Opération Samwest

Je me décide à ouvrir la trappe et à entrer dans la maison. J'arrive donc dans le hall. Un cri de stupeur accompagne ma sortie du sous-sol. Je regarde autour de moi. La petite famille est rassemblée dans le salon derrière moi. Je me tourne pour faire face à des expressions de surprise mélangées à la peur. Je fais signe aux autres de monter, puis je vais voir à la fenêtre les postions des allemands. D'ici, je peux voir les troupes de l'Axe qui ont prit position dans le village, et à droite les résistants, essayant tant bien que mal de faire face aux tirs automatiques. Je me décide à sortir. J'arrive dehors, un peu à l'écart des tirs. D'ici je peux effectivement repérer les postions ennemies.

Soudain me vient un éclair de génie : prendre la radio et donner aux chars d'assaut les positions ennemies. Je prends celle-ci des mains de Britton, et je demande un des chefs de char improvisés. Je donne deux positions. L'homme les repère et me le signal, puis j'entends un premier tir. L'obus s'abat sur la position d'une MG42, détruisant au passage une grange où les boshs abritaient des munitions. Le second coup part pour envoyer en l'air une position de mortier. Ce n'était pas celle que j'avais donné mais c'était déjà ça de prit. Je donne encore une position au chef de char, mais cette fosi aucune réponse. Je rappelle, toujours rien.

MJ

Le R35 déboula à pleine vitesse et chargea la position allemande . Il était criblé d'éclats mais faisait feu comme si le sort de la guerre dépendait de lui .
Les soldats teutons furent promptement massacrés par la mitrailleuse Reibel de l'engin et son 37 mm SA 38 fit exploser le Nebelwerfer .

Un canon de DCA prit alors le char pour cible . Le Flak Ziwling de 20 mm arrosa la tourelle du blindé . Mais les obus ricochèrent sur l'épais blindage de la tourelle ... qui expédia rapidement un obus de 37 mm dans l'affut anti aérien .

Les résistants arrivèrent , groupés et ordonnés . Ils donnèrent l'assaut à la position qui fut neutralisée après quelques pertes dans les FFI .
Michael était toujours dans la maison avec ses hommes quand le R 35 explosa . L'obus qui l'avait eu atterrit dans la maison derrière : il avait été traversé !!

C'est alors que le calme plat arriva . Plus un bruit ne se fit entendre , les résistants avaient disparus .
Soudain , un Panther arriva sur la place et il s'arrêta . Sa tourelle inspectait les abords lorsque soudain ...

VIVE LA FRAAAAAAAAAAAAAAAAAANCE !!!!!!!!

Un résistant sortit d'on ne sait où et courut vers le char . L'équipage dût être stupéfait car l'homme ne fut pas abattu . Il se coucha derrière le char et rampa dessous .
Alors , une terrible explosion déchira le blindé . Le FFI s'était sacrifié pour détruire ce char .

Les FFI sortirent de leurs positions et s'approchèrent lentement de la carcasse du Panther . Le Capitaine fit un signe de croix et se retourna .

Allé !! C'est pas fini !!

Je sortais de la maison rapidement pour soutenir les FFI. Les tirs étaient nombreux et j'eus peine à retrouver le capitaine dans tout ce bordel.

"Capitaine ! Vos hommes ne sont pas entraînés ! Si ils ne restent pas à couvert ils vont se faire décimer !"

Il n'avait pas l'air de m'écouter, mais sous les tirs, je m'en souciais peu et, aussi égoïste que soit cette attitude, j'essayais de sauver ma peau, bien que j'eus tenté de raisonner quelques résistants, apparemment complètement sourds à mes mots. Je n'insistais pas et je me mettais à couvert dans un buisson, avec une bonne vue sur les positions des schleus. Je place ma Sten et je tire régulièrement sur les boshs, parfois en tuant, parfois en blessant. L'un d'eux m'intéressa tout particulièrement. il semblait donner des ordres aux autres. d'ici je ne voyais pas ses galons mais je me doutais qu'il était officier. J'attends qu'il s'arrête et je tire. Il s'écroule, touché au torse. L'homme à côté de lui n'a pas le temps de comprendre ce qui lui arrive que déjà il rejoint son supérieur. Un autre tir vient se loger dans le crâne du deuxième servant de la batterie anti-aérienne.

