Juno, secteur NAN divison White

(Je m'incruste...)

Quel soulagement d'être sortit vivant de Juno. Je ne savais pas que ce n'était le début de mes ennuies. Lee Enfield en main nous étions quize en patrouille pour repéré les positions Allemandes. Sous le commandement du Sergent Hamel. Nous avançions d'un pas rapide dans cette étendu de forêt humide. On trouvait régulièrement des parachutistes Américains ou Britannique qui nous disaient que les Allemands étaient plus à l'ouest de notre position. Rapidement on entendit avec plus de force le grondement des canons de 88 Allemand. Je serrait mon arme pour faire évaquer le stress, un silence de mort, seulement troublé par les tirs irréguliers des canons ennemis.

Hamel: Va vraiment falloir s'activer ici'te, on ne perd pas de terrain et on ne ce retranche pas, on avance et on leurs opposes une pression constante pour les faires paniquers et les désorientés, Tremblay avec Lemaire vous aller faire un tir de suppréssion sur la première position, Plante, Rousseau, Corriveau, Chayer et Rogers vous les prenez par le flan gauche tous les autres avec moi au flan droit.

Tremblay et Lemaire installait la BREN en hauteur sur une sorte de tertre bien buissoneux qui donnait un champ de tir sur les positions Allemandes. Moi, je vérifiais mon chargeur et je remerciais ce reflexe car j'allais charger sans aucune balle, alors je mettais un chargeur et plaçais m'a baïonette sur le canon de mon Enfield comme tous mes compatriotes.

Hamel: Corriveau et Plante, jettez une grenade le plus près des Allemands. Vous les mitrailleurs, quand les grenades exploses vous faîtes feu et on charge... prêt, allez-y.

Je dégoupillais une grenade et regardais avec intensité le jeune Allemand qui tenait un obus et qui était en train de la plaçer dans la chambre du canon.. car il mourra bientôt...

(Hans, je te laisse désider si cette attaque marche comme sur des roulettes ou finit en un véritable bain de sang pour nous.)

[ HRP ] J'aurais aimé que tu me MP avant de " t'incruster " comme tu dis mais bon c'est pas trop grave. Je valide ton entrée dans le RP (un peut mort sur les bords).

MJ

Les grenades volèrent et explosèrent dans les emplacements des pièces d'artillerie.
Une caisse de munitions de 105 mm prêt d'un obusier explosa également projetant des morceaux d'allemands et de métal partout.
Le BREN crépita violemment fauchant les quelques servants qui avaient survécut.
Sauf que la charge ne put se faire car les canons étaient protégés tout de même.
Un mortier solitaire caché derrière une bâtisse pilonna la position Allié pendant qu'un bitube de 20mm AA et un couple de MGs clouant Simon et ses camarades sur place.
Impossible d'avancer sans se faire hacher menu.
Un des homme tenta quelque chose : armé de son courage et d'une paire de grenades, il se leva et les envoya sur le 20 mm.
Trop court.
Les grenades explosèrent et le valeureux soldat fini en charpie.
Le BREN était dans une bonne position pour arroser le 20 mm mais cela le dévoilerait aux MGs ...

Quelle chance! Corriveau m'avait tiré vers une sorte de tertre herbeux. Nous n'étions que huit, mais il ne fallait pas s'enraciner sinon, ils nous contourneraient et nous serions faient comme des rats. Je regardais le regard livide le crâne éclaté du sergent Hamel. La Brent ouvrit le feu sur les servents du bitubes puis ce replièrent derrière une haie. Les MG's ouvrient le feu sur l'ancienne position de la Brent et ce fut l'occasion rêvé.

- Maintenant! Criai-je!

Les Canadiens étaient réputés pour leurs charges, à cause de leurs réussitent durant la Grande Guerre. Baïonnette aux canons ils chargèrent pour ce réfugier derrière les canons en hurlant comme des sauvages. Les MG's n'en furent pas surpris, mais les regards fous des Canadiens en auraient faient fuirs plus d'un. Protégé par un canon de 150mm les Canadiens s'organisaient sous le feu des mitrailleurs qui les tenaient cloués sur leurs positions.

- Plus de grenades, vas falloir bouger vite et sans relâchement. La Brent va vraiment nous servir aujourd'hui.

Je voyaus les deux mitrailleurs entrain de contournés les Allemands pour les avoirs sur le flan. Il fallait les distrèrent un maximum.

Corriveau: Fumigène ?

Il avait lu dans mes pensés. Je déboupillais une grenade fumigène et la balançait devant la position des MG's. Je me levais et chargeais avec mes compagnons, les mitrailleurs Allemand affolés envoyèrent des salves meurtrières qui fauchèrent deux de mes hommes, plus que 6 à courir vers les Allemands et 2 courageux mitrailleurs qui les contournaient pour les prendres en tenailles.

[Je crois que je puis finir ce RP au moins et donner un coup de main à un nouveau devrait faire du bien ]

André comprit que son interlocuteur n’allait pas prendre ses paroles au sérieux même s’il s’agissait de véritables informations. Après tout, André ne voulait pas réellement faire cette guerre, comme tout homme ayant quelque peu des sentiments. Quel homme sensé irait en tué un autre pour le simple plaisir de le voir souffrir? Un sourire lui parut sur les lèvres quand il revint à pensé qu’il s’agissait après tout d’un officier de la Waffen SS.

Il regarda l’officier allemand maintenant adossé sur le mur avec un regard témoignant sa sincérité mais un évènement opportun arriva. Les canons de 88mm explosèrent pour une raison inconnue suivie de nombreux coups de fusil. André remarqua le son caractéristique qu’émettait le fusil-mitrailleur Bren.

*Des Canadiens, pensa-t’il! Il était temps* En effet, sa section n’avait été envoyé qu’en reconnaissance. L’attaque était prévue d’une manière ou d’une n’autres car le QG avait besoin qu’on neutralise ses canons-là au plus vite. Voilà plus de deux heure minimum qu’il était parti avec ses valeureux camarades dans ce foutu guet-append.

Des images du combat lui revinrent en mémoire tel un film en accéléré : la camaraderie dans les champs, le cercle dans le sol, la mort du sergent Tremblay, la vaine tentative de replie. Un vague sentiment de honte et de culpabilité le prit tandis que son estomac le faisait souffrir. Il venait de boire du vin et manger de la vraie nourriture alors que ses frères d’armes bouffaient les pissenlits.

Le chaos qui se créa dehors sembla avoir fait oublier aux germains l’existence de leur captif. L’autre prisonniers ne semblait pas en état de combattre mais André semblait suffisamment d’attaque pour maitriser les quatre hommes dans la salle s’il parvenait à prendre en otage l’officier. S’il parvenait même à capturer l’officier, cela pourrait grandement venger la mort de ses camarades.

C’est avec une grande détermination et l’énergie surnaturel que les canadiens ont dans le désespoir qu’André lança au visage de son interlocuteur son verre de vin tandis qu’il fonça sur l’arme de poing de ce derniers pour la pointé sur sa tempe. S’il ne parvenait pas, s’en était fini de lui mais dans le cas contraire, sa vie pourrait être sauvé ainsi que celles des troupes alliées combattant autour du bâtiment et ses frères seraient vengé.