Commencement de la bataille de de Caen

8 heure

-Messieurs préparez vous, les anglais seront bientôt la, nous devons impérativement les repoussez ! Dit Wittman dans sa radio.
-Compris lieutenant.

Moi et les autres chars, étions déployer en embuscade dans un champ en attendant les blindés ennemis. Quelques secondes plus tard un char anglais arrivas a pleine vitesse dans le champ ou nous étions, le char de Michael l'eus de plein fouet.

-Attention messieurs, il va y en avoir d'autres.

La, une dizaine d'autres chars firent leurs apparitions mais cette fois-ci avec de l'infanterie, notre mitrailleuse Karl se mis en action, et remplissez très bien son rôle de mitrailleur.

-Ennemis ! Feux !

Hans et Wolfgang eu 4 chars en moins d'une minute. cela fesait longtemps que nous n'avions pas détruit de char.

-D'autres blindés ! tiraient leurs dessus, et surtout ne les ratés pas !

Ils eux encore 6 autres chars, en moins d'une heure on avait détruit 10 chars énnemis.

-Très bien méssieurs, marquer nos 10 autres victoires sur le canon a la craie.

Hans sortit du QG avec ses ordres .
Je montit dans mon char et annonca les ordres a mes équipiers .

Bon les gars ! Des blindés english font une fiesta a Caen et les copains sont déjà sur place . Ca vous dit ?

OUAIIIIISSSSSSSSS ! On ammènent des obus de 75 avec nous !

Mon Panther accélèra vers Caen et nous rencontrimes en chemin un groupe de 3 Somua S35 et un B1 Bis . Notre groupe arriva a Caen après deux bonnes heures de routes . C'est alors qu'un planeur US se posa et percuta le B1 Bis de plein fouet , le planeur et le char explosèrent .
A peine l'accident terminé , une Jeep freina au bout de la route et elle fut acceuillie par un obus de 75 .
Le groupe entra dans Caen et vit plusieurs épaves de blindés britaniques dont quelque Cromwels et un Comet .

Allo ? voila les renforts ! Répondez SVP ...

[ HJ ]

On est pas obligés de faire comme dans la réalité peut etre qu'un groupe de Panzer peut se faufiller dans le chaos qu'est le bataille de Caen ...

[ / HJ ]

Hans et les 3 S35 firent demi tour car des Anglais avaient minés la route .
Les 4 blindés avancèrent dans un bocage et un groupe de Firefly fut repéré .

Panther au Somua , Firefly ennemis droit devant ! nombre inconnu alors chargez vos 47 et chargez par le flanc droit , je les occupent ...

Le Panther se mit en position et je vit un Anglais passer devant moi , puis un deuxième mais le troisième explosa sous le feu de mon 75 .
Les autres ne comprirent qu'une fois mon canon rechargé et le Firefly n° 2 en petits morceaux . Le n° 1 tourna mais trop tard , un obus de 47 venait de lui anéantir le batit moteur .
Les 2 autres Rosbeefs accèlérèrent mais ils furent cueillient par un tir de 47 bien placé et le dernier sortit un drapeau blanc .

Ne tirez pas !

Les Somua encadrèrent le Sherman et les Anglais sortirent de leur coque de noix .

Equipage du Somua 2 , prenez le Sherman , il y a de la peinture dans un des Somua alors peignez moi une belle croix et venez dans la formation . Laissez votre Somua ou il est , je ne pense pas qu'il ira plus loin ...

A vos ordres .

En effet , le Somua fumait de partout après le coup de 75 britanique recu sous le char ...

Après une heure , les 4 blindés se dirigèrent vers Bayeux car des Anglais avaient étés signalés non loin de la ville .
Alors que nous étions a quelques kilomètres de la ville , après seulement 3 heures de routes et dans un temps superbe , un Typhoon sortit des nuages et envoya un pluit de roquettes sur nos blindés qui fut fatale au Somua , laissant seul entiers le Firefly et moi même ...

-Bon, les gars, on va laisser notre amis Wittman s'occuper des Anglais, nous, on se dirige vers le sud de Vierville sur Mère. Wolfgang, dit a notre amis Hans Doman, qu'il est maintenant affecter a la 1ère blindée SS, et qu'il revienne de Bayeux.
C'est bien les bleus vous avez montré ce que vous vallez vraiment. Mais c'est loin d'être finit, on a encore du boulot.