MJ

N'écoutant que leur courage, les allemands prirent leurs jambes à leur cou et s'enfuirent dans le désordre le plus chaotique.
Les résistants se regroupèrent, récupérèrent des munitions sur les cadavres et s'avancèrent vers le bosquet fortifié de Carlson.
La moitié était en vie par rapport à leur nombre du départ.

Sortez de là le militaire !! On a une ville à libérer.

Les hommes hurlèrent de joie et de défit envers les teutons restant et se mirent en marche.
Des bruits de fusillade retentissaient un peut partout et les allemands totalement débordés se regroupèrent dans le Sud Est de la ville pour former un périmètre impénétrable ... du moins en théorie.

Allez hop ! C'est partit ! Je sors d'entre les ronces, qui d'ailleurs m'ont déchiré une de mes sacoches dans laquelle j'avais quelques réserves de nourriture. Je me retrouve face à des résistants joyeux malgré les pertes. Nous avançons maintenant, prudemment tout de même, entre les maisons et les bâtisses du village de Saint Servais. Je suis stupéfié par l'effet qu'un seul tir a produit sur les boshs. Mais, bien vite, je retire ce que j'ai dis. Au détour d'une rue, des tirs de mitrailleuses nous clouent sur place.

"MG42 ! A couvert !"

Je me plaque contre le mur. Impossible d'avancer sans être tué. Mais on a pas le choix. Il faut passer de l'autre côté. Mais nous sommes dans un village. Il doit y avoir d'autres rues. Je ne pose pas de questions. Je retourne en arrière, suivis de mes deux collègues. Je prends la première rue du trottoir en face. Puis, je tente de me repérer dans le dédale de petites ruelles. J'arrive enfin sur l'axe où je me trouvais tout à l'heure, mais en face des résistants. Je sourie et je leur fait signe de se préparer à avancer.

MJ

Les résistants étaient regroupés autour d'un tas d'armes de prise et s'y approvisionnaient.
Certains prirent même un Panzerfaust.

Le capitaine vit Carlson est ses hommes arriver.

Du nouveau caporal ?

Entendant d'autres tirs de mitrailleuse, il leva la tête.

Ça a l'air de castagner pas loin.

Les résistants une fois réarmés se positionnèrent un peut partout.
Suivant les indications de Carlson, ils avancèrent vers la place de l'église pour contourner le nid de mitrailleuse ennemi.
L'hôtel du village état à côté de l'église qui n'avait pas souffert des combats.
Soudain, un résistant vu foudroyé par un tir. Un autre suivit rapidement et c'est bientôt quatre résistants qui furent abattus par on ne sait qui ...

Cette fois il faut faire quelque chose. Un cinquième tir manque un résistant qui courait. Je ne parviens pas à trouver la provenance du tir. Mais il provient d'une hauteur, c'est certain, vu qu'il a ricoché sur les pavés de la place l'église. J'observe les différentes maisons. Le peu de fenêtres encore en place aux étages des différentes maisons n'abritent personne. Les nombreuses ruines qui se situent en hauteur ne donnent rien non plus. Un autre tir me force à m'abriter. Il est passé au raz de mon oreille. Un tireur doué, mais pas encore assez pour m'avoir. Je ressors de ma cachette et je cours vers l'une des ruines à ma gauche. Un tir me procure une montée d'adrénaline en fusant juste avant ma hanche. Je saute sur les pierres, faisant voler la poussière. Je rampe contre le mur et, un nœud aux tripes, je sors le plus discrètement possible ma tête pour repérer le sniper. Un tir me fige sur place. J'ose à peine bouger. Mais je me remets promptement à l'abri. A toute allure, je pique un sprint à la sortie de ma cachette, pour me retrouver par terre, glissant vers les résistants. Je me plaque contre le mur, et je me relève, tremblant de tous mes membres.

