Juno Beach, Secteur Mike

Dans les barges tous les hommes parlait entrent eu, la tenssion montait puisque les cotes n'était plus qu'a 15 minute, le capitaine Gagnon c'était levé après avoir écouté la radio.
-Nos Bombardements aériens ont fait que peu de dégat, moin de 3%, le pillonage naval des 11 destroyers entrent 6h00 et 7h30 ont détruit en estimation 14% des défences ennemis d'après le rapport de nos avions de reconaissance... de plus ont ma informé que les troupes Allemande avait mit le paquet ce coup là, des Mortiers et plusieur MG, mais surtout les 11 canons de 155 mm et 9 de 75 mm, ces ça leur plus grande défence... ont sera en deux sections... une avec le 1er lieutenant, et l'autre avec moi, ont sera soutennu par la 10eme régiment blindés Canadien, mais ces char seront de la deuxième vague d'assault... alors il va falloir tenir environs une dizaine de minute contre les boches... bon tous s'eu à gauches seront avec le lieutenant et les autres avec moi!
Alors j'étais avec le lieutenant qui lui était un très bon tacticien, les hommes avait confiances en lui c'était déja ça. Une dizaine de minute plus tard les plaques de fer retombait sur le sable mouillé de Juno Beach, le temps était nuageux, et couvert de fumé provenant des coups de canon, la plage était innondés de balle de trou d'Obus des "Hedgehog" défence qui nous ralentirait ainçi que les blindés sur ces maudites plage. Les MG hurlait de leur son strident des balles sur les soldats Canadiens et Anglais. J'étais enfin dérrière un Hedgehog, qui m'assurais une petite défence, sauf que le Bunker au deux Mitraileuses 42 sur ma droite pourrais bien me mitraillé si il me repérait.

Je courais cherchant le lieutenant il était à la tête des Canadiens qui courait aussi vite que possible pilloné par les Mortiers et Canon de toute taille Allemand. J'avais déja vidé le premier chargeur dans les Bunkers, mais qui n'avait surment tué personne, mais les ricochaits était mortelle, le lieutenant avait son plan, le groupe du capitaine allait canardé les Bunkers, puis le groupe du lieutenan tallait faire un crochets sur la droite afin de pouvoir monté à la position des Bunker, cette "opération" serait couteuse en vie et très longue mais pourrait assuré une prise de la palge, bien que j'aurais préféré un appuis de char d'assault qui aurrait put pilloné les Bunkers.

MJ: (et encore désolé du retard, mais j'arrivais pas a trouver la motivation.)

[le lien pour la carte: http://www.members.shaw.ca/junobeach/images/juno-3%20Maple%20Leaf%20Route%20D-Day%20Nan%20Beach.jpg ]

Petit a petit la majorité des hommes avaient put débarquer, en laissant toutefois de nombreux corps derrière eux. Ils étaient sans le savoir sur un des pires secteurs de la plage (B-Coy sur la carte). Devant eux se dressaient plusieurs bunker depuis lequel les défenseurs les arrosaient allègrement.

Et il fallait encore courir sur près de 300m pour atteindre les façades de ceux-ci, endroit ou les soldats allemands seraient hors de portée. Mis a part quelques obstacles et trous d'obus sur la plage, le couvert était quasi-nul.

Le lieutenant leva le bras et hurla de manière a se faire entendre de tous:

"ON A PAS LE CHOIX, FAUT AVANCER! UN PREMIER GROUPE AVEC MOI PENDANT QUE LE 2ème NOUS COUVRE, ET APRES ON ECHANGE LES ROLES!

(Pas Grave Mc!)

Une choses à faire, suivre les ordres, je suivais de prêt le lieutenant alors que le capitaine et ces hommes mitraillaient les Bunkers Allemands, pourtant les tirs meurtrirers des MG ne cessaients pas du tout, ces à ce moment que plusieurs hommes du groupe c'était mient à tomber, les medecins stoppait nette, et ce jetais sur les hommes pour les soigner. Les mortiers nous pillonait toujour deux hommes venait de perdre leur jambe. Éssoufler par cette course, il avait mal au jambe déja et il c'était arrêté dans une longue trancher devant les Bunkers, la hauteur des Bunkers était un facteur défavorable pour les Anglais et les Canadiens, alors accroupis tous tirait des rafales de balle pour couvrir l'avancé du Capitaine Gagnon.

(Très court post dsl.)

MJ: Le lieutenant fut touché dans la course au couvert et il s'écroula. Les hommes continuaient eux a courir, pour finalement se terrer devant les bunkers.

