et l'infanterie se lança à l'attaque de la ville.

L'infanterie canadienne venu en renfort et les éléments américains restant de la première vague d'assaut foncèrent sur toute la largeur de la ville formant une masse très unie sur toute la longueur du front.

Les premiers éléments arrivèrent par surprise sur la toute première ligne défensive allemande l'écrasant sous le poid du nombre. Les canadiens s'en servirent alors pour appuyer la progression vers l'intérieur de la ville.

Les allemands n'avaient par contre pas l'intention de les laisser allé plus loin. C'est alors que la seconde ligne défensive ouvrit le feu sur les canadiens et américains.

15h50

La colonne de véhicule du 23th blindé s'élance dans la bataille pour appuyer l'avancé très difficile des troupes alliées. Elle tente d'enfoncer le flanc gauche qui se trouve près de la butte occupé par les allemands.

les Tirs d'artilleries cessèrent, et les coups de feu commencèrent. il devait trouver Hauptamm Kert dans les plus brefs délais pour aider les soldats défendant la ville!

Ou est cet Hauptamm Kert, mon Oberfeldwebel?

HJ: désolé d'aussi bref, je vous répond depuis mon PSP /HJ

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