C'est la première fois que j'ai à affronter un tireur embusqué. On a eu un entraînement là-dessus chez les SAS. Mais ça n'a pas bien fonctionné. Pour moi en tous cas. Les combats urbains c'est ce que je préfère. Les snipers ce que j'aime le moins. Et il a fallu qu'ils réunissent les deux ! J'ai rien réussi à l'entraînement aux tireurs embusqués. Ils ont dit qu'il fallait pas s'arrêter dans son champ de visée. Ils ont aussi dit de se mettre à couvert avant de chercher à riposter. C'est ce que j'ai fais. Ensuite, le sergent a assuré qu'il fallait un très bon angle de tir à couvert pour s'attaquer à un tireur embusqué. Ca j'ai pas. Mais je vais voir avec les résistants si ils ont un truc pour arranger ce problème majeur.

MJ

Le sniper s'amusait avec Michael assurément.
Mais celui ci ne semblait pas trouver cela drôle.
Quelques tirs retentirent encore.
Là un des résistant s'écria.

Là !!!!! Je l'ai vu !!!!! il est dans l'hôtel, au troisième !!!!!

Tous regardèrent.
Ils ne virent rien.
Michael lui put apercevoir un flash. Celui d'un coup de feu.
Presque aussitôt il entendit le bruit de la détonation et reçu du sang sur le visage.
L'un des SAS venait d'être touché au bras droit...

HRP : Navré je sais pas trop quoi dire xD

[hrp: c'est pas grave je voulais juste connaître la position du tireur]

J'ai un réflexe. je plaque ma main contre le bras de mon subordonné. Le sang ne coule plus après quelques secondes. J'enlève ma main et je repousse Britton en arrière et je le confie aux résistants. En attendant, je me prépare à attaquer le sniper. Je m'essuie la figure et je cours vers l'hôtel. Il ne fallait surtout pas que je m'arrête en plain milieu. Je plonge pour arriver plus vite. J'ai essuyé deux tirs pendant ma course. Je me plaque contre le mur. il faut que je trouve ce sniper avant qu'il n'envoie quelqu'un d'autre ad patres. Pour inspecter le bâtiment, j'ai deux grenades et ma Sten. J'espère que je trouverais quelque chose d'autre parce que sinon... J'entre dans le trou béant qu'un obus a fait dans l'autel. J'arrive dans le hall. Vide. Un comptoir, deux fauteuils défoncés, et une petite table. Je passe pour prendre l'escalier. Prudemment. Je passe de marche en marche, en faisant le moins de bruit possible. J'arrive au premier.

Là, les problèmes commencent. Un bosh armé d'un MP40 monte la garde au fond du couloir, près de l'autre escalier. Seule solution : attaquer de front. Alors, je prends mon couteau en mettant ma Sten en bandoulière, et je sors en trombe des escaliers. Je fonce droit sur le soldat et je lui enfonce le couteau dans le ventre, avant de l'égorger pour l'achever. Il n'y a pas eu de bruit. Du moins je pense. Je range mon arme blanche et je prends le pistolet-mitrailleur. Pas la peine de gaspiller des munitions. Je continue et je grimpe à l'escalier. Rien au deuxième étage. Je passe vite fait entre le chambres dans un état pitoyable. j'arrive à l'escalier suivant. Rien. Je monte. Personne dans le couloir. Cette fois, je fais très attention, et j'inspecte chaque chambre minutieusement. J'arrive devant une des chambre et un tir me fait sursauter. Le sniper. Je l'ai trouvé. J'entre dans la chambre et je vide mon chargeur sur l'homme, qui a à peine eu le temps de se retourner.

MJ

Le problème c'est que même dans une action aussi spectaculaire, il y a une couille...
Une rafale de pistolet mitrailleur cloua Michael au sol. Il vérifia si il n'était pas touché ... non. Mais son STEN avait amortit les balles allemandes et était complètement inutilisable.
Il y avait quelqu'un d'autre dans le bâtiment. Michael pouvait récupérer le Mauser 98KS de sa victime mais contre un pistolet mitrailleur et ce dans un bâtiment, il fallait pas s'attendre à un miracle.
jetant un coup d'œil à la chambre d'en face, il put voir un autre fusil de précision Mauser au sol.
Les Snipers opèrent parfois par deux ... et aujourd'hui c'était le cas.

[hrp : Désolé mais j'ai un peu ( beaucoup ) la flemme de continuer, je te propose d'arrêter là le rp]

[HRP]

Ba si tu veux ... de toute façon je peux pas continuer tout seul =P.

C'est sur. Je verrais plus tard pour continuer à rp.

OK
Alors je clos.