D-Day Sword Beach

HJ: euh... mec, la bataille de normandie dura plus qu'une journée...

HJ, j'ia aps finie -_-' j'atten 1 MJ.

RETOUR AU 6 JUIN

Vorak venais de se lever. tout le monde était pressé, et c'est son camarade Postich qui l'a réveillé pour lui dire que les américain avaient attaqué sur la plage! Vite, il se mis en unifome, et pris son k98, avec 5 grenade a manche., puis il couru j'usqu'a son Canon AA avec Postich. Quand il leva les yeux, il voyais des avions alliés au environ de la plage, et qui s'en venais vers ses tranchés! il monta dans son canon AA, et commença a tirer un avions, qui se désintégra sous les rafales éxplosive de son canon. puis, évidement les parachutiste sautèrent, et Vorak tenta de les abattres, mais en tucha un, qui exposa sous la rafale explosive. Mais les autres atterirent, et Vorak ne pouvais rester, car lui et Postich était les seul dans cet environ. Alors il sortit, et pris sa carabine. il sprinta j'usqu'aux tranchés, mais pendant la course, Pstich se pris une balle et tomba! Vorak se retourna, sprinta, et pris Postich par le collet, et tenta de le trainer j'usqu'a la tranché, mais deux autre balle le toucha, dont une dans la gorge. alrs Vorak le lacha, et se jeta dans la tranché. il se redressa, visa, et tira sur un soldat. la balle lui traversa l'épaule. Vorak tira un autre coup, la balle lui traversa le casque. il tomba, mort.

-Vorak! ont a besion de ti par ici!
*une bonne journée de travail... merde, Postich!*

Vorak essaya de frapper un Allié avec la baillonêtte de sa carabine. il lui coupa sur le bras, mais il leva son fusil, alors Vorak n'eu pas d'autre choix, il planta sa baillonêtte dans le ventre, tourna, et la fit glisser jusqu'a son cou. il tomba raide mort, sur le dos. Vorak eu un peu de peine pour la douleur qu'il lui fit subir, mais il était contre les lois. il a fait son devoir. il coura dans la tranché, vers le Bunker. Rendu au bunker, il monta l'échelle, et vit que l'un des artilleur était mort. il pris donc sa place. il rentra un obus dans la chambre du canon, et fit feu. il détruit un navire de débarquement contenant des soldats. puis l'autre, un officier, lui demanda:
Qui ête- vous?
je suis l' Obergefreiter Vorak Violashen. je vais prendre sa place, monsieur.
Vorak tira un autre obus, qui fit exploser un petit groupe de soldat sur la plage en un nuage rouge et rose...

HJ:yassine, ont va se battre pendant le 6 juin un peux, après on va continuer ton 7 juin, sa marche?

Yassine tirait un peut sur tous les ennemis, ce quié té sur c'est que la victoire serait surement sienne, il ne l'avait pas remarquer mais sur un soldat il avait toucher l'epaule, il reçut un balle qui frola a nouveuax sont casque qui tombea suite a ça, Yassine se baisse aimmediatement et reprit osnt casque qu'il mit en vitesse, il regardea d'ou venait le tir, il Empoignea sont Springfield et visa droit là d'ou venait le tire, il vit alors que c'été un Allemand blessez a l'epaule et qui avait une arme Allier.

*Si je le laisse s'enfuire, il pourrea ramenez desrenfort, j'doit l'en empecher*

Il tirea plusieur balle sur lui, Yassine ne savait pas si elle l'avait toucher ca ril été a present loin, il n'eu d'autre choix que d'avancer, dnas quelque minute cette plage serait sous leur controle et la ville de Lion-Sur-Mer aussi !