On partit tout seul, sans être accompager d'aucun autre blindée, a part Hans qui nous rejoindrer certainement plus tard, du moin je l'éspère... On ce conaisser a peine, mais je savais qu'on ce sèrrerais les coudes, jusqu'au bout.
Sur le chemin pour aller dans le village, on se méfier, pour ne pas tomber sur des patrouilles énnemis, ou même des chars. on entender des bombardement sur la côte s'en vraiment s'en inquiéter...

Un coupé Renault filait a vive allure sur la route.... Apres avoir abordé un tournant, le véhicule arriva dans un petit village normand... Surprise par le barrage installé a l'entrée du village, la Renault freina brutalement et s'arreta pile...

Un feldwebel s'approcha du vehicule et fut intrigue de constater qu'il etait conduit par une tres belle jeune femme brune, vetue d'une jupe courte qui mettait en valeur ses jolies cuisses...

" Papieren Fraulein !"

La jeune femme tendit ses papiers .... Pour elle , sa vie allait se jouer a quitte ou double.......
Le feldwebel lut le nom indiqué : Véronique Dambrun....
Cette femme se trouvait en zone militaire interdite..... Surement une espionne....
L'allemand ordonna a la jeune femme de quitter le vehicule , puis il la fit conduire a Gunter Shutz ..... Lui seul pou_vait decider de faire fusiller la jeune femme sur le champ.....

Arriver dans un petit village qui n'était pas Vierville mais Tour-en-Bessin, je demanda a mon équipage de refaire le plein, il était 10 heure du matin, et les bombardement sur la côte me semblait toujours plus proche. Par contre il n'y avait aucune explosion dans le village, mais c'était une zone militaire, il n'y avait aucun civil, seulement des soldats.
Quelques minutes plus tard un feldwebel accompagner d'une jeune femme et de quelque homme de la police militaire vint me voir. Elle était charmante, mais j'étais marié donc je ne me laisser pas attirer par elle.

-Bonjour sergent-chef, je vous amène cette jeune femme qui vient d'arriver ici, mais elle n'a rien a faire la c'est une zone militaire interdite, voici ces papiers, pour moi ce sont des faux, probablement une éspionne !
-Oui d'accord, mais qu'est-ce que vous voulez que je fasse ?... Bon retourner a votre poste je m'en occupe.Alors madame, ou mademoiselle, qu'est-ce que vous faites ici ? Une éspionne je n'y crois pas...
-... J'habite dans cette maison, je venais prendre des provision c'est tout...
-Sur les papiers il est indiquer que vous vous appelez Véronique Dambrun, et sur cette maison je vois que ce'st la maison des Dauney. Alors je le répète encore une fois : Qui êtes vous !?
-Bon d'accord, je vais tout vous dire, mais il faut le dire a personne. Je suis une éspionne, et je m'appelle Martine...
-Suffit, si vous êtes une éspionne du Reich sa me va, vous n'aurez plus de problème. Allez maintenant circulez, et que je ne vous revois plus ici. Je n'ai pas envis d'avoir des problème avec sa.
-Merci, aurevoir.

La jeune femme s'en allas, l'équipage m'avertis que le plein étais fais. Alors je continua ma route jusqu'au village.

Veronique Dambrun, car c'etait la son vrai nom, etait une belle jeune femme qui venait juste de depasser la quarantaine... Assez grande , bien proportionée , Veronique etait tres attirante, toujours vetue d'une jupe tres courte et d'un corsage tres ajusté qui mettait en valeur deux seins ronds et fermes......
Ces atours etaien utilises par Veronique pour recolter des informations sur les mouvements des troupes allemandes......... Car Veronique Dambrun etait l'agent A 15 de l'OSS.....

Veronique riait sous cape en se dirigeant vers son coupé.... Cet imbecile de sergent-chef avait gobé son histoire..... Veronique s'en tirait bien..... Car prise en territoire ennemi, elle n'ignorait pas ce que cela signifiait....

Le Feldwebel tomba des nues quand Gunter laissa partir la femme....

- " Je pense que c'est reellement une espionne, Chef...."
- Non, je ne crois pas..." repondit Gunter

La jeune femme remonta dans son vehicule et le convoi, une fois le plein fait , s'appretait a repartir lorsqu'un coursier l'arreta et remis un message a Gunter.... Ce message venait de Etat Major et indiquait a toutes les unites allemandes presentes dans la region que :

...Une dangereuse espionne ennemie presente dans secteur....La faire arreter 'et la mettre hors d'etat de nuire
Suivait la description de l'espionne.... qui correspondait en tout points a Veronique Dambrun...

