Complexe de Recherches de d'Ingénieurie de Baden-Baden, 6 Juin 1944.
Dans une des salles de test, une table avec une série de gilets pare-balles développés par les Alliés principalement et leurs dossiers.
Axel arriva dans la salle, où deux soldats SS attendaient. Ils firent le salut nazi à son arrivée, et il répondit. Ensuite, ils se mirent devant la porte et ils ne bougèrent plus. Son assistant scientifique était là, lui aussi.
Le premier gilet pare-balles était un vêtement rembourés de conton, utilisé par les criminels dans les années 20 à 30. Qualité : il bloque les tirs de .22 Long Rifle, de .25 S&W .32 Long, de .380 ACP et de .45 ACP. Défaut : il ne bloque pas les tirs de .357 Magnum. Donc, ne peut pas être utilisé, mais c'est une bonne idée.
Le deuxième était un gilet pare-balles anglais, développé pour les pilotes de la RAF. Qualité : ils peuvent arrêter les Shrapnels. Défaut : ils ne peuvent pas arrêter les balles. Le gilet pare-balle était fait de plaques de manganèse insérées dans une veste de nylon balistique. Elle avait été développé par la firme Dupont.
Le troisième gilet pare-balles était d'origine russe, nom Stalynoi Nagrudnik-42. Qualité : arrête les balles de MP 40 tirés à 100-125 mètres. Défauts : trop grosse pour être utilisé par l'infanterie et la 7.92x57mm passe au travers. Ce gilet pare-balles était fait de deux plaques d'acier pressés d'une épaisseur de 2mm pour un poids de 3,5 kilos.
La première annalyse permit à Axel de faire une première conclusion : un gilet pare-balles est peut être utilisable pour l'Armée Allemande. Mais le projet allait être long.
Une équipe de 6 scientifiques et ingénieurs se lancèrent sur le projet dès l'après-midi, aidés par Axel.