Le Cpt Gagnon se leva et emmena un petit groupe d'homme a l'assaut. Peine perdue, ils furent pour la plupart touchés, les survivants s'étant mis a couvert comme possible.

Les canadiens semblaient condamnés a mourir ici, si il ne trouvait pas une solution pour faire taire les bunkers avant d'avancer. Et l'absence de gradés visibles sur la plage ne ferait rien pour arranger les choses.

[Et sinon pas de british sur Juno; uniquement des canadiens.

Bon sang! quesqu'il foute à découvert! Hurlerais le Major Corrivaux. Quoi faire, George le radio était à coté de moi, je lui donnais un coup sur le casque pour qu'il ce retourne.
-Apelle un des destroyers il faut qui dégome ce foutu Bunker à l'avant de nous il enpêche notre progression
-Ici Mike 2! grand besoin d'un soutien aérien ou d'un soutien naval, sur ces coordonés, 15 degrés nord, 45 degrés nord, à partir de votre position, vous l'aurer dans le mile!

Ont entendit les sifflements stridents des Obus puis l'un des Bunkers exploser dans une multitude de débris, et plusieur Allemand voler et retomber sur la pierre. Le chemin était libre! Je courais suivit des autres car dans tous ce groupe j'étais le plus grader le lieutenant était en retrait avec le medecin le capitaine nous suivais de prêt. Tous stoppèrent dérrière une collone de sable et de sac de sable. Une mitrailleuse 34 et plusieurs MP 40 surment nous pillonais, une sollution un bon tireur.
-Rousseaux! Vient par là!
Nous enlevions un sac de sable et tenait lui par dessus, il pouvait facilement glisser son arme et regarder avec ça lunette, il tira dans la gorge du "mitrailleur" qui éclata au choc, il tira plusieurs fois et à chaque fois un Allemand tombait, nous pouvions avancé, les Blindés allait bientôt débarquer, le visais un boche puis tirais la balle lui transperça la main.
*Et un invalide!* me suisje dit, j'en tirais un autre dans le bassin il tomba au sol et roula un moment puis stoppa nette, les échanges de coup de feu furent long et couteux en vie humaine, ont ce croyais dans une bataille rangé comme au 18 siècles, tous tirais et tous tombait, les balles sifflait de partout et la terre levais sous cette puissance de feu, deux Canons de 77mm nous avait enligné et c'était mit à nous pilloner, plusieur homme tombère. Puis encore couvert par l'autre groupe nous courrions pied nu dans ce qui s'emblerais être une boucherie...

[Dsl j't'avais oublié.]

MJ:

Les 2 canons situé dans le bunker le plus loin arrosaient copieusement les unités canadiennes, aidé dans ce rôle par plusieurs mitrailleuse allemandes disséminés un peu partout.

Chaque canadien se trouvait sous le feu ennemi, le radio essayant de donner des indications a la flotte sur la position du bunker au 77mm. Un premier obus tomba trop loin, mais le suivant entre directement dans le bunker faisant taire instantanément les 2 canons. Restait maintenant a nettoyer les tranchée et les 3 bunkers encore restants.

Comme pris dans un élan d'espoire, je me ruais dans la trancher et transperssais un boche avec ma bailonette, je ne me randait pas compte de ce que je fesiat je bougais tous seul mais bras et mais jambe fonctionnais automatiquemenet, je tirais dans l'oeil d'un Allemand qui s'écroulait au sol en tombant par en arrière dans un ralle de souffrance. D'un coup de cross je tuais un artilleur, et fonssais vers le premier Bunker.
-Caporal Corriveau! Vous me prennez six hommes et vous me nétoyer ce bunker, aucun survivant et prenner les mitrailleuse, donc pas de grenade! Ces clairs! Sergent Gravel vous vennez avec moi et amener cinqs hommes avec vous go!
Alors le caporal commeçais a nétoyer le premier bunker, armé de sa Sten il tira dans le bunker et les balles ricochèrent partout. Le deuxième bunker fut difficile a prendre. Alors le sergent Gravel ce rua dans le bunker mais reçu une balle en pleine artère. Alors que moi et 2eme Classe rousseaux commençais...

(Manque d'inspire je suis fatiguer dsl.)

Les tirs s'échangait dans un déluge de flamme et d'objet métalique, les blindés prennait tour cible les casemats et les bunkers encore occupé. Moi je sérrais mon Lee-Enfield et tirait sur tous les boches que je pouvais touché, les bunkers ce vidait rapidement enportant aussi des Canadiens, les canons de 77 nous prennait comme cible, les tranchers n,était plus d'aucune aide, les morts ce contait par centaine.

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