-Vous l'avez laisser partir ! Idiot ! Ces agents de la police militaire vont vous conduire a Nuremberg, ou un jugement seras porté contre vous sertennement, et peut-être vous serez fusillé, ou vous resterez en prison jusqu'a ce que la guerre soit finit !... Emmenez le

L'équipage n'avait pas vu que j'étais emmenez très loin d'eux, temps mieux, il ne fallez pas, qu'ils se fassent du soucis. Mais je n'aurais jamais penser être arrêter...

A l'instant meme ou Gunter était arrete et emmené , le feldwebel tira dans les pneus du cabriolet . Celui ci fit une embardée et s'immobilisa dans uun petit fossé... La conductrice , qui etait juste choquée, fut aussitot entouree de soldats....

Le Feldwebel lui ordonna de sortir du vehicule

" Frau Dambrun vous etes en etat d'arrestation"

Il donna un ordre et un soldat ramena les bras de la jeune femme derriere son dos et il fit claquer les mennottes...

La police militaire s'etait arretée net en entendant la fusillade.... Puis ils virent le feldwebel s'avancer vers eux...

" Voici votre espionne . Relachez Gunter" dit le feldwebel d'un air menacant...

L'officier qui avait arrété Gunter regarda Véronique.....

" Ainsi, voila la fameuse espionne Véronique Dambrun qui se fait passer pour un de nos agents.... Vous savez ce qui vous attend, Frau Dambrun...."

Puis l'officier donna l'ordre de liberer Gunter .... Puis il fit un signe au feldwebel...

" Feldwebel, formez un peloton et faites fusiller cette femme sur le champ.... Notre ami GUNTER commandera le feu ... Gutt !"

Près de Authie : 7 Juin 1944

On avancait sur la route, les cromwell en avant et nous a l'arrière, nous avions 4 firefly, avec le miens cela fesait 5, "Papa Jack" comme on l'appelait tous, était derrière moi, dans un autre char. Il était le commandant de la compagnie, il fit la 1er guerre mondiale, dans un régiment de fusillier, il se fit blésser une fois a la jambe gauche, légèrement.

-Bon écouter moi, quand sa commence a chauffer on se déploie sur le flanc gauche, et on couvre les anglais, la 12e SS lancera certainement toute ses forces contre nous, pour nous rejeter a la mer.
-Hé hier vous vous souvenez quand papa a voulus tué ce boch ?! Dit Ulan
-Ouai, on a bien rigoler. Rajouta un soldat du 10e Dragoon

Quelques instants plus tars un obus frappa le cromwell de tête.

-Et voila sa commence les gars ! on y va ! Redit Ulan, en fesant un petit sourrire.
-Aller les gars déployez vous sur le flanc gauche, vous tirez uniquement sur les blindés, l'infanterie se chargeras du reste.

On passa, moi, mon équipage, et celui de Papa Jack, sur un chemin de terre, il y avait quelques trous d'obus, quelques mettre plus loin, le sentier était garder par 2 véhicules blindés, mon premier tir lui perfora le moteur et le mis en feux, et notre infanterie se chargea des membres d'équipages qui éssayer de s'enffuir. Puis Papa, se chargea du 2e qui l'atteigna aussi.

-Très bien on continue, Papa, met un écart de 10 mètre entre ton char et le mien, je n'aimerais pas qu'un obus nous éliminé tout les 2. Allez on continue.

-Tadeuz, les anglais ont capturés l'abbaye, et ils ont installés 2 canon de 25 livres... Me dit Ulan
-Très bien, il faut allez dire a nos observateurs de guider les canons, sinon on passeras jamais, je vais allez leurs dire de pointer le pak 40 en premier.

Je sortis de mon chars, et je vus deux hommes :

-Hé vous deux la ! vous avez rien a faire ?! Alors prenez ces jumelles. Allez guider l'artillerie, mais d'abord le pak 40, sinon on passeras jamais !

Ils partient, emportant les jumelles avec eux, un troisième homme, le radio de la section 2 de la compagnie A du 10e Dragoon allas avec eux. Quelques minutes plus tars, on entendas les obus tombé. Le radio, me fit alors un signes que la vois était dégagés, nous partimes alors éliminés les quelques mitrailleuses énnemis qui avait bloqué une des séctions de la compagnie A. Mon premier coup allas directement sur la toiture, et fit éffondré la fascade du batiment y compris les occupants du batiment.

-Dites aux infirmiers qu'ils peuvent maintenant allez s'occuper des bléssés, et qu'ils les mettent dans le batiment d'où nous avons dirigez les tirs d'artillerie.