trois balles ricochèrent autour de lui, donc Vorak se mis a couvert. il regarda par dessus, presqu'immédiatement, une balle vint soulever une gerbe de sable juste devant lui. Donc, il se remis a couvert, et abandonna. il marcha un peu, tenant le Garand comme une béquille, et il retrouva le MauserModifié. il le pris, et le cacha. puis, un BMW tout-terrain s'arrêta, et un Obergefreiter sortit:
Mais, vous êtes Blessé!
Ça pârais tant que ça?
Monter a bord, nous vous ramenons au QG.
Vorak s'exécuta, et monta a bord. il lacha son Garand, et pendant qu'un infirmier le soignais, il regarda ceux qui était dans le 4X4: un infirmier, un artilleur, qui était sur le MG42 monté sur le toit, le chauffeur et l'autre Obergefreiter. Une roquette tomba juste a coté, et le chauffeur accéléra, l'artilleur tira. Le Obergefreiter recu une balle, puis deux, il cria, et tomba du BMW. son corp roula en dessous du Véhicule, et il n'en restait pas beaucoup l'orsqu'il en sortit.
Je suis le plus gradé, alors je prend le controle du véhicule. je suis guérit, alors je vais m'assoir en avant, ajouta Vorak au Médecin. il s'installa en avant, et tira avec son Mauser. cela ne faisait pas BLam, Blam comme les mauser normal, lui était modifié. RATATA, il en tua 5. puis, ils furent dans une Zone sécurisé. il alla voir le plus haut gradé:
Je suis guérit, alors je veux retourné au front.
De toute façon, nous vous aurions renvoyer après quelques heures. La prochaine vague de renfort partira dans 45 minutes. soyez prêt. Vorak alla prendre son Panzerschrek, un sachet de grenade a manche et environ 7 chargeur de Mauser.
*de toute façon, l faut mourir d'une façon ou d'une autre...*

HJ: vu le manque de réaction, je vais continuer...

Dans le camion blindé, qui transportait les troupes, il enleva le cran de sureté de son Mauser et de son Panzerscherk, puis soupira. il repensa a Postich, qu'il avais connu au camp. il se changea les idées en pensant au ce soldat, ce Sniper. il avais un grade élevé, a cause qu'il a donné des ordres a un soldat, qui donna des ordres a un soldat, qui en donna a un soldat! puis, une explosion se fit entendre, le camion s'arrêta, on entendit des coup de feu, puis, il repartit. l'orsque nous sommes arrivé a destination(les tranchées derrière la plage), le combat faisait rage. les obus qui tombait, les corp tombait également. ça y est, la porte tombe, Vorak et ses 3 hommes sortent, ainsi que les autres escouade. Vorak tira avec son mauser, les rafales automatiques tua 4 hommes. une grenade Gammon explosa a environ 9 mètre de lui. l'explosion fut assez forte pour détrouire le camion, et envoyer Vorak par-terre. il échappa son Mauser, et un nuage de poussière tomba. il fouilla pâr-terre a l'aveuglête, et pris un arme. Super!, un Stg 44! (nouvel arme) il visa dans la lunette, et positionna un sniper. pas celui de tout a l'heure. il le tua. cela lui pris 4 rafales de 3 balles, car les armes automatiques sont plus efficaces en petite rafales. un camion remplis de soldat alliés aparut. alors Vorak empoigna son Panzerschrek. il mis la roquêtte a l'intérieur: boom! le devant du camion explosa en morceau, et le reste s'enflamma. il vit les restes d'une maison, et ordonna a ses hommes de le suivres. la bataille était fini, et le sol était jonché a 3/4 de soldat allemand.

unité 2,3 et 4, suivez-moi. la bataille est fini. courron nous mettre a l'abris dans cetter vielle maison.
oui, monsieur
oui. monsieur
Obergefreiter, je suis touché!
ils ne pouvait s'encombrer d'un soldat blessé.
ne vous en fairtes pas... ils font des prissoniers.
puis il sprinta j'usqu'a la maison avec les deux autres.

HJ: vu le manque persistant de réaction, je vais continuer, mais j'espère que le nouveau va vnir faire son 8 juin ^^ /HJ

7 juin 1945. 8h13 AM


tout était embrouiller autour de Vorak. au début, il fut très déstabilisé, mais après un temp, sa vision devint normale, et il revit la maison abandonné autour de lui, un des deux soldat qui montait la garde et l'autre qui dormait. les réveilles était brutal quand ont est constament en danger! il se massa le visage, pris son Stg.44 et se leva. il alla voir le soldat qui ne dormait pas.

-Quel est ton nom, soldat?
Heinz, mon Obergefreiter.
Va te coucher, soldat. je prend la relève.

