Capturé.... ou pas!

- Tant pis,sont morts,faut pas jouer au con en prenant complêtement la place des ennemis comme ils l'ont fait.On prend ce qu'on a besoin et on dégage.

Kalb s'affairais a fouiller les cadavres et la tente, alors que Vorak regardais, avec un regard impassible, les dizaines de cadavres allemands. Kalb posa sa main sur son épaule. Vorak murmura:

Qu'est ce qu'ont a fait, unteroffizier? qu'est ce qu'ont a fait...

Alfred le regarda droit dans les yeux. Vorak pleurais, et sa moustache fine était pleine de morve(désolé, il falais que je la sorte xD) Alfred lui dit, d'une voix douce, mais affirmative:`

Écoute, premièrement, tu n'a rien fait, sauf ton devoir. C'est moi qui a tout fait. Deuxièmement, ce n'était pas notre erreur, c'était la leur de se faire passer pour des ennemis. Alors revient-en, sinon je le jure devant dieu, je te zigouille moi-même!

cette dernière remarque fit sourire Vorak, qui fouillais déja les corps. Il sortit un Gewehr, avec lunettes, et un Panzerschreck, la terreur des tanks, l'arme de prédilection de l'Obergefreiter!

Et, Kalb, regarder c'que j'ai dénicher!

Aucun des fallschirms n'avait pu se sortir vivant de l'attaque des 2 hommes. Le camp était maintenant désert.

La tente hôpital était en fait un véritable hôpital de campagne, suréquipée pour la région. Avec un médecin barcelona aurait sans doute été tiré d'affaire en 5mn, mais le seul médecin qui pouvait se trouver ici était mort a coup sur.

Vite, Unteroffizier, Barcelona n'en a plus pour longtemps!

En fait, Vorak était totalement en arrière. Son Panzerscherk et les roquettes le ralentissait. Avec son Gewehr, ses poches pleines de munition, sa ceinture pleine de grenade et les matricules des 26 soldats allemands morts, et bien sur le lance-roquette, il devait peser plus de 300 livres. Porta et Barcelona était venu les rejoindres, et Alfred avait déja commencé a soigner le soldat blessé.

Vous avez des connaissances en médecine, Unteroffizier?

Vorak reçu un grognement en guise de réponse.

[Je comprend pas ce que tu as écris Vorak,dans mon dernier post j'ai signalé que Porta et Barcelona était venu a nous,puis je te le rapelle,ce son mes Pnj.]

Après qu'Alfred et Porta se soient occupés de Barcelona comme ils le purent,les quatre hommes repartirent pour s'éloigner au plus vite de tout ca.
Alfred était content de voir que Vorak avait fait des trouvailles,mais celui-ci galérait avec tout son barda supplémentaire.

- Tu vas te tuer avec tout ca,passe-en nous un peu.

Alfred prit la ceinture de grenades et Porta les munitions,Alfred prit un bout du Panzerschrek pour l'aider a le transporter,tandis que Porta tirait Barcelona sur un travois fait a la va-vite.
Le jour se levait,ca allait être plus compliqué,mais les lignes allemandes ne devaient plus être très loin.

Vorak se senti soulagé de partager ses trouvailles avec ses collèges. Tout ce poid n'était pas bon pour sa jambe, qui d'ailleur était encore un peu raide. Mais Vorak avais vraiment besoin de dormir. Il entendait des voix dans la forêt. Une langue qu'il ne connaissait pas. Ce n'était pas de l'anglais. Ce devais être son imagination. Ils approchais des lignes allemandes, et ce soir, il pourra dormir une nuit complète. Vorak entendit encore ces voix. Elle se fit entendre une deuxìème fois, puis une autre voix fit <<chut!>>. Ce n'était pas son imagination. Il s'arrêta, et observa dasn la forêt. Il s'approcha... Et vit une arme être épaulé!

Kalb! Des résistant!

Vorak épaula son Gewehr alors que 2 français sortirent par la gauche, et un troisième par la droite.

Je croyais qu'ils était une armée! Alors, Unteroffizier, qu'est ce qu'ont fait?