On entra alors dans la ville, je restas quand même dans mon char au cas où des tireurs embusqués montrerait le bout de leurs nez.

-Tadeuz, le 2e groupe de Firefly a était attaqué par deux Marder, l'un a perdus sa chenille gauche, mais l'autre est HS, il faut aller récupéré les suvivant ! Me dit PApa Jack a la radio.
-Compris. Ulan, va dire au 10e que ils vont devoir se chargée de capturée le village tout seul, mais les britanniques sont pas loin, ils ne vont pas tardée, il y a juste quelques canons antichar qu'ils leurs bloque le passage. Vois avec eux.
-Ok, chef.

Ludwick et sa séction sont entré dans Cean sans objectif précis, ils ne savent pas ou aller, il est temps de demander quelques explication au QG. Un peu plus loin, on voyait une femme bien encadré "c'est sans doute un espionne, j'espere ne pas faire parti du peloton qui va sans doute l'éxécuter". J'entre alors dans le QG ou un haut gradé avais l'imprésion de nous atendre depuis longtemps a son visage ferme.

-capitaine : vous voila ! Un groupe de panzer est en ce moment en route pour Vierville sur Mère ils sont dépourvu d'infanterie votre objectif est de les couvrirent de l'infanterie adverse équiper d'arme anti-char. Vous serez amenez la-bas en camion et repartiront juste apres vous avoir déposer.
Ma section monta dans le camion et direction Vierville.

[HJ] : excuse moi je débute en rp

(HRP : il a parler, tu peut le voir en gras blanc, et je dirais que tes RP son beaucoup plus court que lui, il ne faut pas mettre que des paroles quand tu fais un RP, mais aussi les mouvements de ton personnage ce qu'il pense et tout !

Voila

A+ HRP)

Arriver a quelques mètres des 2 firefly, on voyait 5 survivant des 2 chars venir en courant vers nous, un des survivants vint s'aggriper a la tourelle pour venir me parler.

-Nowak et encore coincés a l'interieur faut le sortir de la !
-Ok, Kowalski, tu viens avec moi, Ulan et Rud' vous nous couvrez.

Kowalski était un homme plutôt dégourdis, mais légèrement envelopper, il rêve d'aller épouser une Américaine, et d'aller s'installer dans une ferme au Minésotta...

Arriver au Firefly, Kowalski pointa son fusil vers la route.

-Ok, couvre moi, je vais le sortir de la. Tient bon Nowak, je vais te sortir de la.

Je le vus, il avait son casque sur lui, et ses lunettes de protection sur le visage, mais il était accrochés a quelques choses, je lui tandis une baïonette, et il se décrocha, je lui tandis mes bras, il s'y aggripas, et on rejoignit les chars. Quand aux deux Marders, surement avait t'il était appeller d'urgence vers le côté droit du village...

(HRP:Ok Winters.HRP:)

La bataille venait de se déclenchée.Les canons des chars Allemands n'arrêtèrent pas de tirer pour pour tuer même arracher une partie d'un corps Polonais.Ils ne pensaient qu'à tuer.Heinrich se dit:

*-Je pense que mes hommes n'ont plus le moral après tel défaite.J'aurai une discussion avec eux tous pour le parler de cela.*

-Kamarade de la Panzer Lehr suivez-moi nous allons contournez les Polonais pour les tuer en traitre,donc par l'arrière.

Tous les chars de la Panzer Lehr qui était avec Heinrich le suivirent.D'abord les chars reculèrent en laissant les SS se poser des questions.A coté d'eux se trouvait une rangée des maison et deux routes étaient là une devant et derrière elles.Puisque le combat était dans la rue devant la maison ils prirent l'autre chemin.Ils avancèrent entendant les tirs des chars Polonais et SS.Heinrich leur dit autre chose:

-Maintenant,nous allons tourner à gauche entre deux maisons et nous seront à plus ou moins 3 mètres derrière les Polonais.Nous allons allez tout droit et nous les piègeront,BADABOUM!Ils seront morts.

-Allez en avant!

(HRP:Encore,je n'y peux rien parfois de court RP mais je vois que j'ai écris quand même beaucoup alors je pense qu'il y a pas mal et bardaf non. )

Les Churchill arrivèrent, avec les chef de char, sur la tourelle, nous, nous nous étions mis sur le côté, les Britanniques avait pris le village, avec des pertes plutôt légères. Papa Jack vint vers nous pour nous félicitez.