Ce qu'il fit. ce qu'ils attendait, lui, hinz et l'autre, c'était que quelque soldats alliés foute le camp pendant quelque minutes, mais cela faisait environ 11 heures qu'ils était la. ils finirait par s'en aller. ou échanger de role. ils attendait qu'ils s'en aille, puis ils allait chercher la radio qu'ils avait bêtement oublié sur l'autre soldat mort ! Mais c'était dûr d'être efficace, car ils était des artilleurs! nis a part le Panzerschreck, ils n'avait rien de commun ici. ils les avait envoyer, faute de renfort.(Hitler n'a pas voulu en envoyer. étant persuadé que le débarquement allais avoir lieu ailleur, c'est connu ^^)Puis, une idée lui traversa l'esprit: ils pourrais lui-même, sans les autres, ramper pour attraper la radio, et si les gardes le voyais, il se ferais passer pour mort.! les gardes était a moitié endormis, ils croirais qu'ils ont rêvé, ficherais le camp, et Vorak continurais! simple! il réveilla Heinz:

Heinz, Heinz! j'ai un plan. pas le temp d'expliquer. monte la garde.

HJ: ce n'est pas un triple post, j'ai arranger quelque chose avec alffred, et ce serais trop long si j'édite... / HJ

Vorak rampais dans l'herbe. il rampais vers le corp mort du soldat, vu qu'il possédait une radio, avec laquelle ils pourrais appeler du renfort. les soldat alliés ne parraissais pas le voir. après une centaine de mètre, les soldats s'en allère. bonne nouvelle. alors Vorak se leva, marcha quelque pas, et alors, quelques soldats alliés vinrent prendre leur place! ils virent immédiatement Vorak, et lui tirèrent dessus! il sprinta, pris la radio, et resprinta j'usqu'a la maison. , l'autre soldat était réveillé, et tirait au travers de la fenêtre, tout comme Heinz. Vorak pris la radio, et tenta de communiquer.

Radio:ici l'Obergefreiter Vorak Violashen. j'ai besoin de me faire évacuer maintenant. quelqu'un me recois?/radio

MJ

Un groupe de Panzers composé d'un Somua S-35 et de trois Hotchkiss H-39 pris aux Francais en 1940 arriva et commenca a tirer un peu partout a l'aveuglette , faisant fuir les soldats se trouvant dans le secteur .
La radio grésilla

Obergefreiter Violashen ? Ici Tama 14 , on passait dans le coin quand on vous a entendus . Rien de cassé ?

Les H-39 avancèrent encore et se mirent a chercher des hostiles dans les fourrés alors que le S-35 s'approcha de Vorak , suivit par un binome d'Opel Blitz dont un était baché .
Les camions s'arrêtèrent et un Oberst en descendit .

Violashen ? C'est vous ? Montez ! Les hommes a bord de ces engins sont presque tous bléssés et votre radio est plus puissante que celle de nos escorteurs , avec nous pourrions peut etre contacter un hopital qui pourrait nous acceuillir . Ha et avez vous une carte ?

HJ: sa gache un peu notre truc, a moi et a albert, mais je vais pas en faire un fromage! /HJ

Une violente exp;osion retentit au travers des coup de feu, puis la radio grésilla:
Obergefreiter Violashen ? Ici Tama 14 , on passait dans le coin quand on vous a entendus . Rien de cassé ?

Vorak fut extrêmement soulagé, et répondit:

Négatif, buter cette racaille, et sorter-nous d'ici!

un camion arreta devant la maison, et un Oberst descendit

Violashen ? C'est vous ? Montez ! Les hommes a bord de ces engins sont presque tous bléssés et votre radio est plus puissante que celle de nos escorteurs , avec nous pourrions peut etre contacter un hopital qui pourrait nous acceuillir . Ha et avez vous une carte ?

Négatif.
Mais...
Vorak et l'Obers se tournère vers Heinz
De quoi tu parle, heinz?
Le type sur qui t'est allé chercher la radio, jcrois qu'il ne avais une...
d'accord. Heinz et moi, on y vas. toi(l'autre soldat avec Vorak), va dans le camion. Vous, Obers, couvrez-nous.

Ils utilisèrent une tactique qu'ils avait appris a l'entrainement. Vorak tirais pendant que Heinz suivais derrière, puis ils changeais de position l'orsque Vorak rechargais, puis ils le refaisait l'orsque Heinz rechargais, et continuèrent comme sa j'usqu'ils se rende au corp. Heinz le couvrais pendant que Vorak cherchait le corp. au bout d'un moment, il se soumetta a l'évidence: il n'y avais aucune carte sur ce corp.

IL N'Y A PAS DE CARTE!
QUOI?
Y A PAS DE CARTE SUR CE FICHU CORP!!!!
BAH' C'ÉTAIT JUSTE UNE IDÉE!