Les français avaient des baionnëtes sur leurs fusil de chasse. En fait, ils avaient tout simplement collé des longs couteaux sur le canon. Ils faisaient mine de les piquers. Ils voulaient que les allemands se rendent.

Les allemands marchaient maintenant tous chargés,mais plus également,mais Vorak avait l'air de souffrir de sa jambe.
Alfred ne s'en soucia pas,il y avait déjà un blessé,et ce n'était pas ca qui allait arrêter un soldat.

Celui-ci avait d'ailleurs l'air méfiant,Alfred scrutait devant lui,ne se souciant pas de l'arrière,étant donné que les autres étaient la,mais Vorak avait reperé quelque chose.
Il avertit Alfred que des résistants s'approchaient avec leurs fusils,et voulaient les embrocher,du moins faisaient mine.

- Flingue les deux avec ton semi,j'me charge de l'autre.

Alfred n'attendit pas pour épauler et viser rapidement l'homme de droite,il lui décocha une cartouche dans le genou,et réarma doucement son fusil,il reépaula et balanca une seconde cartouche,mais dans l'estomac de l'homme,tandis que Vorak s'occupa des deux autres.

- Bon,on reprend,les résistants se cachent encore,c'est qu'il y a une chance pour que les Tommies ne soient pas encore par la.

Le groupe reprit sa marche en coupant a travers champ,ne voulant pas avertir d'éventuels ennemis.

- Flingue les deux avec ton semi,j'me charge de l'autre.

Vorak entendit une détonation derrière lui, et tira, sans réfléchir, sur les deux autres. Le premier se pris la balle dans le gosier, et le deuxième, trop occupé a regarder son partenaire, se pris une balle en plein torse. Il grimaca de douleur, tira en l'air, tomba a genoux, puis finalement, face contre terre.

- Bon,on reprend,les résistants se cachent encore,c'est qu'il y a une chance pour que les Tommies ne soient pas encore par la.

Le groupe reprit sa marche en coupant a travers champ,ne voulant pas avertir d'éventuels ennemis. Vorak pris un couteau sur un des fusils de chasse, et le cacha dans sa manche. Pourrais lui être utile.

M'sieur Kalb, c'est quoi des Tommies?

Vorak posa une question a Alfred tandis que le groupe marchait.

- Ce sont les anglais! Tu connais la région Vorak? Tu saurais pas ou aller?

Alfred ne savait pas trop ou aller.

Aucune idée, m'sieur. Je suggérais que l'ont suivent la route, quoiqu'ont pourrais se faire en embuscade. Quoique.... Ont pourrais rester dans la forêt, tout en longeant la route... Vous voyez, je suis un artilleur, moi! J'suis pas habituer a cette situation!

Sentant la panique s'emparer de son corp, Vorak pris de profonde inspiration, et s'assis par-terre. Il avais peur. Vraiment.

*J'ignorais que c'était possible de vivre toutes les émotions en une journée...*

Alfred écouta,c'est vrai qu'il ne paraissait pas détendu,il se posa un moment comme le fit Vorak.
Alfred était quelqu'un de dur,qui n'avait en général aucune pitié,se débarrasser de quelqu'un ne le dérangerait pas,en particulier un Sous-Officier sadique ou un SS.

Mais a ses côtés il y avait un jeune artilleur qui n'avait pas vécu autant de chose en si peu de temps,il pouvait encore comprendre ca le légionnaire.

La marche reprit et après une journée supplémentaire,refaisant régulièrement les bandages du pauvre Barcelona,les quatre allemands trouvèrent un village ou était installé un QG allemand.

- On s'en est sortit! Porta,emmène Barcelona a un médecin ou autre.Vorak,on est arrivé,va te reposer tant que tu peux.

Le légionnaire partit se signaler rapidement a l'Officier dirigeant en ce lieu,n'espérant pas avoir été consideré déserteur.

Après ce rapport,Alfred retrouva Vorak et Porta et passa la nuit du mieux qu'il put,après avoir retrouvé un équipement normal,et un Kar98.

[ Voila,j'ai posté ca pour faire avancer les choses,si ca tient toujours on continu ca dans "Assassinat",d'accord Mc?]

Ouais vous allez pouvoir continuer là bas.

RP terminé donc