RAF Westerham

Un hurricane dernière version faisait des tours de piste en attendant l'autorisation de se poser. Quand il l'a reçu l'autorisation, je me mis en position et me posai puis allai mettre mon appareil à l'endroit donné par l'homme de piste. Pendant ce temps, deux gars de la RAF en tenue de vol s'apporochaient à grand pas. Il me saluèrent et je leur rendait leur salut :

-Major Colin : Lieutenant.

-Lieutenant Meyer : Lieutenant.

-Major, sergent.

Major : Lieutenant, bienvenue parmi nous, vos effets personnels sont dans le baraquement des officiers

-Merci Major

Major : venez avec moi, on va discuter un peu de vos "talents"

-Bien Sir

Pendant ce temps, le sergent remarqua deux petites croix noires sur le capôt moteur de l'hurricane. Il disparait de ma vue alors que moi et le major allons vers son bureau. En entrant, je vis plusieurs décorations sur son bureau dont celle dessernée aux as. Le major s'assied à son bureau et prend un dossier qu'il ouvre.

Major : Je vois que vous avez fait une grande partie de la bataille d'Angleterre et que vous avez eu un bf109 et un heinkel, c'est bon pour l'escadrille, la plupart sont des nouveaux, ils sont compétents mais n'ont jamais fait un combat aérien pour le moment. Vous commanderez la 3e section de l'escadrille, la section jaune.

-Bien Sir, où sont les pilotes jaunes? J'aimerais els voir rapidement

Major : ils sont aux hangars normalement, ils bichonnent leurs appareils tant qu'ils le peuvent. Rompez

-Bien Sir

Je sortis du bureau puis partis pour les hangars où mon appareil devrait avoir été ammené.

4 juin 44 :

Je trouvais tous les gars de l'escadrille et on fit connaissance, mon numéro 2 aussi à fait la bataille d'Angleterre, pas une seule victoire. Mes numéros 3 et 4 sont deux nouveaux, sortis il y a 3 semaines de l'entrainement, ça promet. Après els présentations, nous sommes tous allés boire une bière et mon chef d'escadrille et le chef d'escadron vinrent auprès de nous, peut-être des nouvelles fraiche...

major colin : d'après le général de la base, on va être envoyés canarder des plages, je sais que vous êtes tous impatient d'aller gouter du fritz, mais pour le moment, on attend. Lieutenant Grillot, vous devriez aller voler avec vos gars pour vous familiariser.

Commandant Dumont : Bon mon escadrille, tous aux hangars, vole en formation aujourd'hui. Section rouge au centre, bleu à droite, jaune à gauche.

-Bien Sir. Allez section, aux appareils.

Nous sommes ensuite allés sur le champs où les appareils étaient déja ammenés. Je fis le tour de mon appareil et je carressai mes canons avant d'aller m'installer. Je pensais avec nostalgie à mes mitrailleuses, ces mitrailleuses avec lesquelles javais eu mes deux victoires, le 109 eu l'aile droite coupée et le heinkel se cracha dans la Manche après qu'une de mes salves enflama son moteur gauche, remplacées par ces magnifique canons. Je mis le moteur en route, je décollais après avoir préparé le décollage avec ma vérière pas entièrement fermée. Je montai à 3000pieds et je fermai la verrière au moment où je rejoignis l'escadrille et où ma section se mis en formation, mon numéro 2 à ma gauche, mon 3 à droite et mon 4 derrière un peu au dessus. On vola pendant près de 30 minutes puis on se posa à la base. Ensuite, je pris ma section à part et je leur donnai mes directives lors des combats et des patrouilles :

-Avec moi, les numéro 2 et 3 à peine derrière moi, faut que je vous voye facilement et le numéro 4, met toi bien haut, d'une, ça me permet de t'avoir dans ma glace et de deux, ça te permet de surveiller le ciel avec plus de chance de repérer les allemands. Ensuite, toujours surveiller le soleil, les fritzs aiment attaquer avec le soleil dans le dosn je l'ai remarqué lors de la bataille d'Angleterre. Enfin, le refrain habituel, on vole pas plus de 30secondes en ligne droite lors des combats aérien et ne videz pas vos munitions sur un fritz, tirez que si vous êtes sur de toucher, ne vous retrouvez pas à court au milieu du combat. Sur ce, nous on y retourne dès que les avions auront reçu le carbur.

