QG de la 352e France

Mars 44

Par une belle matinée ensoleillé, en bordure d’un petit bourg, en campagne française se trouvait une mer de tentes. Au loin, on entendait les oiseaux célébrer la beauté du jour naissant, mais plus l’on s’approchait du bourg, moins le calme matinal était présent. Le camp était dans un était d’ effervescence complet. Après plusieurs mois à se détendre dans le centre de la France, la 352e avait reçu l’ordre de remonter au nord. Les soldats couraient partout pour être sur de ne rien oublier, les chenilles des transporteurs de troupes faisait créait des sillons profond dans l’herbe, et les officiers profitaient des quelques minutes qui leurs restaient dans la chaleur des couvertures. A l’extrémité est du bourg, dans un endroit loin de toute ce énervement, deux hommes parlaient.

(les échanges étaient originalement en allemand, mais seront traduit en français pour une plus grande compréhension. )

Vous allez faire une visite dans tous ces villages, vous prenez les hommes ayant la force nécessaire pour travailler, et vous nous les apportés au QG de la 716e près de Caen. N’oubliez surtout pas! Si vous rencontrer une quelque conque résistance, vous avez la permission, et le devoir, d’utiliser la force pour briser cette résistance.

Bien mon général

N’oubliez pas, vous êtes en territoire conquis, pas en Allemagne.

Oui mon général

Mais ne les endomagez pas trop, nous allons avoir besoin d'eux pour les travaux le long de la manche.

Ne vous inquietez pas mon général

Bon et bien, allez-y

Quelques jours plus tard, dans le petit village de Laval, un petit groupe d’hommes, habillés comme des soldats allemands riaient aux éclats. Près d’eux, se trouvais une dizaine de jeunes hommes, habillés en civil, attachés debout entre eux avec une chaine. Alors que l’on s’approchait, on remarquait au milieu du premier groupe la présence de deux corps féminin inanimé. Si on prenait le temps de regarder un peu mieux le second groupe, on remarquait qu’ils étaient tous conscient. Certains semblais avoir été battu et on avait le droit de se demander comment ils tenaient encore sur leurs jambes, d’autres fixait intéressement le premier groupe avec un regard meurtrier, et les autres pleuraient a chaudes larmes. Enfin, un dernier homme se tenait le dos droit, mais le regard absent. Il semblait concentrer sur quelque chose.
Soudainement, un homme sorti rapidement d’un bâtiment proche en criant:
« Le sergent arrive!! »
Il eu un moment de confusion dans le premier groupe, puis ils s’empressèrent de s’éloigner des deux femmes. A peine avaient-ils eu la chance de faire quelques pas que, venant de la droite, un nouvel homme arriva. À mesure que les membres du premier groupe réalisaient que le sergent était là, ils s’arrêtaient.

Que ce passe-il soldats!??

S’ensuivi un moment de silence, jusqu’à ce que le premier dise

Ces jeunes filles se sont évanouirent, Stabsfeldwebel.

Alors pourquoi etre parti en courant a mon arrivé?

Nous voulions aller vous chercher.

À ce moment là, le prisonnier qui n’avait pas encore réagi, celui avec le regard absent, s’écria

Vous aller payer ce que vous avez fait subir a ma sœur (en français dans le texte)

Il s’écroula a terre juste au moment où le dernier mot sortait de sa bouche. Abasourdis, les soldats restèrent figés devant la scène qui venait de se passer jusqu’à ce qu’il se releve soudainement, avec un pistolet à la main

VOUS ALLEZ PAYER dit-il en pointant son arme vers les soldats

Suite aux ravages du groupe d’élite sur les premiers villages, les résistants de Besançon tentèrent une embuscade, sans succès. Désespérés, ils firent appel au Marquis de Dijon pour les sortir du pétrin. Le commandant en second du Marquis choisi d’y envoyer un groupe d’une trentaine d’hommes sous les ordres de Paul Labaie. Comme second, il avait Napoléon Wilson, dit l’Anglais et Jacques Evenaux. L’ objectif principal de mission sera de délivrer les jeunes hommes qui ont déjà été capturés, et de les apporter de l’autre côté de la frontière Suisse, jusqu’à la ville de Bienne. Bien sûr, par mesure de sécurité, seul Paul Labaie saura quoi faire en Suisse pour identifier le contact. Voici un extrait du discourt qu’il a tenu. :

Si, après votre premier passage, les Allemands n’ont pas encore compris, vous avez l’ordre de recommencer encore et encore, aussi souvent qu’il le faudra pour qu’ils comprennent qu’ils ne peuvent pas s’en prendre ainsi aux Français. Évitez le plus possible un affrontement direct, il s’agit d’un groupe d’élite, bien mieux entrainé et armé que nous. Même une attaque par surprise des hommes de Besançon, en surnombre, n’a rien donné. Aux dernières nouvelles, ils approchaient de la ville de Laval, mais ils se sont arrêtés pour la nuit à une vingtaine de kilomètres de la ville. Vous allez donc partir immédiatement et profiter de la nuit pour vous approcher de la ville. Bonne chance. »

La route se révéla être extrêmement surveillée, surtout avec le déplacement au nord de la 352e d’infanterie au complet. Mais, par des détours incroyables, des routes cabossées et surtout deux amis très bien informés des positions des barrages militaires, les résistants arrivèrent quelques heures après le lever du soleil en vue de la ville. Seulement, les Allemands étaient déjà à l’intérieur. Paul décida de cacher les véhicules un peu plus loin, et rassembla les hommes pour donner des ordres. Son premier fut d’envoyé Jocelyn Boisvert ainsi que François Lebrun en reconnaissance pour avoir une petite idée de ce qu’il avait en face de lui, ainsi que de l’emplacement des véhicules allemands, et son deuximème fut d'envoyer les autres camoufler les camions et se préparer, la matinée allait être longue. Enfin, il se retira avec les deux autres responsables et dit :
Bon, on est sur place, Qu’est que vous suggérez qu’on fasse?

» QG de la 352e, 6 juin
» 352e division d'infanterie