Vorak pris ses plaque, et fit signe au camion blindé de venir les chercher, mais une explosion leur barra la route, sans les tuer. Vorak se retourna, et vit qu'il y avais 5 Panzer allié, des Mark, et cela se transforma en petite bataille de char. il se dit qu'ils ne s'en irais jamais avec tout ces tank, et de toute façon, ils était moins nombreux. Vorak mis son Sturmgewehr .44 en bandouillère, et empoigna son Panzerschrek. il avais seulement 3 roquette, et il y avais 5 char ennemis... FSHORRRSHHHHBOOM! un char en moin. il rechargea, et en visa un autre. FRORSHBOOM! SHHHHH BOOM! Roquette de gaspillié, car un Panzer le détruit avant. sa dernière roquette. il visa un char, puis changea pour un groupe d'ennemis. FSHOOSHHH PORRASPLASHssss.... plein de morceau de corp tomba. il lacha le Panzerschrek, et sprinta avec Heinz vers un tank ennemi. il pris une grenade a manche, et la glissa dessous. elle explosa , et deux soldat allié blessé sortit. Vorak tira trois balles sur un, Heinz tua l'autre le corp de celui que vorak tua tomba du tank, et atteris au pied de Vorak. Celui ci l'observa, puis couru au camion, monta a bord, et dit au chauffeur:

Sortez-moi d'ici!

HDP : j'espère que ce fil sera actif...

Après d'âpres combats dans le secteur de SWORD, le commando kieffer avait réussi à atteindre le premier objectif du Casino de Ouisteham. Un sherman réquisitionné servit d'appui feu contre cette place fortifiée (qui ne ressemblait absolument plus à un casino). Deux des 177 hommes étaient tombés sur la plage. Encore un autre était mortellement atteint dans le quartier du casino. Mais le premier objectif était atteint : sécuriser Ouistreham.

La capitaine de corvette avait déjà été blessé à deux reprises. N'obéissant qu'à son courage, il restait à la tête de ses hommes qui regroupèrent avec les autres commandos. Lord Lovat à leur tête, ils étaient parti vers leur deuxième objectif : les ponts de Bénouville et de Ranville. Tenus pas la 6ème britannique sous le feu d'engins lourd avancés de la 21ème, les red devils désespéraient de voir la relève. Au son du piper Millin, Lovat marchait tranquillement sous les balles ennemis tout en traversant le pont. Je ne faisais pas mon fier mais, commando dans l'âme, je devais continuer à marcher. Le feu s'intensifiant, nous nous mirent à chercher des abris. Les combats durèrent quelques minutes, vite soutenus en fin de matinée par quelques chars fraîchement débarqués des plages.

Kieffer reçu alors l'ordre de continuer vers son troisème objectif : un petit hammeau appelé Le Plein. Nous arrivâmes en milieu d'après midi et installâmes avec les 156 hommes valides restant les défenses prévues.

Le soir même, tout s'était calmé. Nous savions que les allemands profiteraient de la matinée pour opérer une contre attaque majeur. Je me reposai en attendant l'échéance. Mon Lieutenant vint me voir.

Vous vous êtes durement battu ce matin sur les plages. Votre caporal a été blessé et j'ai besoin d'un homme courageux pour prendre sa place. Je vous propose de le remplacer. Etes-vous d'accord ?

Je vous remercie mon Lieutenant. Je ne vous décevrez pas.

Nous nous préparions à attendre la relève qui devait être là le lendemain. La contre-attaque fut contrée sans difficulté. Mais la relève ne venai pas. Nous savions qu'au sud ouest de Caen la 21SS étaient en train de resserrer sa présence sur la ville. Dernier objectif non atteint, nous étions la seule plage à avoir autant avancé sur nos objectifs. Mais la contre-attaque qui se préparait allait être redoutable. Et sans aucune relève, trop occupée à encercler Caen, nous commencions à trouver le temps long.

De plus, certaines des unités du sud ouest de Caen semblaient entreprendre un mouvement de rotation par le sud pour éviter l'encerclement et ainsi faire craquer notre point de contrôle.

Nous attendions, en cette nuit du 8 au 9 juin 1944, une bataille comme jamais nous n'en avions livré auparavant...

Non, il ne sera pas actif, puisque tu as finit ton débarquement... et donc, nouvelle mission, nouveau post