Nous fîmes encore 4heures de vol et, finalement, notre formation me plut et je fis arrêter l'entrainement :

-Bravo messieurs, je suis fier de vous, on est fin prêt, on rentre tous au bercail

Nous nous posîmes et je leur dis d'aller se reposer car demain, ce serait une dur journée.

5 juin 44 :

J'ai été réveillé à 6h par un gars de l'escadrille, petit déjeuner puis réunion du groupe.
En me préparant, je me suis dis :

*est ce que c'est pour le Jour-J dont toute la base a entendu parlé ou est-ce pour faire de l'escorte comme le 616e escadron, il parrait qu'ils ont escorté 70 B-17 ! bah, je verrais bien*

Je pris un rapide petit déjeuner puis me rendi à la réunion. En arrivant, je remarquai que l'on m'attendait pour commencer.

-Exusez-moi, j'ai reçu la convoquation il y a 20minutes.

Je m'assis après à côté de mon numéro 2 et j'écoutai les supérieurs. Certains pilotes eurent une permission de 10 jours. *la chance, à part mon trajet ici, j'ai pas eu de pose depuis bien longtemps*. Mon numéro 2 eu droit à cette permission.*Il pourra enfin souffler, 4 mois sans arrêt, ça use*. La réunion pris fin avec des appladissements pour les heureux qui ont eu les permissions. Moi et ma section somme allés vers nos appareils dans un hangars, ont avaient reçu l'autorisation de faire un dessin sur le capeau moteur de nos petits bijoux. On se mis au travail, on avait pas d'entrainement aujourd'hui, un autre escadron en escorte.*Quand est ce qu'on aura nous aussi de l'escorte à faire ??*.Je dessinai un léopard qui dévore un aigle. Quand nous eûmes fini nos décorations, nous allames au self pour prendre un repas. Alors que nous mangions, le capitaine de l'escadrille veint prévenir le sergent Martinet (mon numéro2) que sa permission, comme toutes les autres, avait été annulée.

-capitaine : sergent, votre permission est annulée, demain réveil à 3 heure du matin et briefing à 4 heure. le capitaine baissa le ton, jour-j demain, prenez du repos cette nuit

Nous passâmes l'après-midi a se mettre en condition, les deux nouveaux ont fait leur testament après avoir reçu ce conseil d'un gars d'un autre groupe de l'escadron. Je les croisai en me rendant dans le baraquement des officiers pour discuter avec les autres chef de section du groupe. Ils avaient l'air d'avoir vomi et d'avoir peur pour le lendemain.

*Les pauvres, sorti il y a 3 semaines de l'école et déja en plein dans une mission qui va être dangereuse, si elle a lieu. Bah, le sergent s'en occupera mieux que moi, je suis pas bon pour el réconfort.*

J'entrai dans le baraquement et m'approcha du groupe d'officiers, en pleine conversation.

-un lieutenant : Enfin le Jour-J, j'ai hate d'y être, on va enfin pouvoir manger du boche

-moi : vous ne devriez pas lieutenant. contrairement à vous, j'en ai mangé du boche comme vous dites et c'est pas drole. En plus, il parrait qu'ils ont éparpillé leurs escadrilles et si c'est le cas, on en aura pas beaucoup du boche

-un autre lieutenant : Faut déja que le Jour-J soit demain, ça va bientôt faire une semaine qu'ils le reportent d'après un pilote d'un autre escadron, ils ont été dans le même cas que nous trois jours de suite, et trois jours de suite, ça a été annulé.

-moi : on verra bien, mais maintenant, faudrait essayer de dormir. On en aura besoin si ça a bien lieu. Personnellement, j'ai dit à ma section de se coucher tôt, vers 21 heure au plus tard, surtout mes numéro 3 et 4, ils sont nouveau et ça va être leur batême du feu. Sur ce, bonne nuit tous

J'allai ensuite me coucher en pensant à ce que serait la journée du lendemain.