-Bien jouez, ont leurs a donnez une bonne leçon, voila notre première revanche, mais contenue de la situation, les fritz nous ont détruits 2 Firefly, et tuez 17 hommes du 10e Dragoon, mais pour le moment sa va comparez aux Britanniques... Le général, va nous envoyez demain des renforts en infanterie, ainsi que 5 Firelfy, plus 2 pour comblez nos pertes. Pour cette première offensive, le général nous félicite, et il viendra nous rendre visite tard le 1e Aout, avec tout le reste de la division !
Maintenant reposez vous, demain est surement une longue journée, avec les renforts qu'ils nous envoies...

J'alla me détendre un peut a l'ombre de mon char, ainsi que mon équipage et Nowak, le reste des homems alla se trouvés un peut de frais par cette chaleur, que nous, les polonais, n'étions pas habitué...

3 camion venaient d'arriver dans un village ou nous nous faisons arretez par des ss. Mon chef de section leur demanda : Que se passe-t-il ? Laissez nous passer, on va a Viervile sur mer !

SS : la route est bloqué par une division polonaise, les blindé sont partient pour les prendrent a revers mais vous tombez a pic, aidez nous a défendre cette ville. J'informe les blindés de votre arrivé.

Ces hommes avaient l'air fous de joie de nous voir arriver. A croire qu'ils allaient nous faire faire tout le boulot, nous prirent position dans une maison de 2 étages avec beaucoup de fenetres donant a la rue principale. "J'espere qu'ils n'auront pas de tanks, aussinon nous sommes fichu sans les blindés de Heinrich, je ne sais meme pas qui c'est, mais si il reviens au moment ou les blindés polonais arriveront je lui devrait une fiere chandelle".

Les ss partirent au fure et a mesure que nous arrivions j'avais raison a propos de ces fanatiques il est temps d'atendre les attaquent d'hommes que nous avons vaincus et que nous vaincrons encore !

Heinrich et ses camarades arrivèrent derrière les Polonais.Il n'était pas loin d'eux.Heinrich vit les Polonais et dit:

-Fe...Des avions et des chars Polonais arrivent !

-Achtüng!!

*-C'est la fin pour nous.*

-Bon reculez ou alors partez de vos chars a vous de décider.

Aucun Allemand ne sortit d'un seul chars.Ils reculèrent.Les Allemands tirèrent sur les chars Polonais.

-N'ayez aucune pitié même si nous sommes dans un cas désespéré.Feu à volonté!

Heinrich regardait un Polonais dans les yeux.Il fut surpris de voir d'un coup une balle passer dans son coup et puis dans sa tête.

-Oh!ffff

Les Polonais était entrain de tuer énormément d'SS.

-Bon on va retournez au point de départ à coté des SS pour les soutenir!!!

Les chars de la Panzer Lehr enclenchèrent un combat de leur coté.L'enfer recommancait à nouveau pour eux.

Les Allemands étaient occupés et ils n'avaient peut-être meme pas reconnu Lens, mais celui-ci ne voulut pas partir comme un lache et laisser derriére lui des soldats de sa patrie être en difficulté.
Il prit son Mauser et il essayer de tirer sur quelques Polonais en restant couvert.
-Quel bordel.. murmura t'il..
Il tira et il vida un chargeur entier.
Il rechargea énergiquement.

Puis il réfléchie un court instant et il se rapella qu'il avait un Panzerfaust
à l'arriére de son véhicule mais seulement chargé de deux roquettes.
Il s'exclama:
-J'ai aussi un Panzerfaust dans mon véhicule, il vous servira pour l'anéantissement des chars ?!"

Les polonais continuaient d'attaquer. Depuis la maison ou j'etait je n'avais pas tuer encore un seul soldat malgré mon 3eme chargeur entamé. Un bon soupir et je tire une nouvelle raffale avec mon mp44. J'entendis quelqun criez je dit alors : J'en ai enfin eu 1 !

Un soldat a coté de moi répondis : mais non c'est moi qui l'ai eu.
Un peut plus tard on entendait un moteur... Sans doute la panzer lehr ! Nous découvrirent alors une silouhette bien grosse pour un panther.

SS : Un Churchill crocodile !

Mon sergent regarda alors en bas. Il y avait un piat. Il m'ordona avec 3 autres hommes de le récupérer en évitant les balles, les flammes et les obus. On décendire alors de la maison et j'en vis 1 l'investire (la maison). Je lui tira dessus et au bout de 4 chargeurs, j'ai tuer un polonais.

Ludwick : comment l'ateindre...